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L’alimentation naturelle est celle qui se rapproche le plus de l’alimentation des grands primates. Il n’y aura pas de produits animaux, ni viande, ni poisson, ni huîtres, ni fruits de mer, et il n’y aura pas non plus de céréales. D’après le tableau d’anatomie et de physiologie comparées, l’homme est frugivore. Il reste tous les fruits, tous les légumes, et les racines, comme les pommes de terre, les topinambours, les ignames. Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. | L’alimentation naturelle est celle qui se rapproche le plus de l’alimentation des grands primates. Il n’y aura pas de produits animaux, ni viande, ni poisson, ni huîtres, ni fruits de mer, et il n’y aura pas non plus de céréales. D’après le tableau d’anatomie et de physiologie comparées, l’homme est frugivore. Il reste tous les fruits, tous les légumes, et les racines, comme les pommes de terre, les topinambours, les ignames. Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. | ||
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Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Etant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ? Nous nous acharnons, ignorance ou inconscience, à "creuser notre tombe avec nos dents ". | Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Etant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ? Nous nous acharnons, ignorance ou inconscience, à "creuser notre tombe avec nos dents ". | ||
| − | + | L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... Quel parcours, et que de changements, voire de bouleversements ! Car finalement, l'être humain serait donc à la base un foli-frugivore strict. Dans ce livre, l'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...) , et des fruits azotés comme les noix, noisettes,,,, mais en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, mono insaturés, et saturés, des protéines végétales d'origine différentes et qui se complètent, sans risque d'acides aminés manquants, Toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les ninéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité, et, pas de cholestérol du tout , - l'être humain en faisant sa propre synthèse selon ses besoins, Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans le tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement, comme il est écrit : Nous devons reconnaître qu'on peut se conserver en assez bonne santé en absorbant de la viande deux fois par semaine au maximum.... le jaune d'œuf est facile à digérer et nous en tolérons la consommation, ainsi que celle du lait caillé et des fromages non fermentés, pour les personnes qui souhaitent une transition douce et progressive. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques" En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement. C'est modifier ses perceptions et ses projets. C'est s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion. | |
Arrivées au 3<sup>ème</sup> millénaire, les sociétés dites civilisées en sont encore à l'âge de pierre quand il s'agit de parler d'alimentation et de santé, les responsables politiques cherchant à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Sur notre planète, l'alimentation représente un problème majeur. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances. Partout, l'ignorance de nos vrais besoins nutritionnels fait des ravages. On meurt de faim sur toute la planète, qu'il s'agisse de la « faim des maigres » dans les pays pauvres ou de la « faim des gros » des pays riches, qui consomment d'énormes quantités d'aliments dépourvus de substances nutritives et sont au niveau de leurs cellules, aussi carencés que les peuples souffrant de la faim ! | Arrivées au 3<sup>ème</sup> millénaire, les sociétés dites civilisées en sont encore à l'âge de pierre quand il s'agit de parler d'alimentation et de santé, les responsables politiques cherchant à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Sur notre planète, l'alimentation représente un problème majeur. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances. Partout, l'ignorance de nos vrais besoins nutritionnels fait des ravages. On meurt de faim sur toute la planète, qu'il s'agisse de la « faim des maigres » dans les pays pauvres ou de la « faim des gros » des pays riches, qui consomment d'énormes quantités d'aliments dépourvus de substances nutritives et sont au niveau de leurs cellules, aussi carencés que les peuples souffrant de la faim ! | ||
Version du 6 octobre 2008 à 18:21
Afin de soutenir le projet Ékopédia dans sa croissance, un organisme à but non lucratif, la « Fondation Ékopédia » a été créée à Québec (Canada) en septembre 2007, ayant pour objectif de développer des projets d'écologie sociale afin que ceux-ci deviennent les références comme sources des connaissances et savoir-faire nécessaires pour l'application de mesures et principes du domaine de l'écologie. Son projet le plus reconnu est le projet de site Ékopédia.org. Les autres projets étant l'aide au développement du site Internet ekopedia.org dans d'autres langues, l'amélioration des articles existants et la création de nouveaux, la création d'un salon à Québec sur le thème des solutions écologiques, la publication d'une version papier du site Internet Ékopédia, la création d'un annuaire des alternatives... Une autre manière de soutenir le projet Ékopédia est de faire un don à la Fondation Ékopédia.
En écologie, nous connaissons le « pourquoi »... ...voici donc « comment » répondre aux défis écologiques d'aujourd'hui et de demain.
L'encyclopédie écologique Ékopédia est gratuite, écrite coopérativement (type wiki) et son contenu est librement réutilisable. Ékopédia est un projet collaboratif unique qui a permis la création de plus de 2555 articles (projet francophone) visant à donner au grand public les moyens d'agir plus écologiquement. L'encyclopédie écologique Ékopédia a des versions dans 6 langues (français, anglais, espéranto, italien, allemand et polonais) et des versions sont sur le point de naître en portugais, catalan et hollandais. Pour en savoir plus, consultez le site www.ekopedia.org.
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