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Les études, la vie de famille et la vie professionnelle aidant, j'ai cédé à la facilité. Je me suis alimentée "comme tout le monde", sans trop me poser de questions. J'avoue aussi m'être goinfrée souvent de sucreries, biscuits, gâteaux, pâtes, sandwichs, viande, fromage, laitages, coca, chocolat, etc..... Et puis après tout n'étais-je pas en bonne santé ? Puis les années passent et apportent tout un cortège de troubles que l'on attribue avec complaisance à l'âge, à l'hérédité, au terrain, ou à la fatalité. Embonpoint, cellulite, constipation, eczéma, varicosités, conjonctivite, frilosité, fatigue, dans mon cas. Mes connaissances médicales, et la consultation de plusieurs confrères réputés ne m'ont jamais aidé en rien pour résoudre mes problèmes. Me voilà donc revenue à mon idée première : il y a certainement quelque chose d'autre à faire. J'étais en bonne santé (en apparence) je devais le rester. J'ai repris mes lectures ; Kousmine, Lecerf, Masson, Mondgnac, Zaraï, etc...... Aucun de ces auteurs n'a obtenu ma totale adhésion, jusqu'à ce que j'en arrive à Shelton puis à aujourd'hui. J'ai trouvé là comme le maillon d'une chaîne, comme la pièce d'un puzzle qui permet la mise en place de tout le reste. Après avoir appris à l'école primaire que l'homme est omnivore ; après avoir souhaité être végétarienne ; c'est la quarantaine venue que je comprends enfin, que l'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. C'est ce que je fais depuis un an environ, pour mon plus grand bien, malgré encore quelques erreurs liées à de vieilles mauvaises habitudes tenaces. Ceux qui découvrent l'existence de l'hygiénisme s'apercevront qu'il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines. Ceux-là trouveront un bien-être sans doute jamais connu, ou depuis longtemps oublié. En espérant que vous serez suffisamment ébranlés, par la lecture des ouvrages (pour renseignements voir plus haut l'adresse) dans vos anciennes convictions, et prêts (comme je l'ai fait) à tout remettre à plat pour repartir sur de nouvelles bases pour une vie nouvelle. Dr Catie Banuls
 
Les études, la vie de famille et la vie professionnelle aidant, j'ai cédé à la facilité. Je me suis alimentée "comme tout le monde", sans trop me poser de questions. J'avoue aussi m'être goinfrée souvent de sucreries, biscuits, gâteaux, pâtes, sandwichs, viande, fromage, laitages, coca, chocolat, etc..... Et puis après tout n'étais-je pas en bonne santé ? Puis les années passent et apportent tout un cortège de troubles que l'on attribue avec complaisance à l'âge, à l'hérédité, au terrain, ou à la fatalité. Embonpoint, cellulite, constipation, eczéma, varicosités, conjonctivite, frilosité, fatigue, dans mon cas. Mes connaissances médicales, et la consultation de plusieurs confrères réputés ne m'ont jamais aidé en rien pour résoudre mes problèmes. Me voilà donc revenue à mon idée première : il y a certainement quelque chose d'autre à faire. J'étais en bonne santé (en apparence) je devais le rester. J'ai repris mes lectures ; Kousmine, Lecerf, Masson, Mondgnac, Zaraï, etc...... Aucun de ces auteurs n'a obtenu ma totale adhésion, jusqu'à ce que j'en arrive à Shelton puis à aujourd'hui. J'ai trouvé là comme le maillon d'une chaîne, comme la pièce d'un puzzle qui permet la mise en place de tout le reste. Après avoir appris à l'école primaire que l'homme est omnivore ; après avoir souhaité être végétarienne ; c'est la quarantaine venue que je comprends enfin, que l'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. C'est ce que je fais depuis un an environ, pour mon plus grand bien, malgré encore quelques erreurs liées à de vieilles mauvaises habitudes tenaces. Ceux qui découvrent l'existence de l'hygiénisme s'apercevront qu'il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines. Ceux-là trouveront un bien-être sans doute jamais connu, ou depuis longtemps oublié. En espérant que vous serez suffisamment ébranlés, par la lecture des ouvrages (pour renseignements voir plus haut l'adresse) dans vos anciennes convictions, et prêts (comme je l'ai fait) à tout remettre à plat pour repartir sur de nouvelles bases pour une vie nouvelle. Dr Catie Banuls
 
Le sucre rentre en masse dans le sang et provoquera à la longue des stimulations puis des dépressions lorsque tout le sucre aura été absorbé par le corps. Ce dernier reçoit un choc, surtout au niveau du pancréas, qui à la longue le pancréas s'épuise en secrètant trop d'insuline et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif.
 
  
 
Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de polyarthrite et de spondylite ankylosante. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
 
Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de polyarthrite et de spondylite ankylosante. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
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Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Ne pas manger le melon et la pastèque avec aucun autre aliment, ni à la fin d'un repas. Sinon on risque l'indigestion, les ballonnements. L'aliment aqueux en fin du repas entraîne les sucs digestifs et les diluera, ce qui retardera la digestion par l'arrêt des sécrétions de ptyaline nécessaire à la digestion des amidons. Certaines personnes anormales souffrent après l'absorption de certains aliments, puis jettent le blâme sur ces aliments. Pourtant ce n'est presque jamais l'aliment consommé qui en est la cause. Ainsi par exemple, ceux qui font une éruption cutanée après avoir mangé des fraises, devraient savoir que la cause de l'éruption n'est pas dans les fraises, mais plus profondément. Les fraises ont fait ressortir une toxémie sanguine profonde. Ce sera l'opposé pour les aliments incompatibles. Aussi ceux qui font des gaz après avoir mangé des poires, du chou, ou du poivron ne doivent pas incriminer ces aliments sains, mais tous les autres aliments qui composent leur menu malsain et qui affaiblissent leur pouvoir digestif.
 
Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Ne pas manger le melon et la pastèque avec aucun autre aliment, ni à la fin d'un repas. Sinon on risque l'indigestion, les ballonnements. L'aliment aqueux en fin du repas entraîne les sucs digestifs et les diluera, ce qui retardera la digestion par l'arrêt des sécrétions de ptyaline nécessaire à la digestion des amidons. Certaines personnes anormales souffrent après l'absorption de certains aliments, puis jettent le blâme sur ces aliments. Pourtant ce n'est presque jamais l'aliment consommé qui en est la cause. Ainsi par exemple, ceux qui font une éruption cutanée après avoir mangé des fraises, devraient savoir que la cause de l'éruption n'est pas dans les fraises, mais plus profondément. Les fraises ont fait ressortir une toxémie sanguine profonde. Ce sera l'opposé pour les aliments incompatibles. Aussi ceux qui font des gaz après avoir mangé des poires, du chou, ou du poivron ne doivent pas incriminer ces aliments sains, mais tous les autres aliments qui composent leur menu malsain et qui affaiblissent leur pouvoir digestif.
 
Par le Dr J. M. Compagnon
 
  
 
Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'auto-guérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
 
Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'auto-guérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
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Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Il est clair aujourd'hui que le Cancer, la maladie d'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée. Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences ? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Étant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ?
 
Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Il est clair aujourd'hui que le Cancer, la maladie d'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée. Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences ? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Étant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ?
  
L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... Quel parcours, et que de changements, voire de bouleversements ! Car finalement, l'être humain serait donc à la base un foli-frugivore strict. Dans ce livre, l'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...) , et des fruits azotés comme les noix, noisettes,,,, mais en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, monoinsaturés, et saturés, des protéines végétales d'origine différentes et qui se complètent, sans risque d'acides aminés manquants, Toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les minéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité, et, pas de cholestérol du tout , - l'être humain en faisant sa propre synthèse selon ses besoins, Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans le tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement, comme il est écrit : Nous devons reconnaître qu'on peut se conserver en assez bonne santé en absorbant de la viande deux fois par semaine au maximum.... le jaune d'œuf est facile à digérer et nous en tolérons la consommation, ainsi que celle du lait caillé et des fromages non fermentés, pour les personnes qui souhaitent une transition douce et progressive. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques" En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement. C'est modifier ses perceptions et ses projets. C'est s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
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L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... L'être humain est un foli-frugivore strict. L'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...), et des fruits azotés comme les noix et noix diverses en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, monoinsaturés, et saturés, des protéines végétales d'origines différentes et complémentaires, sans risque d'acides aminés manquants, toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les minéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité. Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans la tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques". En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement, modifier ses perceptions et ses projets, et s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
  
 
Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances.
 
Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances.
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Aujourd'hui, plus personne ne peut ignorer que certains aliments sont meilleurs que d'autres pour la santé. Les résultats d'études scientifiques les plus récentes convergent vers une certitude : les maladies modernes sont étroitement liées à l'alimentation. Qui plus est, un nombre croissant de scientifiques mondiaux affirment qu'une nourriture appropriée rend notre système immunitaire capable de mieux nous protéger contre toute attaque : virus, pollution, stress, dégénérescence, ...
 
Aujourd'hui, plus personne ne peut ignorer que certains aliments sont meilleurs que d'autres pour la santé. Les résultats d'études scientifiques les plus récentes convergent vers une certitude : les maladies modernes sont étroitement liées à l'alimentation. Qui plus est, un nombre croissant de scientifiques mondiaux affirment qu'une nourriture appropriée rend notre système immunitaire capable de mieux nous protéger contre toute attaque : virus, pollution, stress, dégénérescence, ...
  
L'aliment naturel de l'homme est, écrit Téofilio de la Torre, celui qui est agréable à la vue, à l'odorat, au goût ; consommé à l'état cru, sans cuisson ni raffinements ; sans mélanges (combinaisons incompatibles) ; sans assaisonnements (qui sont tous irritants), ni sauces, ni condiments. Par conséquent, toute chose comestible qui n'est pas agréable et plaisante à manger dans son état naturel cru, n'est pas un aliment naturel pour l'homme.
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Selon Téofilio de la Torre, l'aliment naturel de l'homme est celui qui est agréable à la vue, à l'odorat, au goût ; consommé à l'état cru, sans cuisson ni raffinements ; sans mélanges (combinaisons incompatibles) ; sans assaisonnements (qui sont tous irritants), ni sauces, ni condiments. Par conséquent, toute chose comestible qui n'est pas agréable et plaisante à manger dans son état naturel cru, n'est pas un aliment naturel pour l'homme.
  
 
=== La santé par l'alimentation vivante ===
 
=== La santé par l'alimentation vivante ===
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==== Les mélanges ====
 
==== Les mélanges ====
 
La digestion est une opération complexe : chaque aliment de base requiert un traitement digestif spécifique s'effectuant en étapes et nécessitant des enzymes et sucs digestifs appropriés dont l'action s'effectue soit dans un milieu alcalin, soit dans un milieu acide, soit dans un milieu neutre. La loi des combinaisons alimentaires demande une révision complète des schémas alimentaires traditionnels. Selon sa composition biochimique, un aliment sollicite des sucs digestifs pendant un temps donné dont les temps de digestion diffèrent par conséquent d'un type d'aliment à l'autre. Il en résulte une « bousculade » dans l'estomac entre des aliments incompatibles, qui engendre une digestion difficile d'une partie de ces aliments, qui elle-même entraîne des fermentations intestinales, d'où mauvaise assimilation, abondance de toxines, gaz et ballonnements, ... Ayant repris et développé les travaux du Dr Shelton en une méthode appelée l'hygiénisme, le biologiste Désiré Mérien conseille l'application rigoureuse mais non maniaque des principes de compatibilités.
 
La digestion est une opération complexe : chaque aliment de base requiert un traitement digestif spécifique s'effectuant en étapes et nécessitant des enzymes et sucs digestifs appropriés dont l'action s'effectue soit dans un milieu alcalin, soit dans un milieu acide, soit dans un milieu neutre. La loi des combinaisons alimentaires demande une révision complète des schémas alimentaires traditionnels. Selon sa composition biochimique, un aliment sollicite des sucs digestifs pendant un temps donné dont les temps de digestion diffèrent par conséquent d'un type d'aliment à l'autre. Il en résulte une « bousculade » dans l'estomac entre des aliments incompatibles, qui engendre une digestion difficile d'une partie de ces aliments, qui elle-même entraîne des fermentations intestinales, d'où mauvaise assimilation, abondance de toxines, gaz et ballonnements, ... Ayant repris et développé les travaux du Dr Shelton en une méthode appelée l'hygiénisme, le biologiste Désiré Mérien conseille l'application rigoureuse mais non maniaque des principes de compatibilités.
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Les deux notions fondamentales sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas.
  
 
==== Les poisons ====
 
==== Les poisons ====
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Les champignons sont totalement indigestes et se retrouvent dans les selles. Ce n'est pas la peine de les manger, ils sont de la même nature que les levures, c'est à dire que la nature les a produits et créées pour déblayer les substances en voie de décomposition. Ils font fermentés le bol alimentaire qui passe dans les selles le lendemain avec des gaz et sans avoir été digéré.
 
Les champignons sont totalement indigestes et se retrouvent dans les selles. Ce n'est pas la peine de les manger, ils sont de la même nature que les levures, c'est à dire que la nature les a produits et créées pour déblayer les substances en voie de décomposition. Ils font fermentés le bol alimentaire qui passe dans les selles le lendemain avec des gaz et sans avoir été digéré.
 
Le vinaigre provient de la fermentation des sucres des fruits. Il contient de l'alcool et de l'acide acétique. Le vinaigre retarde la digestion.. (idem pour le vinaigre de cidre)
 
Le vinaigre provient de la fermentation des sucres des fruits. Il contient de l'alcool et de l'acide acétique. Le vinaigre retarde la digestion.. (idem pour le vinaigre de cidre)
Les fruits verts sont à éviter. (diarrhées). Le sucre blanc et roux sont interdits. Les fabricants savent que beaucoup de personnes évitent le sucre, et mettent sur l'étiquette de leurs produits la mention ambiguë : "sans sucre " puis ils le remplacent par un produit chimique plus nocif encore que le sucre. Assaisonnements défendus vinaigre moutarde épices aromates douces sel oignons frais ail frais fromages fermentes Citron persil mayonnaise jaune d'œuf fromage blanc a peine sale gruyère râpé ..... L'oignon et l'ail sont trop forts crus. Ils contiennent l'huile de moutarde qui est un poison. Les corps gras sont à supprimer.
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Les fruits verts sont à éviter. (diarrhées). Le sucre blanc et roux sont interdits. Le sucre rentre en masse dans le sang et provoquera à la longue des stimulations puis des dépressions lorsque tout le sucre aura été absorbé par le corps. Ce dernier reçoit un choc, surtout au niveau du pancréas, qui à la longue le pancréas s'épuise en secrètant trop d'insuline et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif. Les fabricants savent que beaucoup de personnes évitent le sucre, et mettent sur l'étiquette de leurs produits la mention ambiguë : "sans sucre " puis ils le remplacent par un produit chimique plus nocif encore que le sucre. Assaisonnements défendus vinaigre moutarde épices aromates douces sel oignons frais ail frais fromages fermentes Citron persil mayonnaise jaune d'œuf fromage blanc a peine sale gruyère râpé ..... L'oignon et l'ail sont trop forts crus. Ils contiennent l'huile de moutarde qui est un poison. Les corps gras sont à supprimer.
  
 
Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
 
Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
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L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
 
L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
 
Les deux notions fondamentales, que les autres auteurs ignorent, et que vous trouverez dans certains ouvrages, (renseignements auprès de Mr MUNOZ Vincent, Domaine de boisviel Sud, 13104 Mas-Thibert ou par email), sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas.
 
  
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==

Version du 10 octobre 2008 à 15:13

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