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Sucre, sel, poivre, café, thé, tabac, bétel, alcool, cacao, céréales, oléagineux, moutarde, épices, miel, soja, gingembre, etc. sont des stimulants qui semblent nous doper alors qu'ils nous volent notre énergie, font de nous des toxicomanes et favorisent le développement du diabète. Un aliment à base de semence (céréales, noix diverses) est concentré en certains éléments et provoque donc une carence en sels minéraux, car les graines sont des substances mortelles qui soutirent tout ce qu'elles peuvent de la plante d'où elles proviennent, du sol et du corps humain, uniquement pour la reproduction. La principale cause des carences serait donc la consommation des graines de tout genre qui tirent du corps tous ses sels minéraux car elles sont trop concentrées.
 
Sucre, sel, poivre, café, thé, tabac, bétel, alcool, cacao, céréales, oléagineux, moutarde, épices, miel, soja, gingembre, etc. sont des stimulants qui semblent nous doper alors qu'ils nous volent notre énergie, font de nous des toxicomanes et favorisent le développement du diabète. Un aliment à base de semence (céréales, noix diverses) est concentré en certains éléments et provoque donc une carence en sels minéraux, car les graines sont des substances mortelles qui soutirent tout ce qu'elles peuvent de la plante d'où elles proviennent, du sol et du corps humain, uniquement pour la reproduction. La principale cause des carences serait donc la consommation des graines de tout genre qui tirent du corps tous ses sels minéraux car elles sont trop concentrées.
  
Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait.
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L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...). Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. Le sucre est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. Le Dr Carton avait intitulé l'un de ses livres "Les Trois Aliments Meurtriers" : le sucre, la viande et l'alcool. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Notre goût nous avertit de ce qui est bon ou non, sauf si notre goût est perverti. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels. Tous ces ingrédients sont trop forts et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Ils provoquent les hémorroïdes assez vite. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Les aliments passent trop vite pour être digérés. Attention, même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...).
 
Le sucre (blanc, roux, complet, ...) est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. En revanche, le sucre des fruits, frais et secs trempés, entrent dans le sang goutte à goutte et nourrissent l'organisme toute la journée. Le Dr Carton avait intitulé l'un de ses livres : "Les Trois Aliments Meurtriers". Le sucre était l'un de ces trois aliments. Les deux autres étaient : la viande et l'alcool, sauf erreur. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Notre goût nous avertit de ce qui est bon ou non, sauf si notre goût est perverti. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels. Tous ces ingrédients sont trop forts et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Ils provoquent les hémorroïdes assez vite. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Les aliments passent trop vite pour être digérés. Attention, même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
 
  
 
Un homme de 65 ans buvait un ou deux bols de café par jour. Son ventre enfla et enfla, car ses reins ne pouvaient plus filtrer toute l'urine qui s'accumulait dans l'abdomen.
 
Un homme de 65 ans buvait un ou deux bols de café par jour. Son ventre enfla et enfla, car ses reins ne pouvaient plus filtrer toute l'urine qui s'accumulait dans l'abdomen.
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La digestion se prépare dans la tête, débute dans la bouche, se poursuit dans l'estomac et se termine dans le côlon. Notre mode de vie nous a conduit à oublier cette évidence et notre organisme doit alors fournir un effort coûteux pour combler le déficit. Nous ne prenons plus le temps de manger comme il faut, dans le calme, de bien mastiquer, de ne pas se fatiguer après un repas et de sauter un repas / ne pas manger si l'on a pas faim ou si l'occasion s'en présente. Les médecins hygiénistes demandent toujours d'attendre une heure après les premiers signes de la faim avant de manger car cette attente permet de distinguer la fausse faim (l'envie) de la vraie faim (le besoin), permettant à l'estomac distendu de devenir plus petit pour ainsi procurer une satiété normale et procurer par la suite plus de satisfaction évitant ainsi l'écueil de vouloir rechercher le plaisir manqué par la satiété pathologique.
 
La digestion se prépare dans la tête, débute dans la bouche, se poursuit dans l'estomac et se termine dans le côlon. Notre mode de vie nous a conduit à oublier cette évidence et notre organisme doit alors fournir un effort coûteux pour combler le déficit. Nous ne prenons plus le temps de manger comme il faut, dans le calme, de bien mastiquer, de ne pas se fatiguer après un repas et de sauter un repas / ne pas manger si l'on a pas faim ou si l'occasion s'en présente. Les médecins hygiénistes demandent toujours d'attendre une heure après les premiers signes de la faim avant de manger car cette attente permet de distinguer la fausse faim (l'envie) de la vraie faim (le besoin), permettant à l'estomac distendu de devenir plus petit pour ainsi procurer une satiété normale et procurer par la suite plus de satisfaction évitant ainsi l'écueil de vouloir rechercher le plaisir manqué par la satiété pathologique.
  
L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes.
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L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
 
 
"L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit."
 
 
 
La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage.
 
 
 
Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation".
 
 
 
La plupart des gens, dans les pays civilisés, mangent sans avoir réellement faim, mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout).
 
 
 
L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. La salive qui est déversée sur le sel ne contient pas de sucs digestifs, mais de l'eau pour diluer le poison et le rendre moins corrosif aux tissus. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel.
 
 
 
Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps.
 
 
 
On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six.
 
 
 
On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
 
  
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==

Version du 9 octobre 2008 à 20:57

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