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Les deux notions fondamentales, que les autres auteurs ignorent, et que vous trouverez dans certains ouvrages, (renseignements auprès de Mr MUNOZ Vincent, Domaine de boisviel Sud, 13104 Mas-Thibert ou par email), sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas. Les études, la vie de famille et la vie professionnelle aidant, j'ai cédé à la facilité. Je me suis alimentée "comme tout le monde", sans trop me poser de questions. J'avoue aussi m'être goinfrée souvent de sucreries, biscuits, gâteaux, pâtes, sandwichs, viande, fromage, laitages, coca, chocolat, etc..... Et puis après tout n'étais-je pas en bonne santé ? Puis les années passent et apportent tout un cortège de troubles que l'on attribue avec complaisance à l'âge, à l'hérédité, au terrain, ou à la fatalité. Embonpoint, cellulite, constipation, eczéma, varicosités, conjonctivite, frilosité, fatigue, dans mon cas. Mes connaissances médicales, et la consultation de plusieurs confrères réputés ne m'ont jamais aidé en rien pour résoudre mes problèmes. Me voilà donc revenue à mon idée première : il y a certainement quelque chose d'autre à faire. J'étais en bonne santé (en apparence) je devais le rester. J'ai repris mes lectures ; Kousmine, Lecerf, Masson, Mondgnac, Zaraï, etc...... Aucun de ces auteurs n'a obtenu ma totale adhésion, jusqu'à ce que j'en arrive à Shelton puis à aujourd'hui. J'ai trouvé là comme le maillon d'une chaîne, comme la pièce d'un puzzle qui permet la mise en place de tout le reste. Après avoir appris à l'école primaire que l'homme est omnivore ; après avoir souhaité être végétarienne ; c'est la quarantaine venue que je comprends enfin, que l'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. C'est ce que je fais depuis un an environ, pour mon plus grand bien, malgré encore quelques erreurs liées à de vieilles mauvaises habitudes tenaces. Ceux qui découvrent l'existence de l'hygiénisme s'apercevront qu'il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines. Ceux-là trouveront un bien-être sans doute jamais connu, ou depuis longtemps oublié. En espérant que vous serez suffisamment ébranlés, par la lecture des ouvrages (pour renseignements voir plus haut l'adresse) dans vos anciennes convictions, et prêts (comme je l'ai fait) à tout remettre à plat pour repartir sur de nouvelles bases pour une vie nouvelle. Dr Catie Banuls
 
Les deux notions fondamentales, que les autres auteurs ignorent, et que vous trouverez dans certains ouvrages, (renseignements auprès de Mr MUNOZ Vincent, Domaine de boisviel Sud, 13104 Mas-Thibert ou par email), sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas. Les études, la vie de famille et la vie professionnelle aidant, j'ai cédé à la facilité. Je me suis alimentée "comme tout le monde", sans trop me poser de questions. J'avoue aussi m'être goinfrée souvent de sucreries, biscuits, gâteaux, pâtes, sandwichs, viande, fromage, laitages, coca, chocolat, etc..... Et puis après tout n'étais-je pas en bonne santé ? Puis les années passent et apportent tout un cortège de troubles que l'on attribue avec complaisance à l'âge, à l'hérédité, au terrain, ou à la fatalité. Embonpoint, cellulite, constipation, eczéma, varicosités, conjonctivite, frilosité, fatigue, dans mon cas. Mes connaissances médicales, et la consultation de plusieurs confrères réputés ne m'ont jamais aidé en rien pour résoudre mes problèmes. Me voilà donc revenue à mon idée première : il y a certainement quelque chose d'autre à faire. J'étais en bonne santé (en apparence) je devais le rester. J'ai repris mes lectures ; Kousmine, Lecerf, Masson, Mondgnac, Zaraï, etc...... Aucun de ces auteurs n'a obtenu ma totale adhésion, jusqu'à ce que j'en arrive à Shelton puis à aujourd'hui. J'ai trouvé là comme le maillon d'une chaîne, comme la pièce d'un puzzle qui permet la mise en place de tout le reste. Après avoir appris à l'école primaire que l'homme est omnivore ; après avoir souhaité être végétarienne ; c'est la quarantaine venue que je comprends enfin, que l'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. C'est ce que je fais depuis un an environ, pour mon plus grand bien, malgré encore quelques erreurs liées à de vieilles mauvaises habitudes tenaces. Ceux qui découvrent l'existence de l'hygiénisme s'apercevront qu'il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines. Ceux-là trouveront un bien-être sans doute jamais connu, ou depuis longtemps oublié. En espérant que vous serez suffisamment ébranlés, par la lecture des ouvrages (pour renseignements voir plus haut l'adresse) dans vos anciennes convictions, et prêts (comme je l'ai fait) à tout remettre à plat pour repartir sur de nouvelles bases pour une vie nouvelle. Dr Catie Banuls
  
Certains crudités sont aspergés de produits chimiques, il faudra donc les peler, du reste les pelures de tomate sont indigestes et se retrouvent dans les selles. On ne peut pas les réduire par la mastication en purée. Les feuilles vertes seront rapidement lavées, sous le robinet, puis essorées. Les premières rangées seront jetées, à cause des traitements chimiques qu'elles ont subies durant leur culture. Les concombres, les poivrons rouges ou verts, les fèves vertes avec les cosses, ne doivent pas être pelés, mais soigneusement frottés, sous le robinet, avec une brosse. Les carottes auront besoin d'être pelées, car on les conserve dans du sable qui s'y incruste fortement, et qu'il est impossible de déloger par le brossage. Les salsifis seront brossés sous l'eau, avec une brosse dure, on pourra aussi les peler. En conclusion : ne jamais tremper les crudités dans l'eau, car cette pratique leur fait perdre des vitamines et des sels minéraux inutilement. Les crudités ne doivent pas être écrasées, hachées, moulinées, ou râpées, sauf pour les dents fragiles. L'habitude de couper finement les légumes, de les râper ou de les mouliner, leur fait perdre, par oxydation, des vitamines et des enzymes.
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Certaines crudités sont aspergés de produits chimiques, il faudra donc les peler, du reste les pelures de tomate sont indigestes et se retrouvent dans les selles. On ne peut pas les réduire par la mastication en purée. Les feuilles vertes seront rapidement lavées, sous le robinet, puis essorées. Les premières rangées seront jetées, à cause des traitements chimiques qu'elles ont subies durant leur culture. Les concombres, les poivrons rouges ou verts, les fèves vertes avec les cosses, ne doivent pas être pelés, mais soigneusement frottés, sous le robinet, avec une brosse. Les carottes auront besoin d'être pelées, car on les conserve dans du sable qui s'y incruste fortement, et qu'il est impossible de déloger par le brossage. Les salsifis seront brossés sous l'eau, avec une brosse dure, on pourra aussi les peler. En conclusion : ne jamais tremper les crudités dans l'eau, car cette pratique leur fait perdre des vitamines et des sels minéraux inutilement. Les crudités ne doivent pas être écrasées, hachées, moulinées, ou râpées, sauf pour les dents fragiles. L'habitude de couper finement les légumes, de les râper ou de les mouliner, leur fait perdre, par oxydation, des vitamines et des enzymes.
Des analyses ont démontrés que le chou perd 10% de sa vitamine C pendant les 6 minutes qu'on met à le couper. Le Docteur Canadien Frederick Tisdall, de Toronto, a découvert que l'action de râper les pommes et les pommes de terre leur fait perdre la totalité de leurs vitamines C, et la mastication en en détruit la moitié. Mais suite à celle ci la nature a bien fait les choses et il en reste assez pour combler nos besoins. Pas de crudités acides avec les farineux. Assaisonnements defendu vinaigre moutarde épices aromates douces sel oignons frais ail frais fromages fermentes Citron persil mayonnaise jaune d'œuf fromage blanc a peine sale gruyère râpé Les feuilles vertes sont extrêmement riches en vitamine A, plus que tous les corps gras, beurre, huile, etc ..... L'oignon et l'ail sont trop forts crus. Ils contiennent l'huile de moutarde qui est un poison.
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Le Docteur Canadien Frederick Tisdall, de Toronto, a découvert que l'action de râper les pommes et les pommes de terre leur fait perdre la totalité de leurs vitamines C, et la mastication en en détruit la moitié. Mais suite à celle ci la nature a bien fait les choses et il en reste assez pour combler nos besoins. Pas de crudités acides avec les farineux. Assaisonnements defendu vinaigre moutarde épices aromates douces sel oignons frais ail frais fromages fermentes Citron persil mayonnaise jaune d'œuf fromage blanc a peine sale gruyère râpé Les feuilles vertes sont extrêmement riches en vitamine A, plus que tous les corps gras, beurre, huile, etc ..... L'oignon et l'ail sont trop forts crus. Ils contiennent l'huile de moutarde qui est un poison.
 
Les corps gras sont à supprimer.
 
Les corps gras sont à supprimer.
  
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Or ce sont ces substances qu'on appelle improprement " les impuretés " , auxquelles le sucre est lié, qui freinent son entrée dans le sang.
 
Or ce sont ces substances qu'on appelle improprement " les impuretés " , auxquelles le sucre est lié, qui freinent son entrée dans le sang.
 
Par contre le sucre blanc qui rentre en masse dans le sang a été par raffinage débarrassé de ses impuretés. Il provoquera à la longue des stimulations et puis des dépressions quand tout le sucre aura été absorbé par le corps. Le corps tout entier reçoit un choc et surtout le pancréas, cet organe est obligé de sécréter de l'insuline pour faire face à cette situation, alors qu'avec les sucres dilués des fruits, il ne sécrète pas d'insuline.
 
Par contre le sucre blanc qui rentre en masse dans le sang a été par raffinage débarrassé de ses impuretés. Il provoquera à la longue des stimulations et puis des dépressions quand tout le sucre aura été absorbé par le corps. Le corps tout entier reçoit un choc et surtout le pancréas, cet organe est obligé de sécréter de l'insuline pour faire face à cette situation, alors qu'avec les sucres dilués des fruits, il ne sécrète pas d'insuline.
A la longue le pancréas s'épuise et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif .
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A la longue le pancréas s'épuise et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif.
Ceux qui supprime le sucre en mangeant du pain font erreur.
 
  
 
Les êtres humains ont besoin de 90 % de leur substance nutritive en tant que glucose, pour le convertir en énergie en plus, ils ont besoin de 5 % d'acides aminés, pour la croissance, le développement et les réparations. Ils ont besoin aussi de 3 % environ de sels minéraux, peut-être de 1 % de corps gras, et 1 % de vitamines et d'autres substances connues et inconnues (pas de protéines).
 
Les êtres humains ont besoin de 90 % de leur substance nutritive en tant que glucose, pour le convertir en énergie en plus, ils ont besoin de 5 % d'acides aminés, pour la croissance, le développement et les réparations. Ils ont besoin aussi de 3 % environ de sels minéraux, peut-être de 1 % de corps gras, et 1 % de vitamines et d'autres substances connues et inconnues (pas de protéines).
  
 
Il n'y a que les fruits qui peuvent combler ces besoins à savoir que les concombres, les courgettes, les tomates, les poivrons sont des fruits, du point de vue biologique. Ce sont des plantes qui possèdent aussi une fleur.
 
Il n'y a que les fruits qui peuvent combler ces besoins à savoir que les concombres, les courgettes, les tomates, les poivrons sont des fruits, du point de vue biologique. Ce sont des plantes qui possèdent aussi une fleur.
Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ANKYLOSE et même la soudure des jointures dans le cas de POLYARTHRITE et de SPONDYLITE ANKYLOSANTE. Enfin les seuls sucres acceptables sont le sirop d'érable et la mélasse tirée de la canne à sucre. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis , les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
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Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ANKYLOSE et même la soudure des jointures dans le cas de POLYARTHRITE et de SPONDYLITE ANKYLOSANTE. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis , les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
 
Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
 
Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
 
Les réserves du corps sont constitués par :
 
Les réserves du corps sont constitués par :
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- le sucre dans le foie, les muscles, les glandes, etc.
 
- le sucre dans le foie, les muscles, les glandes, etc.
 
- les vitamines dans le sang, etc.
 
- les vitamines dans le sang, etc.
Les aliments ne nourrissent pas à moins d'être digérés. Et ils doivent être digérés avant d'être absorbés. Ils doivent être absorbés avant d'être assimilés, enfin ils doivent être assimilés avant de pouvoir être d'une utilité quelconque pour les cellules du corps. Toutes les tisanes sont à éviter, en effet ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne). De plus si ces tisanes font dormir, ce n'est pas du sommeil. Elles éloignent comme les médicaments le sang du cerveau. Le tort causé au système nerveux est considérable. Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
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Les aliments ne nourrissent pas à moins d'être digérés. Et ils doivent être digérés avant d'être absorbés. Ils doivent être absorbés avant d'être assimilés, enfin ils doivent être assimilés avant de pouvoir être d'une utilité quelconque pour les cellules du corps. Toutes les tisanes sont à éviter, en effet ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne). De plus si ces tisanes font dormir, ce n'est pas du sommeil. Elles éloignent comme les médicaments le sang du cerveau. Le tort causé au système nerveux est considérable.
 
Il existe dans la nature un cycle : le végétal se nourrit du minéral et l'homme se nourrit du végétal. On ne peut pas court-circuiter ce cycle et se nourrir de produits minéraux. Il n'y a que la plante qui ait la possibilité d'assimiler les matières minérales inertes.
 
Il existe dans la nature un cycle : le végétal se nourrit du minéral et l'homme se nourrit du végétal. On ne peut pas court-circuiter ce cycle et se nourrir de produits minéraux. Il n'y a que la plante qui ait la possibilité d'assimiler les matières minérales inertes.
  
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Attention à la publicité trompeuse. Ceux qui supportent pas l'acidité des fruits ne doivent pas rendre responsable les fruits acides. Quand on supprimera les noix diverses et les fromages, les fruits acides seront acceptés .
 
Attention à la publicité trompeuse. Ceux qui supportent pas l'acidité des fruits ne doivent pas rendre responsable les fruits acides. Quand on supprimera les noix diverses et les fromages, les fruits acides seront acceptés .
 
Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires.
 
Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires.
 
LES DENTS
 
 
La mastication de crudité favorise aussi une bonne dentition. (mieux qu'une brosse).
 
Les dentifrices sont à éviter, car ils contiennent une grande quantité de produits chimiques, de même pour les brosses dures qui rayent l'émail. On peut toutefois nettoyer les dents avec le bord d'une serviette.
 
Les rayons X ont un effet néfaste, mais limité sans gravité pour les dents, on ne peut s'y opposer.
 
Les doses utilisées sont minimes.
 
Refuser les médicaments ainsi que les antibiotiques qui calment les douleurs.
 
L'anesthésique local et léger sera accepté (dose d'enfant), on laissera les abcès mûrir et se viser d'eux mêmes.
 
 
Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE.
 
  
 
Il faut toujours commencer à manger par les aliments aqueux pour finir par les plus concentrés.
 
Il faut toujours commencer à manger par les aliments aqueux pour finir par les plus concentrés.
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Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'Autoguérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
 
Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'Autoguérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
  
La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de sauté qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
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La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de santé qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
  
Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque
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Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Il est clair aujourd'hui que le Cancer, l'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée. Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences ? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Etant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ?
jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies
 
médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. Certainement, on peut nier tout cela, ou, on peut accepter de se
 
résigner, mais on peut aussi décider de sortir de la passivité de l'assisté, et agir. En particulier, si donc la "malbouffe" fait autant de dégâts aujourd'hui que les épidémies hier, on peut peut-être essayer de définir ce que peut être l'Alimentation "idéale" de l'être humain, c'est à dire celle qui permet la longévité dans la santé. On se met à table trois fois par jour, et personne ne semble savoir, ce pour quoi l'être humain est fait pour
 
manger ! Quand en Asie, l'alimentation est passée du riz entier au riz raffiné, la population s'est vue atteinte d'une maladie qui ressembla à une nouvelle épidémie, inconnue et mortelle. Cette maladie, nommée Béri-béri, fut finalement reconnue comme ayant pour unique cause , la carence totale en une des vitamines du groupe B, exactement comme le scorbut ne repose que sur la seule carence en vitamine C ! Ainsi donc, voici deux maladies mortelles qui ne reposent que sur une carence alimentaire ! Or, qu'en est-il de nos maladies actuelles ? Qu'en est-il en particulier d'une d'entre elles, seconde cause de mortalité en France : le Cancer ? Toutes les statistiques s'accordent que le cancer augmente dans les pays industrialisés de 5 % par an, ce qui signifie qu'à partir des années 2010/2020, tout être humain, dans ces pays-là, fera au moins un cancer dans sa vie ! (Actuellement, on en est à une personne sur quatre). N'est-ce pas là un autre type "d'épidémie" ? Alors bien sûr, des centaines de scientifiques à travers le monde, étudient toutes les possibilités envisageables de dépistage et de traitement, mais la question fondamentale de base à se poser, n'est-elle pas tout simplement : pourquoi ?, c'est à dire : qu'est-ce que tout cela signifie ? Qu'y a-t-il de caché ? Car, si on obtient une réponse, au lieu de se contenter de faire des dépistages, il devient possible de faire de la prévention, ce qui n'est pas du tout la même chose. Qu'en est-il aussi de la progression phénoménale de cette maladie qui provoque une sénilité avant même d'avoir atteint 65 ans, c'est à dire la maladie d'Alzheimer, qui est en passe de devenir la plus grande cause de morbidité, d'invalidité et de mortalité ! N'est-ce pas là un exemple supplémentaire d'un autre type d"'épidémie"? Que dire encore de la progression silencieuse de cette maladie, qui interpelle actuellement tant de gynécologues et de rhumatologues, devant leurs patientes en phase de ménopause ? Il s'agit là de l'ostéoporose, qui, correspondant à la réduction de la calcification osseuse, peut aller jusqu'à atteindre le seuil de la fracture spontané ! Ces trois exemples, et tant d'autres identiques, ne correspondent-ils pas tout simplement aussi à des "carences" ? Notre société de consommation, et son abondance alimentaire, n'est-elle pas en réalité productrice de carences multiples ? La femme japonaise est la femme qui fait le moins de cancer du sein au monde, et la femme américaine, le plus. On pourrait voir là, une simple question de race ou de climat. Mais il n'en est rien, car les générations suivantes de femmes japonaises immigrées aux Etats-Unis, voient leur fréquence du cancer du sein rejoindre celle de la femme américaine, mais uniquement lorsqu'il y a eu pleine assimilation, non lorsque les traditions, en particulier alimentaires, ont été conservées ! On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Trouver un exemple plus parlant, c'est difficile, et nier l'évidence, c'est faire fausse route et c'est dangereux: il est clair aujourd'hui que le Cancer, l'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée.
 
Quelques chiffres très parlants peuvent être retenus :
 
- la consommation de viande en France est passée de 55 gr par jour et
 
par personne à la fin du siècle dernier, à 110 gr par jour après la première
 
guerre mondiale, à 165 gr par jour après la seconde guerre mondiale, et
 
enfin à 330 gr par jour aujourd'hui
 
- la consommation de sucre industriel est passée de 2,500 kilos par an
 
et par personne à la fin du siècle dernier, à 40 kg par an en France et 70 kg
 
aux Etats-Unis !
 
- la consommation des graisses en France est passée de 70 gr par jour
 
et par personne à la fin du siècle dernier, à 135 gr par jour en 1965, et 200 gr
 
aujourd'hui !
 
Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Etant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ? Nous nous acharnons, ignorance ou inconscience, à "creuser notre tombe avec nos dents ".
 
  
 
L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... Quel parcours, et que de changements, voire de bouleversements ! Car finalement, l'être humain serait donc à la base un foli-frugivore strict. Dans ce livre, l'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...) , et des fruits azotés comme les noix, noisettes,,,, mais en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, mono insaturés, et saturés, des protéines végétales d'origine différentes et qui se complètent, sans risque d'acides aminés manquants, Toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les ninéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité, et, pas de cholestérol du tout , - l'être humain en faisant sa propre synthèse selon ses besoins, Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans le tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement, comme il est écrit : Nous devons reconnaître qu'on peut se conserver en assez bonne santé en absorbant de la viande deux fois par semaine au maximum.... le jaune d'œuf est facile à digérer et nous en tolérons la consommation, ainsi que celle du lait caillé et des fromages non fermentés, pour les personnes qui souhaitent une transition douce et progressive. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques" En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement. C'est modifier ses perceptions et ses projets. C'est s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
 
L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... Quel parcours, et que de changements, voire de bouleversements ! Car finalement, l'être humain serait donc à la base un foli-frugivore strict. Dans ce livre, l'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...) , et des fruits azotés comme les noix, noisettes,,,, mais en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, mono insaturés, et saturés, des protéines végétales d'origine différentes et qui se complètent, sans risque d'acides aminés manquants, Toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les ninéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité, et, pas de cholestérol du tout , - l'être humain en faisant sa propre synthèse selon ses besoins, Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans le tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement, comme il est écrit : Nous devons reconnaître qu'on peut se conserver en assez bonne santé en absorbant de la viande deux fois par semaine au maximum.... le jaune d'œuf est facile à digérer et nous en tolérons la consommation, ainsi que celle du lait caillé et des fromages non fermentés, pour les personnes qui souhaitent une transition douce et progressive. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques" En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement. C'est modifier ses perceptions et ses projets. C'est s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
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Les obèses, les femmes, les vieux et les grands malades se contenteront d'environ 1 à 2 kilos par jour. Les jeunes, les travailleurs de force et les gens sains peuvent aller jusqu'à consommer 3/4 kilos par jour. Le nombre des repas peut varier entre 2 gros repas et 6 mini-repas par jour. Les petits repas sont préférables au gros repas, car dans la nature les carnivores prennent de gros repas, alors que les oiseaux et les gorilles grignotent toute la journée, sauf durant la sieste. Le lion attend souvent 2/3 jours avant d'avoir faim et mange des repas plantureux. Les chiens se contentent d'un seul repas par jour. Les horaires de travail semblent poser un obstacle au respect des règles de notre nature, mais on peut toujours se débrouiller pour croquer une pomme ou manger quelques dattes au bureau, pendant que les autres fument et boivent leur néfaste café.
 
Les obèses, les femmes, les vieux et les grands malades se contenteront d'environ 1 à 2 kilos par jour. Les jeunes, les travailleurs de force et les gens sains peuvent aller jusqu'à consommer 3/4 kilos par jour. Le nombre des repas peut varier entre 2 gros repas et 6 mini-repas par jour. Les petits repas sont préférables au gros repas, car dans la nature les carnivores prennent de gros repas, alors que les oiseaux et les gorilles grignotent toute la journée, sauf durant la sieste. Le lion attend souvent 2/3 jours avant d'avoir faim et mange des repas plantureux. Les chiens se contentent d'un seul repas par jour. Les horaires de travail semblent poser un obstacle au respect des règles de notre nature, mais on peut toujours se débrouiller pour croquer une pomme ou manger quelques dattes au bureau, pendant que les autres fument et boivent leur néfaste café.
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Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE.
  
 
==== Le raffinage ====
 
==== Le raffinage ====
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La Nature ne produit pas de fromage. Dans le lait, la caséine est la partie protéique qui sert aux jeunes pour leur croissance. Les adultes ont terminé leur croissance et n'en ont pas besoin. Les enfants sont sevrés naturellement car leur corps n'a plus besoin de lait. Les fromages contiennent donc la caséine du lait, qui est une protéine concentrée, au même titre que celles la viande et des noix diverses. C'est de là que vient le mal. Les fromages fermentés sont les plus empoisonnants. La plus petite quantité a un effet catastrophique sur l'organisme. Elle a pour conséquence de favoriser la fermentation de tout le bol alimentaire qui passe dans les selles le lendemain, sans digestion. Les aliments ne profitent pas au corps, puis ils l'empoisonnent.
 
La Nature ne produit pas de fromage. Dans le lait, la caséine est la partie protéique qui sert aux jeunes pour leur croissance. Les adultes ont terminé leur croissance et n'en ont pas besoin. Les enfants sont sevrés naturellement car leur corps n'a plus besoin de lait. Les fromages contiennent donc la caséine du lait, qui est une protéine concentrée, au même titre que celles la viande et des noix diverses. C'est de là que vient le mal. Les fromages fermentés sont les plus empoisonnants. La plus petite quantité a un effet catastrophique sur l'organisme. Elle a pour conséquence de favoriser la fermentation de tout le bol alimentaire qui passe dans les selles le lendemain, sans digestion. Les aliments ne profitent pas au corps, puis ils l'empoisonnent.
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Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
  
 
==== Les stimulants ====
 
==== Les stimulants ====
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== Le jeûne ou l'autoguérison ==
 
== Le jeûne ou l'autoguérison ==
  
&laquo; <i>Le jeûne est l'abstention totale d'aliments solides ou liquides autres que de l'eau pure, ou, l'abstention toale de tout aliment y compris l'eau pure, sur des périodes de durée variable (durée très courte lors d'abstention d'eau)</i> &raquo;. Le jeûne est la restriction, voire la suppression, momentanée de l'alimentation solide, pour une meilleure santé ; et peut être une excellente méthode de guérison. Il est indiqué dans tous les cas d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de désintoxications, de troubles rénaux et intestinaux. En effet, dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet au départ une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables : perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle. Une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore... Le jeûne préconise le repos le plus total dans toutes les fonctions de l'organisme. En situation de jeûne (au repos), l'organisme économise momentanément l'énergie affectée à la fonction musculaire afin de la mettre à la disposition de la fonction d'élimination toxinique. C'est pour cela que l'activité physique est proscrite tant que le corps est en état d'acidose - c'est-à-dire d'empoisonnement, dû principalement au stress et à l'alimentation. Le repos le plus total, aussi bien du corps et de l'esprit, est le maître mot dans la pensée hygiéniste. Le concept de &laquo; médicament &raquo; n'existe pas en hygiénisme. En effet, les hygiénistes pensent que l'organisme a toutes les capacités de supprimer les désordres de santé, créés par une hygiène de vie défectueuse. À partir du moment où on le met au repos, il peut se rénover, se régénérer dans le maximum de fonctions physiologiques, y compris les fonctions alimentaires. Pendant le jeûne, l'organisme fonctionne au ralenti, le volume du sang est plus fluide et le cœur travaille deux fois moins. La durée du jeune dépend de la vitalité du sujet, de son âge, de ses réserves, de la maladie à traiter. Les cures peuvent durer de plusieurs heures à plusieurs semaines. Éviter de pratiquer un jeûne quand on est trop fatigué. L'élimination demande de l'énergie à l'organisme. Il peut se produire des boutons sur la peau, des mauvaises odeurs, une mauvaise haleine, ... mais ne pas s'inquiéter et accompagner si possible ces manifestations d'épuration au grand air. Le jeûne résout la plupart des problèmes de santé courants. Il vaut mieux faire de petits jeûnes répétés que de longs jeunes, surtout chez des personnes maigres ou hypotoniques.
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&laquo; <i>Le jeûne est l'abstention totale d'aliments solides ou liquides autres que de l'eau pure, ou, l'abstention totale de tout aliment y compris l'eau pure, sur des périodes de durée variable (durée très courte lors d'abstention d'eau)</i> &raquo;. Le jeûne est la restriction, voire la suppression, momentanée de l'alimentation solide, pour une meilleure santé ; et peut être une excellente méthode de guérison. Il est indiqué dans tous les cas d'obésité, de maladies cardiovasculaires, de désintoxications, de troubles rénaux et intestinaux. En effet, dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet au départ une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables : perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle. Une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore... Le jeûne préconise le repos le plus total dans toutes les fonctions de l'organisme. En situation de jeûne (au repos), l'organisme économise momentanément l'énergie affectée à la fonction musculaire afin de la mettre à la disposition de la fonction d'élimination toxinique. C'est pour cela que l'activité physique est proscrite tant que le corps est en état d'acidose - c'est-à-dire d'empoisonnement, dû principalement au stress et à l'alimentation. Le repos le plus total, aussi bien du corps et de l'esprit, est le maître mot dans la pensée hygiéniste. Le concept de &laquo; médicament &raquo; n'existe pas en hygiénisme. En effet, les hygiénistes pensent que l'organisme a toutes les capacités de supprimer les désordres de santé, créés par une hygiène de vie défectueuse. À partir du moment où on le met au repos, il peut se rénover, se régénérer dans le maximum de fonctions physiologiques, y compris les fonctions alimentaires. Pendant le jeûne, l'organisme fonctionne au ralenti, le volume du sang est plus fluide et le cœur travaille deux fois moins. La durée du jeune dépend de la vitalité du sujet, de son âge, de ses réserves, de la maladie à traiter. Les cures peuvent durer de plusieurs heures à plusieurs semaines. Éviter de pratiquer un jeûne quand on est trop fatigué. L'élimination demande de l'énergie à l'organisme. Il peut se produire des boutons sur la peau, des mauvaises odeurs, une mauvaise haleine, ... mais ne pas s'inquiéter et accompagner si possible ces manifestations d'épuration au grand air. Le jeûne résout la plupart des problèmes de santé courants. Il vaut mieux faire de petits jeûnes répétés que de longs jeunes, surtout chez des personnes maigres ou hypotoniques.
  
 
La différence fondamentale est que la médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. 99,9% des médicaments sont des poisons et sont complètement inutiles. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Les fabriques de produits pharmaceutiques sont vraiment des bêtes. On ne peut pas aller contre elles. Il faut chercher à vivre une vie saine, et pour avoir la santé, on ne peut pas autrement que par la vie saine. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé. En anglais, ils disent, « Health by healthful living ». C’est beaucoup plus compact, et beaucoup plus correct, mais je n’arrive pas à le traduire en français d’une façon aussi compacte. En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques: aigus, chroniques et de dégénérescence.
 
La différence fondamentale est que la médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. 99,9% des médicaments sont des poisons et sont complètement inutiles. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Les fabriques de produits pharmaceutiques sont vraiment des bêtes. On ne peut pas aller contre elles. Il faut chercher à vivre une vie saine, et pour avoir la santé, on ne peut pas autrement que par la vie saine. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé. En anglais, ils disent, « Health by healthful living ». C’est beaucoup plus compact, et beaucoup plus correct, mais je n’arrive pas à le traduire en français d’une façon aussi compacte. En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques: aigus, chroniques et de dégénérescence.

Version du 6 octobre 2008 à 21:41

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