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Les aliments acides ne sont pas forcément acidifiants ! Quand on parvient à les digérer, on neutralise les acides qui s'y trouvent et l'on profite des sels alcalins qu'ils contiennent. Par exemple, on mange une orange ou deux. L'acide citrique qui s'y trouve doit être neutralisé à l'aide des sels alcalins que le corps possède en réserve. Donc, dans un premier temps, cette neutralisation appauvrit le corps en sels alcalins. Dans un deuxième temps, on digère et on assimile les sels alcalins contenus dans l'orange, ce qui comble doublement les pertes. Par contre, si l'on ne digère pas l'orange, son acidité libre demeure, empoisonne le corps et l'on ne profite pas des sels alcalins restés tels quels dans le fruit. Certains malades ne peuvent pas digérer les fruits acides, mais aussi quand on en abuse, même si l'on jouit d'une bonne santé. Aliments neutres : les bananes, les pastèques, les melons, les avocats. Quant aux aliments acidifiants, ils ont un goût neutre en général et ne contiennent pas d'acides libres. Ce sont les sous-produits de leur digestion qui sont acidifiants.
 
Les aliments acides ne sont pas forcément acidifiants ! Quand on parvient à les digérer, on neutralise les acides qui s'y trouvent et l'on profite des sels alcalins qu'ils contiennent. Par exemple, on mange une orange ou deux. L'acide citrique qui s'y trouve doit être neutralisé à l'aide des sels alcalins que le corps possède en réserve. Donc, dans un premier temps, cette neutralisation appauvrit le corps en sels alcalins. Dans un deuxième temps, on digère et on assimile les sels alcalins contenus dans l'orange, ce qui comble doublement les pertes. Par contre, si l'on ne digère pas l'orange, son acidité libre demeure, empoisonne le corps et l'on ne profite pas des sels alcalins restés tels quels dans le fruit. Certains malades ne peuvent pas digérer les fruits acides, mais aussi quand on en abuse, même si l'on jouit d'une bonne santé. Aliments neutres : les bananes, les pastèques, les melons, les avocats. Quant aux aliments acidifiants, ils ont un goût neutre en général et ne contiennent pas d'acides libres. Ce sont les sous-produits de leur digestion qui sont acidifiants.
 
 
Les protéines : Viande, Poisson, Légumineuses (pois chiches, lentilles, fèves sèches, haricots secs, pois secs), Fromages, Noix diverses (noisettes, cajous, arachides, pecans, pistaches, amandes, pépins divers), Champignons, Pain complet, Riz complet.
 
Les protéines : Viande, Poisson, Légumineuses (pois chiches, lentilles, fèves sèches, haricots secs, pois secs), Fromages, Noix diverses (noisettes, cajous, arachides, pecans, pistaches, amandes, pépins divers), Champignons, Pain complet, Riz complet.
 
 
Les farineux : Pain blanc et Pain complet, Céréales (riz, avoine, millet, etc.), Pommes de terre, Topinambours, Rutabaga
 
Les farineux : Pain blanc et Pain complet, Céréales (riz, avoine, millet, etc.), Pommes de terre, Topinambours, Rutabaga
 
 
Les corps gras : le beurre, l'avocat, les graisses, l'huile
 
Les corps gras : le beurre, l'avocat, les graisses, l'huile
 
 
Aliments acides : Orange, Pamplemousse, Fraise, Kiwi, Pomme, Poire, Raisin, Mangue, Pêche, Abricot, etc.
 
Aliments acides : Orange, Pamplemousse, Fraise, Kiwi, Pomme, Poire, Raisin, Mangue, Pêche, Abricot, etc.
  
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LE JOUR : Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). Facultatif : Un ou deux yaourts sans sucre, noix de coco, fruits secs trempés (figues, raisins secs, pruneaux, etc.), crème fraîche, dattes, bananes cuites
 
LE JOUR : Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). Facultatif : Un ou deux yaourts sans sucre, noix de coco, fruits secs trempés (figues, raisins secs, pruneaux, etc.), crème fraîche, dattes, bananes cuites
 
 
2) Légumes variés cuits 10/15 minutes (600g à 1kg ) + un ou deux jaunes d'oeuf durs ou crus.
 
2) Légumes variés cuits 10/15 minutes (600g à 1kg ) + un ou deux jaunes d'oeuf durs ou crus.
 
 
Un saladier rempli de verdures coupées, de crudités hachées (carotte, céleri rave ou en branches, poivron rouge), concombre et tomate en tranches.
 
Un saladier rempli de verdures coupées, de crudités hachées (carotte, céleri rave ou en branches, poivron rouge), concombre et tomate en tranches.
  
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7. L'immunité n'existe pas. C'est un mythe. Les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets, à moins d'affaiblir la résistance et de tuer l'individu.
 
7. L'immunité n'existe pas. C'est un mythe. Les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets, à moins d'affaiblir la résistance et de tuer l'individu.
 
Certains s'imaginent que l'exercice hâte l'élimination. Ils se trompent énormément. L'exercice, la marche, le travail, dévient les énergies vers les muscles et ralentissent donc l'élimination. Il n'existe pas de méthode plus efficace pour hâter l'élimination que le repos au lit. Une plus grande activité augmente la production des déchets, alors qu'une activité réduite restreint la production des toxines. Une activité accrue dépense de l'énergie, tandis que le repos et le sommeil conservent cette énergie. Plus un corps est stimulé, moins il devient capable d'assumer ses fonctions. Donnez-lui du repos suffisamment pour permettre la récupération, la réforme et la réparation, et sa vigueur et son efficacité fonctionnelles en seront augmentées. Une plus grande quantité d'énergie est dépensée dans l'activité physique. Si le repos est substitué à l'activité, l'énergie habituellement dépensée dans cette activité physique devient disponible pour une utilisation autre, et, pour le moment du moins, à un travail plus important. La Nature ne coupe pas l'appétit, ne met pas le malade dans un état de prostration et n'arrête pas ses activités, tant mentales que sexuelles et sensorielles, pour rien. Celles-ci sont des mesures de conservation destinées à sauvegarder les énergies habituellement dépensées dans ces formes d'activités, afin qu'elles puissent être disponibles pour d'autres utilisations, comme par exemple, dans un travail plus important de rétablissement. "L'activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les  procédés de restauration les plus qualifiés". SHELTON La stimulation réduit donc le pouvoir fonctionnel, par la dépense d'énergie supplémentaire et l'accroissement des déchets métaboliques. Nous parlons ici, bien sûr, du repos dans le sens le plus large du terme, c'est à dire le repos physiologique qu'est le jeûne. Quand on ne jeûne pas, il est impossible de garder le lit le jour. Mais quand on jeûne, il s'installe dans le corps, au bout de quelques jours, une sorte de relaxation authentique qui oblige à garder le lit avec plaisir. "Le véritable stockage des réserves d'énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d'un corps épuisé, ne fait que précipiter l'épuisement des quelques réserves restantes, et amène l'effondrement final plus rapidement. Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l'état d'épuisement total. Par ailleurs, plus le corps est faible, moins il est capable de résister aux stimulants et plus grande est la nécessité de ne "rien faire" d'une façon intelligente. Seuls ceux qui possèdent une expérience suffisamment approfondie avec, d'une part la pratique du stimulant (gaspillage des forces) et d'autre part, la pratique du repos (conservation des forces) - seuls ceux-là peuvent juger du mérite des deux pratiques et peuvent former un jugement réellement circonstancié. Celui qui n'a pas complètement abandonné la pratique du stimulant, et qui, par manque de connaissance expérimentale de la question, proclame la supériorité de la pratique stimulante sur la pratique de conservation des forces, celui-là raisonne comme les philosophes en pantoufles. Il ne sait pas, il ne peut pas savoir ce dont il parle. Telle l'araignée qui tisse sa toile, il échafaude une théorie fantastique sur la toile de son imagination". SHELTON L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.) Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées. Le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables. Les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie. Donc, pour hâter l'élimination, il faut pousser les cellules, non les émonctoires à éliminer. Comment ? A cet effet, il faut savoir comment fonctionne nos cellules. Les cellules ont besoin pour fonctionner avant tout d'énergie nerveuse. Quand celle-ci est abondante, elles éliminent beaucoup, sinon elles éliminent peu. Comment augmenter cette énergie nerveuse ? Aucune substance ne vous la donnera, aucune méthode, aucun stimulant. On ne peut augmenter l'énergie nerveuse qu'en se reposant, en économisant sur les dépenses physiques, musculaires, digestives, sexuelles. Comment économiser ? Par le repos musculaire, stomacal, sexuel, etc.
 
Certains s'imaginent que l'exercice hâte l'élimination. Ils se trompent énormément. L'exercice, la marche, le travail, dévient les énergies vers les muscles et ralentissent donc l'élimination. Il n'existe pas de méthode plus efficace pour hâter l'élimination que le repos au lit. Une plus grande activité augmente la production des déchets, alors qu'une activité réduite restreint la production des toxines. Une activité accrue dépense de l'énergie, tandis que le repos et le sommeil conservent cette énergie. Plus un corps est stimulé, moins il devient capable d'assumer ses fonctions. Donnez-lui du repos suffisamment pour permettre la récupération, la réforme et la réparation, et sa vigueur et son efficacité fonctionnelles en seront augmentées. Une plus grande quantité d'énergie est dépensée dans l'activité physique. Si le repos est substitué à l'activité, l'énergie habituellement dépensée dans cette activité physique devient disponible pour une utilisation autre, et, pour le moment du moins, à un travail plus important. La Nature ne coupe pas l'appétit, ne met pas le malade dans un état de prostration et n'arrête pas ses activités, tant mentales que sexuelles et sensorielles, pour rien. Celles-ci sont des mesures de conservation destinées à sauvegarder les énergies habituellement dépensées dans ces formes d'activités, afin qu'elles puissent être disponibles pour d'autres utilisations, comme par exemple, dans un travail plus important de rétablissement. "L'activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les  procédés de restauration les plus qualifiés". SHELTON La stimulation réduit donc le pouvoir fonctionnel, par la dépense d'énergie supplémentaire et l'accroissement des déchets métaboliques. Nous parlons ici, bien sûr, du repos dans le sens le plus large du terme, c'est à dire le repos physiologique qu'est le jeûne. Quand on ne jeûne pas, il est impossible de garder le lit le jour. Mais quand on jeûne, il s'installe dans le corps, au bout de quelques jours, une sorte de relaxation authentique qui oblige à garder le lit avec plaisir. "Le véritable stockage des réserves d'énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d'un corps épuisé, ne fait que précipiter l'épuisement des quelques réserves restantes, et amène l'effondrement final plus rapidement. Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l'état d'épuisement total. Par ailleurs, plus le corps est faible, moins il est capable de résister aux stimulants et plus grande est la nécessité de ne "rien faire" d'une façon intelligente. Seuls ceux qui possèdent une expérience suffisamment approfondie avec, d'une part la pratique du stimulant (gaspillage des forces) et d'autre part, la pratique du repos (conservation des forces) - seuls ceux-là peuvent juger du mérite des deux pratiques et peuvent former un jugement réellement circonstancié. Celui qui n'a pas complètement abandonné la pratique du stimulant, et qui, par manque de connaissance expérimentale de la question, proclame la supériorité de la pratique stimulante sur la pratique de conservation des forces, celui-là raisonne comme les philosophes en pantoufles. Il ne sait pas, il ne peut pas savoir ce dont il parle. Telle l'araignée qui tisse sa toile, il échafaude une théorie fantastique sur la toile de son imagination". SHELTON L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.) Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées. Le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables. Les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie. Donc, pour hâter l'élimination, il faut pousser les cellules, non les émonctoires à éliminer. Comment ? A cet effet, il faut savoir comment fonctionne nos cellules. Les cellules ont besoin pour fonctionner avant tout d'énergie nerveuse. Quand celle-ci est abondante, elles éliminent beaucoup, sinon elles éliminent peu. Comment augmenter cette énergie nerveuse ? Aucune substance ne vous la donnera, aucune méthode, aucun stimulant. On ne peut augmenter l'énergie nerveuse qu'en se reposant, en économisant sur les dépenses physiques, musculaires, digestives, sexuelles. Comment économiser ? Par le repos musculaire, stomacal, sexuel, etc.
 
 
On ne hâtera pas l'élimination en stimulant les émonctoires.
 
On ne hâtera pas l'élimination en stimulant les émonctoires.
 
1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie
 
1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie
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Traduit et présenté de DR SHELTON'S HYGIENIC REVIEW, vol 24, n°4, par A. M..
 
Traduit et présenté de DR SHELTON'S HYGIENIC REVIEW, vol 24, n°4, par A. M..
  
On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable.
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On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
 
 
Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne.
 
 
 
Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal.
 
 
 
Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques.
 
 
 
Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale.
 
 
 
Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
 
  
 
L'HYGIENISME est un mouvement révolutionnaire de santé qui naquit aux USA au début du siècle passé. Déjà dans la Grèce Antique, existaient des Temples où le jeûne était pratiqué, dans le but de guérir toutes les maladies. Des philosophes grecs étaient en faveur d'un tel mouvement. Celui qui cherche une santé naturellese trouve confronté à une multitude de systèmes, médicaux ou naturels. Or, l'Hygiénisme se distingue de tous les autres systèmes par son originalité et sa rigueur doctrinale. L'Hygiénisme exclut tout genre de remèdes, même naturels, contrairement à la Naturothérapie. La suppression de la cause suffit. Tout est simplifié de lasorte. D'après les principes de l'Hygiénisme, les facteurs nécessaires au maintien de la santé sont ceux-là même auxquels il faut recourir pour la rétablir, et pas d'autres, quelle que soit la maladie en cause. Ces facteurs sont l'alimentation spécifique à l'espèce humaine, l'absence de poisons chimiques, la suppression des médicaments, des vaccins, des émotions négatives, avoir l'esprit positif, le repos, le sommeil, l'air pur, l'exercice, etc.... En dosant chaque facteur selon le pouvoir d'utilisation de chaque cas particulier.
 
L'HYGIENISME est un mouvement révolutionnaire de santé qui naquit aux USA au début du siècle passé. Déjà dans la Grèce Antique, existaient des Temples où le jeûne était pratiqué, dans le but de guérir toutes les maladies. Des philosophes grecs étaient en faveur d'un tel mouvement. Celui qui cherche une santé naturellese trouve confronté à une multitude de systèmes, médicaux ou naturels. Or, l'Hygiénisme se distingue de tous les autres systèmes par son originalité et sa rigueur doctrinale. L'Hygiénisme exclut tout genre de remèdes, même naturels, contrairement à la Naturothérapie. La suppression de la cause suffit. Tout est simplifié de lasorte. D'après les principes de l'Hygiénisme, les facteurs nécessaires au maintien de la santé sont ceux-là même auxquels il faut recourir pour la rétablir, et pas d'autres, quelle que soit la maladie en cause. Ces facteurs sont l'alimentation spécifique à l'espèce humaine, l'absence de poisons chimiques, la suppression des médicaments, des vaccins, des émotions négatives, avoir l'esprit positif, le repos, le sommeil, l'air pur, l'exercice, etc.... En dosant chaque facteur selon le pouvoir d'utilisation de chaque cas particulier.
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<p style="left; font-size: 120%; line-height: 1.2"><b>À propos de la Fondation Ékopédia</b></p>
 
<p style="left; font-size: 120%; line-height: 1.2"><b>À propos de la Fondation Ékopédia</b></p>
  
Afin de soutenir le projet Ékopédia dans sa croissance, un organisme à but non lucratif, la « [[fondation:À propos de la Fondation Ékopédia|Fondation Ékopédia]] » a été créée à Québec (Canada) en septembre 2007, ayant pour objectif de développer des projets d'écologie sociale afin que ceux-ci deviennent les références comme sources des connaissances et savoir-faire nécessaires pour l'application de mesures et principes du domaine de l'écologie. Son projet le plus reconnu est le projet de site [http://www.ekopedia.org Ékopédia.org]. Les autres projets étant l'aide au développement du site Internet ekopedia.org dans d'autres langues, l'amélioration des articles existants et la création de nouveaux, la création d'un salon à Québec sur le thème des solutions écologiques, la publication d'une version papier du site Internet Ékopédia, la création d'un annuaire des alternatives... Une autre manière de soutenir le projet Ékopédia est de <b>[http://www.fondationekopedia.org/Faire_un_don/EUR/onetime/fr faire un don]</b> à la Fondation Ékopédia.
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Afin de soutenir le projet Ékopédia dans sa croissance, un organisme à but non lucratif, la « [[fondation:Fondation_Ékopédia:À_propos|Fondation Ékopédia]] » a été créée à Québec (Canada) en septembre 2007, ayant pour objectif de développer des projets d'écologie sociale afin que ceux-ci deviennent les références comme sources des connaissances et savoir-faire nécessaires pour l'application de mesures et principes du domaine de l'écologie. Son projet le plus reconnu est le projet de site [http://www.ekopedia.org Ékopédia.org]. Les autres projets étant l'aide au développement du site Internet ekopedia.org dans d'autres langues, l'amélioration des articles existants et la création de nouveaux, la création d'un salon à Québec sur le thème des solutions écologiques, la publication d'une version papier du site Internet Ékopédia, la création d'un annuaire des alternatives... Une autre manière de soutenir le projet Ékopédia est de <b>[http://www.fondationekopedia.org/Faire_un_don/EUR/onetime/fr faire un don]</b> à la Fondation Ékopédia.
  
 
<center><p style="left; font-size: 125%; line-height: 1.2">En écologie, nous connaissons le « pourquoi »...
 
<center><p style="left; font-size: 125%; line-height: 1.2">En écologie, nous connaissons le « pourquoi »...
 
<strong style="color: #3f3f6f; display: block">...voici donc « comment » répondre aux défis écologiques d'aujourd'hui et de demain.</strong></p></center>
 
<strong style="color: #3f3f6f; display: block">...voici donc « comment » répondre aux défis écologiques d'aujourd'hui et de demain.</strong></p></center>
  
L'encyclopédie écologique [[Principes fondateurs|Ékopédia]] est gratuite, écrite coopérativement (type wiki) et son contenu est librement réutilisable. Ékopédia est un projet collaboratif unique qui a permis la création de plus de '''[[Special:Statistics|{{NUMBEROFARTICLES:R}}]]''' articles (projet francophone) visant à donner au grand public les moyens d'agir plus écologiquement. L'encyclopédie écologique Ékopédia a des versions dans 6 langues (français, anglais, espéranto, italien, allemand et polonais) et des versions sont sur le point de naître en portugais, catalan et hollandais. Pour en savoir plus, consultez le site [http://www.ekopedia.org www.ekopedia.org].
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<center><p style="left; font-size: 115%; line-height: 1.2">&laquo; ''Par son approche novatrice en terme de communications, à la pointe de la technologie Internet, combinant une approche numérique et une approche locale, en maintenant une forte interaction entre les individus et la création de réseaux sociaux, l'organisme aide à développer et faire connaître les alternatives au plus grand nombre d'individus. En somme, notre mission est de donner accès, sans restriction ni discrimination, à des connaissances pratiques du domaine de l'écologie. Nous devons définir ensemble les techniques nous permettant de construire un monde meilleur'' &raquo;</p></center>
 
<center><p style="left; font-size: 115%; line-height: 1.2">&laquo; ''Par son approche novatrice en terme de communications, à la pointe de la technologie Internet, combinant une approche numérique et une approche locale, en maintenant une forte interaction entre les individus et la création de réseaux sociaux, l'organisme aide à développer et faire connaître les alternatives au plus grand nombre d'individus. En somme, notre mission est de donner accès, sans restriction ni discrimination, à des connaissances pratiques du domaine de l'écologie. Nous devons définir ensemble les techniques nous permettant de construire un monde meilleur'' &raquo;</p></center>

Version du 4 octobre 2008 à 21:34

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