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''L'hygiénisme, Le Guide du débutant - Manger nature, santé nature - Tome 1 et 2 - La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées - La santé par la nourriture - La santé par les aliments compatibles - Manger pour vivre sans maladies - La nutrition hygiéniste, unique remède de la rature - L'homme, le singe et le paradis (Menu Paradisiaque & Santé) - Santé radieuse par le jeûne - Le jeûne, meilleur remède de la nature - Jeûner pour revivre - L'anti-médecine - Tome 1 et 2 - Le goulag du sida - Tome 1 et 2 - Confiez votre santé à la nature - Hernie, hémorroïdes, ptoses, varices, déplacement de la matrice - Plus jamais mal portant - A la recherche d'une santé parfaite''.
 
''L'hygiénisme, Le Guide du débutant - Manger nature, santé nature - Tome 1 et 2 - La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées - La santé par la nourriture - La santé par les aliments compatibles - Manger pour vivre sans maladies - La nutrition hygiéniste, unique remède de la rature - L'homme, le singe et le paradis (Menu Paradisiaque & Santé) - Santé radieuse par le jeûne - Le jeûne, meilleur remède de la nature - Jeûner pour revivre - L'anti-médecine - Tome 1 et 2 - Le goulag du sida - Tome 1 et 2 - Confiez votre santé à la nature - Hernie, hémorroïdes, ptoses, varices, déplacement de la matrice - Plus jamais mal portant - A la recherche d'une santé parfaite''.
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     dans les selles le lendemain, sans digestion. Les aliments ne profitent pas au
 
     dans les selles le lendemain, sans digestion. Les aliments ne profitent pas au
 
     corps, puis ils l'empoisonnent. Donc, supprimer.
 
     corps, puis ils l'empoisonnent. Donc, supprimer.
 
    LE POISSON
 
 
    Le poisson est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort
 
    pourcentage de protéines. Mettez deux morceaux de poisson et de viande frais
 
    au soleil et sentez-les après quelques heures. Lequel sentira mauvais le
 
    premier ? Le poisson. Or dans nos intestins, il y a la chaleur et l'humidité
 
    qui favorisent cette putréfaction. L'on doit savoir enfin que la putréfaction
 
    engendre des poisons virulents qui ruinent les reins.
 
  
 
     MALADIES ENGENDRÉES
 
     MALADIES ENGENDRÉES
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     Eczéma, psoriasis,
 
     Eczéma, psoriasis,
 
     Furoncles, urticaire, etc.
 
     Furoncles, urticaire, etc.
 
    LES CHAMPIGNONS ET LES HUÎTRES
 
 
    Les champignons et les huîtres sont naturels, mais peu attirants sans
 
    assaisonnements. Ces substances sont bien nuisibles. Chaque année on lit
 
    dans les journaux, à la même période, à propos des empoisonnements
 
    fréquents qui suivent leur consommation. Ils contiennent des protéines
 
    indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien
 
    plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit
 
    des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique.
 
    Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les
 
    substances végétales qui ne l'ont pas été.
 
  
 
     LE PAIN ET LES PÂTES
 
     LE PAIN ET LES PÂTES
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     La paralysie (à cause des caillots),
 
     La paralysie (à cause des caillots),
 
     L'infarctus, Le diabète.
 
     L'infarctus, Le diabète.
 
    LES FRUITS
 
 
    Il ne faut pas mélanger les fruits et les farineux, comme les pommes de
 
    terre.
 
    Quant aux bananes, nous défendons leur consommation fraîches, car elles
 
    contiennent un poison qui affecte les reins et la vessie. Elles contiennent de
 
    l'amidon indigeste, ce qui provoque des ballonnements et des selles
 
    volumineuses. Les étudiants savent qu'en grattant le dos de la pelure de la banane,
 
    ils peuvent préparer une substance qu'ils sèchent et fument comme une drogue.
 
  
 
     LES FRUITS
 
     LES FRUITS
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     - figues fraîches,
 
     - figues fraîches,
 
     - pamplemousses, etc.
 
     - pamplemousses, etc.
 
    LES CRUDITÉS
 
 
    On peut manger les crudités, crues, telle quelles, ou préparer un saladier
 
    dans lequel on les coupera en petits morceaux.
 
    Eviter les aliments forts : oignon, ail, raifort, etc.
 
 
    LES LÉGUMES
 
 
    On évitera les épinards à cause de l'acide oxalique en excès. Pareil pour la
 
    rhubarbe et l'oseille à cause de leur acidité. Les petits pois tendres et verts
 
    sont bons, mais pas les secs. On se limitera à une seule tomate par jour, à
 
    cause de l'acide oxalique encore.
 
 
    LA CUISSON
 
 
    La cuisson n'est pas naturelle, car la Nature n'a pas créé de réchauds ni de
 
    cuisinières ! Aucun animal ne cuit ses aliments.
 
    Les corps gras se transforment en poison quand ils sont cuits. Ils
 
    sont désintégrés et dégradés, libérant des acides gras dangereux, comme c'est
 
    le cas des aliments frits. En plus, ces graisses enrobent si bien les aliments
 
    que ces derniers ne peuvent plus être touchés par les sucs digestifs. Voilà ce
 
    qui explique l'indigestion provoquée par les fritures. Les fritures sont très
 
    nocives pour le foie.
 
    Comme la cuisson détruit la plus grande partie des vitamines et qu'elle
 
    transforme les sels minéraux et les oligo-éléments en matières inertes, il faut
 
    donc cuire le moins possible.
 
 
    LE JEÛNE HEBDOMADAIRE
 
 
    Quand on a une contrariété, de graves soucis, un grand chagrin, quand on
 
    est obligé de se précipiter, de courir, quand on a une obsession, alors il faut
 
    sauter le repas, car l'estomac ne peut rien digérer durant ces périodes difficiles
 
    de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien.
 
    Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au
 
    contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se
 
    putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes.
 
    De toute façon, comme la plupart des personnes font des écarts
 
    alimentaires, elles devront jeûner un jour par semaine, chaque lundi par
 
    exemple, sinon le jour où elles n'ont pas faim.
 
    Le jeûne hebdomadaire permet de retrouver la tranquillité
 
    d'esprit et la pondération. Les pires difficultés de la vie sont
 
    atténuées quand l'estomac est vide. Le calme revient, la paix
 
    s'installe, le découragement disparaît, l'enthousiasme renaît,
 
    l'espoir recommence. Toutes les misères paraîtront'; alors
 
    moins graves qu'elles n'avaient semblé au début.
 
    Enfin, si on est obligé de conduire sa voiture durant de longues heures, on
 
    a avantage à ne pas manger ni avant, ni durant le voyage. Une pomme ou
 
    deux suffiront de temps à autre. Un gros repas déviera les énergies vers
 
    l'estomac pour la digestion, ce qui privera le système nerveux et les réflexes
 
    de l'énergie nécessaire pour éviter les accidents.
 
    Ceux qui ne font pas de grands écarts de régime n'ont pas besoin de ce
 
    jeûne hebdomadaire.
 
  
 
     ALIMENTS NEUTRES
 
     ALIMENTS NEUTRES
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L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... Quel parcours, et que de changements, voire de bouleversements ! Car finalement, l'être humain serait donc à la base un foli-frugivore strict. Dans ce livre, l'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...) , et des fruits azotés comme les noix, noisettes,,,, mais en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, mono insaturés, et saturés, des protéines végétales d'origine différentes et qui se complètent, sans risque d'acides aminés manquants, Toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les ninéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité, et, pas de cholestérol du tout , - l'être humain en faisant sa propre synthèse selon ses besoins, Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans le tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement, comme il est écrit : Nous devons reconnaître qu'on peut se conserver en assez bonne santé en absorbant de la viande deux fois par semaine au maximum.... le jaune d'œuf est facile à digérer et nous en tolérons la consommation, ainsi que celle du lait caillé et des fromages non fermentés, pour les personnes qui souhaitent une transition douce et progressive. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques" En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement. C'est modifier ses perceptions et ses projets. C'est s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
 
L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... Quel parcours, et que de changements, voire de bouleversements ! Car finalement, l'être humain serait donc à la base un foli-frugivore strict. Dans ce livre, l'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...) , et des fruits azotés comme les noix, noisettes,,,, mais en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, mono insaturés, et saturés, des protéines végétales d'origine différentes et qui se complètent, sans risque d'acides aminés manquants, Toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les ninéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité, et, pas de cholestérol du tout , - l'être humain en faisant sa propre synthèse selon ses besoins, Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans le tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement, comme il est écrit : Nous devons reconnaître qu'on peut se conserver en assez bonne santé en absorbant de la viande deux fois par semaine au maximum.... le jaune d'œuf est facile à digérer et nous en tolérons la consommation, ainsi que celle du lait caillé et des fromages non fermentés, pour les personnes qui souhaitent une transition douce et progressive. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques" En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement. C'est modifier ses perceptions et ses projets. C'est s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
  
Arrivées au 3<sup>ème</sup> millénaire, les sociétés dites civilisées en sont encore à l'âge de pierre quand il s'agit de parler d'alimentation et de santé, les responsables politiques cherchant à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Sur notre planète, l'alimentation représente un problème majeur. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances. Partout, l'ignorance de nos vrais besoins nutritionnels fait des ravages. On meurt de faim sur toute la planète, qu'il s'agisse de la &laquo; faim des maigres &raquo; dans les pays pauvres ou de la &laquo; faim des gros &raquo; des pays riches, qui consomment d'énormes quantités d'aliments dépourvus de substances nutritives et sont au niveau de leurs cellules, aussi carencés que les peuples souffrant de la faim !
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Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances.
  
 
Le docteur Edmond Bordeaux Székély classe les aliments en quatre catégories :
 
Le docteur Edmond Bordeaux Székély classe les aliments en quatre catégories :
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Choisir de préférence des fruits et légumes sains, crus et variés, cueillis à maturité et issus, dans la mesure du possible (sans en faire une obsession), de l'agriculture biologique. Si on peut s'assurer d'avoir des aliments à 100 % biologiques, tant mieux. On se contentera sinon des aliments courants en veillant à peler les fruits et à bien laver les légumes.
 
Choisir de préférence des fruits et légumes sains, crus et variés, cueillis à maturité et issus, dans la mesure du possible (sans en faire une obsession), de l'agriculture biologique. Si on peut s'assurer d'avoir des aliments à 100 % biologiques, tant mieux. On se contentera sinon des aliments courants en veillant à peler les fruits et à bien laver les légumes.
  
On peut manger les fruits en mélange avec du yaourt et des fruits secs doux trempés la veille. Il ne faut pas mélanger les fruits et les farineux, comme les pommes de terre, le pain. Quant aux bananes, nous défendons leur consommation fraîches, car elles contiennent un poison qui affecte les reins et la vessie. Elles contiennent de l'amidon indigeste, ce qui provoque des ballonnements et des selles volumineuses. Les indigènes en Afrique les mangent cuites et les appellent les plantains. Ils en font aussi des galettes. Les grands primates (gorilles, orangs-outans, chimpanzés) n'en mangent pas ou presque pas, contrairement aux autres singes plus bas dans l'échelle et dont il existe une centaine de variétés. Les différences entre les grands primates et les autres singes sont certes assez grandes pour que ces espèces ne s'accouplent pas. Par contre, toutes les races de chiens s'accouplent, dans la mesure du possible. L'homme est un grand primate et s'apparente donc aux gorilles. Quand les gorilles ravagent une plantation de bananes, ils n'en mangent que les pousses vertes. On a conseillé en outre aux obèses de faire une cure de bananes, ce qui prouve qu'elles ne sont pas digérées. Les étudiants savent qu'en grattant le dos de la pelure de la banane, ils peuvent préparer une substance qu'ils sèchent et fument comme une drogue. Le docteur Valnet conseille de peler deux fois la banane. Je préfère qu'on les fasse sécher ou cuire sur un feu très doux, sans eau, tout en remuant fréquemment. Elles sont ainsi plus douces qu'une confiture, et sûrement plus saines. On peut leur ajouter de la crème fraîche, stérilisée.
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Il ne faut pas mélanger les fruits et les farineux, comme les pommes de terre. Quant aux bananes, nous défendons leur consommation fraîches, car elles contiennent un poison qui affecte les reins et la vessie. Elles contiennent de l'amidon indigeste, ce qui provoque des ballonnements et des selles volumineuses. Les étudiants savent qu'en grattant le dos de la pelure de la banane, ils peuvent préparer une substance qu'ils sèchent et fument comme une drogue. On peut manger les crudités, crues, telle quelles, ou préparer un saladier dans lequel on les coupera en petits morceaux. Éviter les aliments forts : oignon, ail, raifort, etc. Aucun animal n'assaisonne les aliments naturels. On évitera les épinards à cause de l'acide oxalique en excès. Pareil pour la rhubarbe et l'oseille à cause de leur acidité. Les petits pois tendres et verts sont bons, mais pas les secs. On se limitera à une seule tomate par jour, à cause de l'acide oxalique encore.
 
 
On peut manger les crudités, crues, telle quelles, ou préparer un saladier dans lequel on les coupera en petits morceaux et qu'on assaisonnera avec de l'huile vierge, du citron ou du yaourt. Ceux qui n'ont pas de dents peuvent les passer dans une centrifugeuse pour le jus, mais devront récupérer la pulpe qu'ils rajouteront au jus. Un mixer peut aussi être utile. On peut aussi hacher les crudités dans un hachoir électrique. Éviter les aliments forts : oignon, ail, raifort, etc. Aucun animal n'assaisonne les aliments naturels.
 
 
 
Tous les légumes qu'on ne peut pas manger crus, en bonne quantité, seront cuits légèrement. On évitera les épinards à cause de l'acide oxalique en excès. Pareil pour la rhubarbe et l'oseille à cause de leur acidité. Les petits pois tendres et verts sont bons, mais pas les secs. On se limitera à une seule tomate par jour, à cause de l'acide oxalique encore.
 
  
 
==== Les fruits et légumes (secs) ====
 
==== Les fruits et légumes (secs) ====
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La surconsommation surcharge et encrasse nos tissus de déchets toxiques et altère le bon fonctionnement de nos organes de digestion, d'assimilation et d'élimination. Nous mangeons trop mais surtout trop riche et trop pauvre à la fois, souvent sans faim et avons pris l'habitude de manger trois fois par jour alors qu'un seul repas et un deuxième très léger suffirait amplement à la majorité d'entre nous. Notre organisme s'est naturellement façonné pour métaboliser une nourriture faiblement concentrée en protéines, glucides et lipides (une alimentation trop copieuse accélère le vieillissement des tissus de notre organisme). Notre suralimentation bloquent certains métabolismes par encrassement, rendant l'organisme incapable d'assimiler certains éléments de base. Les médecins savent désormais que la plupart des gens ne digèrent que 25 % de ce qu'ils mangent, le reste passant le lendemain ou surlendemain dans les selles qui deviennent abondantes, peu moulées, malodorantes et salissant le corps. Les repas simples pris modérément facilitent la digestion. La quantité de nourriture varie selon la taille, l'activité physique et mentale, l'âge, le sexe, la saison, la faim, l'état de repos et de tension nerveuse, ...
 
La surconsommation surcharge et encrasse nos tissus de déchets toxiques et altère le bon fonctionnement de nos organes de digestion, d'assimilation et d'élimination. Nous mangeons trop mais surtout trop riche et trop pauvre à la fois, souvent sans faim et avons pris l'habitude de manger trois fois par jour alors qu'un seul repas et un deuxième très léger suffirait amplement à la majorité d'entre nous. Notre organisme s'est naturellement façonné pour métaboliser une nourriture faiblement concentrée en protéines, glucides et lipides (une alimentation trop copieuse accélère le vieillissement des tissus de notre organisme). Notre suralimentation bloquent certains métabolismes par encrassement, rendant l'organisme incapable d'assimiler certains éléments de base. Les médecins savent désormais que la plupart des gens ne digèrent que 25 % de ce qu'ils mangent, le reste passant le lendemain ou surlendemain dans les selles qui deviennent abondantes, peu moulées, malodorantes et salissant le corps. Les repas simples pris modérément facilitent la digestion. La quantité de nourriture varie selon la taille, l'activité physique et mentale, l'âge, le sexe, la saison, la faim, l'état de repos et de tension nerveuse, ...
  
Les obèses, les femmes, les vieux et les grands malades se contenteront d'environ 1 à 2 kilos par jour. Les jeunes, les travailleurs de force et les gens sains peuvent aller jusqu'à consommer 3/4 kilos par jour. Le nombre des repas peut varier entre 2 gros repas et 6 mini-repas par jour. Les petits repas sont préférables au gros repas, car dans la nature les carnivores prennent de gros repas, alors que les oiseaux et les gorilles grignotent toute la journée, sauf durant la sieste. Le lion attend souvent 2/3 jours avant d'avoir faim et mange des repas plantureux. Les chiens se contentent d'un seul repas par jour. Les horaires de travail semblent poser un obstacle au respect des règles de notre nature, mais on peut toujours se débrouiller pour croquer une pomme ou manger quelques dattes au bureau, pendant que les autres fument et boivent leur néfaste café.
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Les obèses, les femmes, les vieux et les grands malades se contenteront d'environ 1 à 2 kilos par jour. Les jeunes, les travailleurs de force et les gens sains peuvent aller jusqu'à consommer 3/4 kilos par jour. Le nombre des repas peut varier entre 2 gros repas et 6 mini-repas par jour. Les petits repas sont préférables au gros repas. Les horaires de travail semblent poser un obstacle au respect des règles de notre nature, mais on peut toujours se débrouiller pour croquer une pomme ou manger quelques dattes au bureau, pendant que les autres fument et boivent leur néfaste café.
  
 
Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE.
 
Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE.
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La cuisson force notre organisme à des efforts de compensation démesurés et nous conduit à manger plus, dénaturant ainsi la structure chimique de nos aliments, nous privant par conséquent de la plupart des principes nutritifs et digestifs (enzymes et vitamines) contenues dans nos aliments en atténuant de surcroît leur goût naturel. En 1927, P. Kouchakoff de Lausanne constatait que le phénomène de leucocytose digestive ne se produit pas après un repas constitué de produits végétaux frais et crus (l'hyperleucocytose consiste en l'augmentation du nombre des globules blancs dans le sang, apparaissant après l'ingestion d'aliments cuits ou trafiqués).
 
La cuisson force notre organisme à des efforts de compensation démesurés et nous conduit à manger plus, dénaturant ainsi la structure chimique de nos aliments, nous privant par conséquent de la plupart des principes nutritifs et digestifs (enzymes et vitamines) contenues dans nos aliments en atténuant de surcroît leur goût naturel. En 1927, P. Kouchakoff de Lausanne constatait que le phénomène de leucocytose digestive ne se produit pas après un repas constitué de produits végétaux frais et crus (l'hyperleucocytose consiste en l'augmentation du nombre des globules blancs dans le sang, apparaissant après l'ingestion d'aliments cuits ou trafiqués).
  
La cuisson n'est pas naturelle, car la Nature n'a pas créé de réchauds ni de cuisinières ! Aucun animal ne cuit ses aliments. Toutefois, le retour à une alimentation totalement crue présente de grandes difficultés pour nos organes atrophiés et nous sommes obligés de faire plusieurs concessions dans ce domaine. La cuisson doit toujours être faite à l'eau, sinon au four, jamais à l'huile ni au beurre. Les corps gras se transforment en poison quand ils sont cuits. Ils sont désintégrés et dégradés, libérant des acides gras dangereux, comme c'est le cas des aliments frits. En plus, ces graisses enrobent si bien les aliments que ces derniers ne peuvent plus être touchés par les sucs digestifs. Voilà ce qui explique l'indigestion provoquée par les fritures. Les fritures sont très nocives pour le foie. Par contre, on peut mettre de l'huile ou du beurre après la cuisson ou sur les crudités. De préférence, de l'huile vierge. Comme la cuisson détruit la plus grande partie des vitamines et qu'elle transforme les sels minéraux et les oligo-éléments en matières inertes, il faut donc cuire le moins possible. Les légumes cuits doivent être fermes, pas mous, ni en purée. Pour un kilo de légumes, quinze minutes de demi cuisson suffiront, dans trois verres d'eau. L'eau de cuisson peut être bue au début du repas.
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Les corps gras se transforment en poison quand ils sont cuits. Ils sont désintégrés et dégradés, libérant des acides gras dangereux, comme c'est le cas des aliments frits. En plus, ces graisses enrobent si bien les aliments que ces derniers ne peuvent plus être touchés par les sucs digestifs. Voilà ce qui explique l'indigestion provoquée par les fritures. Les fritures sont très nocives pour le foie. La cuisson détruit la plus grande partie des vitamines et transforme les sels minéraux et les oligo-éléments en matières inertes.
 
 
Les casseroles à pression ne sont pas valables, à cause de la destruction massive des vitamines. L'aluminium est nocif, car il laisse des sels d'aluminium sur les parois du récipient. On pourra utiliser une casserole en fonte, non émaillée, ou une casserole en terre, ou fabriquée avec d'autres produits qui ne dégagent pas de substances chimiques. Les casseroles en verre spécial sont peut-être valables. Attention à l'émail qui s'écaille et qui libère des sels de plomb nocifs, qui avaient servi à le coller.
 
 
 
On veillera à placer les légumes les plus coriaces au fond et les plus tendres dessus. Couper les légumes et les pommes de terre en tranches fines, mais larges. Pour faire une soupe, permise rarement l'hiver, on coupera les légumes en dés et l'on cuira 20 minutes. La cuisson à la vapeur prend trop de temps et le jus des légumes est perdu dans l'eau de cuisson qu'on jette par la suite.
 
  
 
==== Les mélanges ====
 
==== Les mélanges ====
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Poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, noix diverses, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz.
 
Poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, noix diverses, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz.
  
La viande est naturelle pour les chiens et les loups, c'est à dire pour les animaux carnivores. Pas pour nous. Quand on a faim, on ne va pas croquer dans la cuisse d'une vache. Les instinctos permettent la consommation de la viande crue, car cela faisait partie du régime originel de l'homme primitif. Mais le menu originel n'est pas le régime idéal, ni spécifique à l'espèce humaine. L'être humain n'a pas les équipements pour tuer la bête (griffes, ongles, canines), ni les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.). Cela étant dit, je tolère la viande une à deux fois par semaine, en attendant de la supprimer plus tard. Toutefois, ceux qui ne l'aiment pas doivent la supprimer de suite.
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La viande est naturelle pour les chiens et les loups, c'est à dire pour les animaux carnivores. Pas pour nous. Quand on a faim, on ne va pas croquer dans la cuisse d'une vache. Les instinctos permettent la consommation de la viande crue, car cela faisait partie du régime originel de l'homme primitif. Mais le menu originel n'est pas le régime idéal, ni spécifique à l'espèce humaine. L'être humain n'a pas les équipements pour tuer la bête (griffes, ongles, canines), ni les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.).
  
 
Le poisson est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Mettez un morceau de poisson et de viande frais au soleil et sentez-les après quelques heures. Lequel sentira mauvais le premier'? Le poisson. Or dans nos intestins, il y a la chaleur et l'humidité qui favorisent cette putréfaction. L'on doit savoir enfin que la putréfaction engendre des poisons virulents qui ruinent les reins.
 
Le poisson est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Mettez un morceau de poisson et de viande frais au soleil et sentez-les après quelques heures. Lequel sentira mauvais le premier'? Le poisson. Or dans nos intestins, il y a la chaleur et l'humidité qui favorisent cette putréfaction. L'on doit savoir enfin que la putréfaction engendre des poisons virulents qui ruinent les reins.
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Les champignons et les huîtres sont naturels, mais peu attirants sans assaisonnements. Ces substances sont bien nuisibles. Chaque année on lit dans les journaux, à la même période, à propos des empoisonnements fréquents qui suivent leur consommation. Ils contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
 
Les champignons et les huîtres sont naturels, mais peu attirants sans assaisonnements. Ces substances sont bien nuisibles. Chaque année on lit dans les journaux, à la même période, à propos des empoisonnements fréquents qui suivent leur consommation. Ils contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
  
On peut aussi inclure parmi ces aliments le pain blanc ou complet, le riz blanc ou complet, les céréales, les brioches, les biscottes, les croissants, les galettes, les pizzas, etc., c'est à dire tout ce qui fabriqué avec des céréales complètes ou blutées. Ces aliments sont destinés par la Nature aux granivores, c'est à dire aux oiseaux et aux poules. Pas aux êtres humains. Leur digestion est difficile et laisse des déchets acidifiants qui produisent, à la longue, une longue série de maladies. Supprimez-les et vous n'aurez plus jamais de rhume ! Alors, vous serez pleinement convaincus.
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On peut aussi inclure parmi ces aliments le pain blanc ou complet, le riz blanc ou complet, les céréales, les brioches, les biscottes, les croissants, les galettes, les pizzas, etc., c'est à dire tout ce qui est fabriqué avec des céréales complètes ou blutées. Ces aliments sont destinés par la Nature aux granivores, c'est à dire aux oiseaux et aux poules. Pas aux êtres humains. Leur digestion est difficile et laisse des déchets acidifiants qui produisent, à la longue, une longue série de maladies.
  
 
Pour commencer, quand on veut maintenir ou rétablir une santé perdue, il faut absolument refuser tout ce qui n'est pas naturel, c'est à dire tel que la Nature le présente. Donc, il faut refuser catégoriquement tout ce qui sort d'une usine, que ce soit un aliment ou un médicament. Cela étant dit, il n'est pas question d'accepter tout ce qui vient de la Nature. En effet, tout ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'organisme humain. L'homme n'est pas le seul animal sur terre. Il faut que le naturel ait un rapport normal à l'être humain, ce qui n'est pas toujours le cas. Ainsi par exemple, parmi les milliers de plantes naturelles qui se rencontrent sur la terre, il y en a à peine quelques dizaines qui soient comestibles. Toutes les autres sont vénéneuses pour nous. Par contre, la belladone, qui est vénéneuse pour l'être humain, est parfaitement adaptée aux lapins. Ils peuvent ainsi en manger, la digérer et en profiter. Le tabac est naturel, comme la feuille de thé et la graine de cacao, mais leur amertume les rend toxiques pour nous. L'argile est naturelle, mais en tant qu'aliment, elle ne remplit pas la condition essentielle pour tout aliment, qui est d'être agréable au goût. Du reste, c'est une substance inerte, morte, non biologique et non vivante. En tant que remède naturel, elle est inoffensive. Elle peut aider au drainage, par osmose, mais n'a pas de pouvoir curatif par elle-même. J'ai déjà expliqué ailleurs que les remèdes n'existent pas. Le seul remède, c'est la suppression de la cause. Le pouvoir curatif est la prérogative exclusive des cellules vivantes.
 
Pour commencer, quand on veut maintenir ou rétablir une santé perdue, il faut absolument refuser tout ce qui n'est pas naturel, c'est à dire tel que la Nature le présente. Donc, il faut refuser catégoriquement tout ce qui sort d'une usine, que ce soit un aliment ou un médicament. Cela étant dit, il n'est pas question d'accepter tout ce qui vient de la Nature. En effet, tout ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'organisme humain. L'homme n'est pas le seul animal sur terre. Il faut que le naturel ait un rapport normal à l'être humain, ce qui n'est pas toujours le cas. Ainsi par exemple, parmi les milliers de plantes naturelles qui se rencontrent sur la terre, il y en a à peine quelques dizaines qui soient comestibles. Toutes les autres sont vénéneuses pour nous. Par contre, la belladone, qui est vénéneuse pour l'être humain, est parfaitement adaptée aux lapins. Ils peuvent ainsi en manger, la digérer et en profiter. Le tabac est naturel, comme la feuille de thé et la graine de cacao, mais leur amertume les rend toxiques pour nous. L'argile est naturelle, mais en tant qu'aliment, elle ne remplit pas la condition essentielle pour tout aliment, qui est d'être agréable au goût. Du reste, c'est une substance inerte, morte, non biologique et non vivante. En tant que remède naturel, elle est inoffensive. Elle peut aider au drainage, par osmose, mais n'a pas de pouvoir curatif par elle-même. J'ai déjà expliqué ailleurs que les remèdes n'existent pas. Le seul remède, c'est la suppression de la cause. Le pouvoir curatif est la prérogative exclusive des cellules vivantes.
 
    La personne qui cherche une santé naturelle doit avant tout comprendre que
 
    les médicaments doivent être abandonnés.
 
    La Nature ne produit pas de médicaments, contrairement à ce que l'on
 
    enseigne en médecine et en Naturopathie. En effet, on dit que tous les
 
    remèdes existent dans la Nature, et qu'il suffit de les chercher. Pure sottise.
 
    Le seul remède, c'est la suppression de la cause !
 
    Tout ce que les médicaments sont censés accomplir,
 
    la Nature le fait mieux, si on lui obéit.
 
    C'est la Nature qui guérit.
 
    Les médicaments corrodent l'organisme, épuisent les organes vitaux,
 
    empoisonnent tous les tissus et masquent les symptômes.
 
    Si on avait deux maladies, avec les médicaments on en sort avec trois.
 
    Même l'aspirine et les laxatifs doivent être abandonnés.
 
    A quoi sert-il de combattre les symptômes ? Il faut combattre les causes !
 
    Les produits chimiques ne sont pas censés être introduits dans l'organisme.
 
    Le corps les expulse à grand frais, car ce sont des corps étrangers qui ne
 
    peuvent pas être transformés en cellules vivantes. Mais comme les causes
 
    n'ont pas été supprimées, les mêmes ennuis recommenceront au même
 
    endroit, sinon ailleurs dans le corps sous une autre forme.
 
    Il n'y a que deux exceptions à la règle où certains médicaments sont utiles,
 
    et que j'ai étudiées dans mes autres livres, à savoir pour :
 
    1) certaines maladies parasitaires, pas toutes, pas les amibes.
 
    2) en cas de destruction ou d'ablation d'organes endocriniens.
 
    Même dans les cas les plus graves, les médicaments ne sont pas
 
    nécessaires, ni utiles, ni indispensables. L'insuline doit être abandonnée ou
 
    diminuée progressivement, comme pour les tranquillisants.
 
  
 
     LES MÉDICAMENTS
 
     LES MÉDICAMENTS

Version du 7 octobre 2008 à 16:41

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