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4) Donner le temps nécessaire aux processus réparateurs (ce temps peut varier entre quatre heures, quelques jours ou quelques mois selon le cas).
 
4) Donner le temps nécessaire aux processus réparateurs (ce temps peut varier entre quatre heures, quelques jours ou quelques mois selon le cas).
  
La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques. Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables. L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.). Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées : le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables tandis que les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie.
 
 
1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie car elle la considère comme une entité. La maladie est une action vitale, dont le but est de désintoxiquer, de purifier, de réparer. Par conséquent, la maladie purifie l'organisme, le désintoxique, l'assainit et le répare. Lutter contre elle, - et c'est bien la pratique médicale - est une grave erreur car c'est une action correcte, utile et bienfaisante. Elle peut être aiguë ou chronique. D'autre part, la paralysie, la cataracte, etc, ne sont pas vraiment des maladies, mais des dégénérescences, des destructions, souvent irréversibles.
 
1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie car elle la considère comme une entité. La maladie est une action vitale, dont le but est de désintoxiquer, de purifier, de réparer. Par conséquent, la maladie purifie l'organisme, le désintoxique, l'assainit et le répare. Lutter contre elle, - et c'est bien la pratique médicale - est une grave erreur car c'est une action correcte, utile et bienfaisante. Elle peut être aiguë ou chronique. D'autre part, la paralysie, la cataracte, etc, ne sont pas vraiment des maladies, mais des dégénérescences, des destructions, souvent irréversibles.
 
2) La médecine enseigne une fausse doctrine sur l'action des remèdes. En effet, la médecine avoue ignorer le mode d'action des médicaments mais elle suppose, a priori, et sans aucune preuve, qu'ils agissent. Combien de siècles faudra-t-il pour que l'on comprenne que les médicaments n'agissent pas sur le corps, que c'est le corps qui agit sur eux ? Les médicaments n'agissent pas. Voilà la loi que le docteur R.T. Trall avait découverte. C'est plutôt le corps qui agit sur les médicaments pour se protéger, se sauvegarder, se préserver, car il répugne les poisons. Par conséquent, les médicaments devraient être éliminés car ils distraient les forces du corps du travail d'élimination, la désintoxication se ralentit et l'état du malade s'aggrave, par toxémie.
 
2) La médecine enseigne une fausse doctrine sur l'action des remèdes. En effet, la médecine avoue ignorer le mode d'action des médicaments mais elle suppose, a priori, et sans aucune preuve, qu'ils agissent. Combien de siècles faudra-t-il pour que l'on comprenne que les médicaments n'agissent pas sur le corps, que c'est le corps qui agit sur eux ? Les médicaments n'agissent pas. Voilà la loi que le docteur R.T. Trall avait découverte. C'est plutôt le corps qui agit sur les médicaments pour se protéger, se sauvegarder, se préserver, car il répugne les poisons. Par conséquent, les médicaments devraient être éliminés car ils distraient les forces du corps du travail d'élimination, la désintoxication se ralentit et l'état du malade s'aggrave, par toxémie.
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Les produits chimiques, omniprésents dans notre alimentation, ont envahi notre agriculture, altéré la qualité de nos aliments et empoisonné notre cuisine. Nos connaissances sont trop récentes dans ce domaine pour pouvoir en mesurer les effets à long terme. En 1950, après une enquête minutieuse, le gluten (contenu dans la plupart des céréales et dans tout aliment provenant d'une technique industrielle) fut définitivement responsable de la maladie cœliaque - touchant les viscères abdominaux - provoquant une atrophie de la muqueuse intestinale (surface active d'absorption) par disparition des villosités. Conclusion : le régime sans gluten doit être strict.
 
Les produits chimiques, omniprésents dans notre alimentation, ont envahi notre agriculture, altéré la qualité de nos aliments et empoisonné notre cuisine. Nos connaissances sont trop récentes dans ce domaine pour pouvoir en mesurer les effets à long terme. En 1950, après une enquête minutieuse, le gluten (contenu dans la plupart des céréales et dans tout aliment provenant d'une technique industrielle) fut définitivement responsable de la maladie cœliaque - touchant les viscères abdominaux - provoquant une atrophie de la muqueuse intestinale (surface active d'absorption) par disparition des villosités. Conclusion : le régime sans gluten doit être strict.
  
Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations (polyarthrite, spondylite ankylosante). Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
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Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. Quand les poisons sont déversés dans le sang, ils donnent des maux de tête avant d'être éliminés par les urines. Celles-ci deviennent alors très foncées , car elles contiennent tous les poisons éliminés.
Quand les poisons sont déversés dans le sang, ils donnent des maux de tête avant d'être éliminés par les urines. Celles-ci deviennent alors très foncées , car elles contiennent tous les poisons éliminés. Un jeûne court profitera à la santé et reposera l'estomac.
 
  
 
Poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, nicotine, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, noix diverses, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz provoquent hémorroïdes, démangeaisons anales, ulcères, maladies du foie, maux de tête, etc.
 
Poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, nicotine, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, noix diverses, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz provoquent hémorroïdes, démangeaisons anales, ulcères, maladies du foie, maux de tête, etc.
  
Toutes les tisanes sont à éviter, en effet ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne).
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Toutes les tisanes sont à éviter, car ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne).
 
La viande est naturelle pour les animaux carnivores. Pas pour nous. L'être humain n'a pas les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.). Le poisson (et tous les fruits de mer) est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Or dans nos intestins, la chaleur et l'humidité favorisent sa putréfaction qui engendre des poisons virulents qui ruinent les reins. Les champignons et les huîtres sont naturels, mais contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
 
La viande est naturelle pour les animaux carnivores. Pas pour nous. L'être humain n'a pas les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.). Le poisson (et tous les fruits de mer) est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Or dans nos intestins, la chaleur et l'humidité favorisent sa putréfaction qui engendre des poisons virulents qui ruinent les reins. Les champignons et les huîtres sont naturels, mais contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
  
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Sucre, sel, poivre, café, thé, tabac, bétel, alcool, cacao, céréales, oléagineux, moutarde, épices, miel, soja, gingembre, etc. sont des stimulants qui semblent nous doper alors qu'ils nous volent notre énergie, font de nous des toxicomanes et favorisent le développement du diabète. Un aliment à base de semence (céréales, noix diverses) est concentré en certains éléments et provoque donc une carence en sels minéraux, car les graines sont des substances mortelles qui soutirent tout ce qu'elles peuvent de la plante d'où elles proviennent, du sol et du corps humain, uniquement pour la reproduction. La principale cause des carences serait donc la consommation des graines de tout genre qui tirent du corps tous ses sels minéraux car elles sont trop concentrées.
 
Sucre, sel, poivre, café, thé, tabac, bétel, alcool, cacao, céréales, oléagineux, moutarde, épices, miel, soja, gingembre, etc. sont des stimulants qui semblent nous doper alors qu'ils nous volent notre énergie, font de nous des toxicomanes et favorisent le développement du diabète. Un aliment à base de semence (céréales, noix diverses) est concentré en certains éléments et provoque donc une carence en sels minéraux, car les graines sont des substances mortelles qui soutirent tout ce qu'elles peuvent de la plante d'où elles proviennent, du sol et du corps humain, uniquement pour la reproduction. La principale cause des carences serait donc la consommation des graines de tout genre qui tirent du corps tous ses sels minéraux car elles sont trop concentrées.
  
Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...). Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. Le sucre est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. Le Dr Carton avait intitulé l'un de ses livres "Les Trois Aliments Meurtriers" : le sucre, la viande et l'alcool. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Notre goût nous avertit de ce qui est bon ou non, sauf si notre goût est perverti. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels. Tous ces ingrédients sont trop forts et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Ils provoquent les hémorroïdes assez vite. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Les aliments passent trop vite pour être digérés. Attention, même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
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Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...). Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. Le sucre est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. Les trois aliments meurtriers sont le sucre, la viande et l'alcool. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps cherchent à les expulser d'la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels, et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
  
On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
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On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse" dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. Les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Toutes ses notions sont fausses. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
  
 
==== La précipitation ====
 
==== La précipitation ====
 
La digestion se prépare dans la tête, débute dans la bouche, se poursuit dans l'estomac et se termine dans le côlon. Notre mode de vie nous a conduit à oublier cette évidence et notre organisme doit alors fournir un effort coûteux pour combler le déficit. Nous ne prenons plus le temps de manger comme il faut, dans le calme, de bien mastiquer, de ne pas se fatiguer après un repas et de sauter un repas / ne pas manger si l'on a pas faim ou si l'occasion s'en présente. Les médecins hygiénistes demandent toujours d'attendre une heure après les premiers signes de la faim avant de manger car cette attente permet de distinguer la fausse faim (l'envie) de la vraie faim (le besoin), permettant à l'estomac distendu de devenir plus petit pour ainsi procurer une satiété normale et procurer par la suite plus de satisfaction évitant ainsi l'écueil de vouloir rechercher le plaisir manqué par la satiété pathologique.
 
La digestion se prépare dans la tête, débute dans la bouche, se poursuit dans l'estomac et se termine dans le côlon. Notre mode de vie nous a conduit à oublier cette évidence et notre organisme doit alors fournir un effort coûteux pour combler le déficit. Nous ne prenons plus le temps de manger comme il faut, dans le calme, de bien mastiquer, de ne pas se fatiguer après un repas et de sauter un repas / ne pas manger si l'on a pas faim ou si l'occasion s'en présente. Les médecins hygiénistes demandent toujours d'attendre une heure après les premiers signes de la faim avant de manger car cette attente permet de distinguer la fausse faim (l'envie) de la vraie faim (le besoin), permettant à l'estomac distendu de devenir plus petit pour ainsi procurer une satiété normale et procurer par la suite plus de satisfaction évitant ainsi l'écueil de vouloir rechercher le plaisir manqué par la satiété pathologique.
  
L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
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L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Calmer la faim avec quelques fruits frais de la même espèce. Rejeter pelures et pépins. L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Les horaires ne sont pas indispensables.
  
 
<h2> Connaissez-vous la composition des vaccins ? </h2>
 
<h2> Connaissez-vous la composition des vaccins ? </h2>
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<b>Les vaccins modernes sont des OGMs</b> : les méthodes d'obtention des vaccins modernes par génie génétique ne sont pas autre chose que les techniques d'élaboration des OGM. Les vaccins obtenu par génie génétique pour l'un d'entre eux de cellules d'ovaires de hamsters cancérisées, font toujours appel au sérum de veau fœtal (liquide nutritif) alors que tout produit ou extrait d'origine bovine est strictement interdit dans la pharmacopée, même homéopathique, depuis 1994. Aucun médecin, de par sa formation, n'a eu la moindre information sur les technologies modernes d'obtention des vaccins, ni sur les vraies statistiques mondiales de récession des maladies épidémiques, ni sur les risques secondaires desdites vaccinations.
 
<b>Les vaccins modernes sont des OGMs</b> : les méthodes d'obtention des vaccins modernes par génie génétique ne sont pas autre chose que les techniques d'élaboration des OGM. Les vaccins obtenu par génie génétique pour l'un d'entre eux de cellules d'ovaires de hamsters cancérisées, font toujours appel au sérum de veau fœtal (liquide nutritif) alors que tout produit ou extrait d'origine bovine est strictement interdit dans la pharmacopée, même homéopathique, depuis 1994. Aucun médecin, de par sa formation, n'a eu la moindre information sur les technologies modernes d'obtention des vaccins, ni sur les vraies statistiques mondiales de récession des maladies épidémiques, ni sur les risques secondaires desdites vaccinations.
  
<b>Les vaccins viraux sont cancérogènes</b> : les vaccins viraux (polio-hépatite) ont des risques carcinogènes (virus OGM). Ils sont cultivés sur des souches organiques (animales) (cellules Véro de singe, bile de bœuf, gonades de hamster...) au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles, et élaborés à partir de matériel génétique séquentiel ADN du rétrovirus simien SV40 précurseur du fameux VIH, que l'on retrouve dans le tissu tumoral et facteur de nombreux cancers du cerveau et de mésothéliomes. Les vaccins sont stabilisés et dopés grâce à de l'oxyde d'aluminium (chaque vaccin en contient 1250 microgrammes par litre dont la toxicité pour les cellules nerveuses au-delà de 60 microgrammes par litre est connue) et des sels de mercure extrêmement dangereux pour le système nerveux, dont chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irréversible. Plus de 25 vaccins courants contiennent de l'hydroxyde, des phosphates ou des sulfates d'aluminium, à des pourcentages 50 à 80 fois supérieurs aux doses autorisées par les instances de santé européenne. Les sels d'aluminium traversent la barrière du placenta, entravant le développement du cerveau du fœtus. L'aluminium est responsable de pathologies hépatiques rénales, osseuses et cardiaques graves, d'allergies, d'anémies, de psoriasis... mais il est surtout impliqué dans la nécrose progressive du système nerveux central. Les séquelles vaccinales à long terme sont multiples : allergies multiples (pouvant aller jusqu'à l'œdème de Quincke), atteintes chroniques de la sphère ORL, diarrhées chroniques, diverses maladies gastro-intestinales, maladies rhumatismales, dépressions inexplicables, pertes de défenses immunitaires, crises arthritiques aiguës et de nombreux autres troubles sont en relation directe avec des vaccins reçus il y a quelquefois des décennies. Ceci explique également l'augmentation de fréquence des maladies d'Alzheimer, de Parkinson, de Creutzfeldt-Jakob, des affections neurologiques démyélinisantes (sclérose en plaques), des cancers du cerveau, voire certaines formes d'épilepsie, de paralysies, d'aplasies médullaires et de morts subites.
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<b>Les vaccins viraux sont cancérogènes</b> (polio-hépatite) ont des risques carcinogènes (virus OGM). Ils sont cultivés sur des souches organiques (animales) (cellules Véro de singe, bile de bœuf, gonades de hamster...) au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles, et élaborés à partir de matériel génétique séquentiel ADN du rétrovirus simien SV40 précurseur du fameux VIH, que l'on retrouve dans le tissu tumoral et facteur de nombreux cancers du cerveau et de mésothéliomes. Les vaccins sont stabilisés et dopés grâce à de l'oxyde d'aluminium (chaque vaccin en contient 1250 microgrammes par litre dont la toxicité pour les cellules nerveuses au-delà de 60 microgrammes par litre est connue) et des sels de mercure extrêmement dangereux pour le système nerveux, dont chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irréversible. Plus de 25 vaccins courants contiennent de l'hydroxyde, des phosphates ou des sulfates d'aluminium, à des pourcentages 50 à 80 fois supérieurs aux doses autorisées par les instances de santé européenne. Les sels d'aluminium traversent la barrière du placenta, entravant le développement du cerveau du fœtus. L'aluminium est responsable de pathologies hépatiques rénales, osseuses et cardiaques graves, d'allergies, d'anémies, de psoriasis... mais il est surtout impliqué dans la nécrose progressive du système nerveux central. Les séquelles vaccinales à long terme sont multiples : allergies multiples (pouvant aller jusqu'à l'œdème de Quincke), atteintes chroniques de la sphère ORL, diarrhées chroniques, diverses maladies gastro-intestinales, maladies rhumatismales, dépressions inexplicables, pertes de défenses immunitaires, crises arthritiques aiguës et de nombreux autres troubles sont en relation directe avec des vaccins reçus il y a quelquefois des décennies. Ceci explique également l'augmentation de fréquence des maladies d'Alzheimer, de Parkinson, de Creutzfeldt-Jakob, des affections neurologiques démyélinisantes (sclérose en plaques), des cancers du cerveau, voire certaines formes d'épilepsie, de paralysies, d'aplasies médullaires et de morts subites.
  
<b>Les vaccins sont inefficaces et dangereux</b> : les vaccins font baisser l'ensemble des défenses immunitaires et n'ont pas fait régresser les épidémies. La dangereuse complexité des vaccins est de nature à induire des effets indésirables et incontrôlés : douleurs transitoires, érythème, induration, nodules, fatigue, fièvre, malaise, syndrome pseudo-grippal, vertiges, céphalées, paresthésies, nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, augmentation transitoire des enzymes hépatiques, arthralgies, myalgies, éruption, prurit, urticaire, anaphylaxie, réactions à type de maladie sérique, syncope, hypotension, neuropathies périphériques (polyradiculonévrite, paralysie faciale), névrite optique, atteintes démyélinisantes du système nerveux central (poussée de sclérose en plaques), encéphalite, encéphalopathie, méningite, arthrite, symptômes évocateurs de bronchospasme, œdème de Quincke, érythème polymorphe, vascularite, lymphadénopathie, médulloblastome (cancer du cerveau), sarcome leptoméningé, maladie de Crohn, etc. Les traitements classiques sont devenus inefficaces dans 35 % des cas : le bacille de la tuberculose a muté depuis plusieurs années, le vaccin BCG ne correspond plus à la maladie nouvelle, etc. Le mode de fabrication du vaccin de la tuberculose est illégal en raison de sa souche nutritive à base de sérum de veau fœtal. En effet, les vaccins viraux sont élevés sur du sérum d'embryon de veau. Le BCG (Bacille bilié Calmette et Guérin) est quant à lui élevé sur de la bile de bœuf et injecté tel quel sous la peau au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle (ESB). L'obligation vaccinale est illégale car depuis 1994, tout extrait de provenance bovine est strictement interdit dans toute médication. Il est nécessaire de déstabiliser les protagonistes de leurs certitudes à propos desquelles, en outre, ils ne possèdent jamais de documentation de référence. &#x21EA; Les vaccins n'étant pas obligatoires mais seulement recommandés avec insistance, l'État ne prendra pas en compte les éventuelles séquelles et vous dira que personne ne vous a obligé à faire ces vaccinations. De toutes manières, vous aurez beaucoup de mal à faire admettre une relation de cause à effet, même lorsque les séquelles sont immédiates.
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<b>Les vaccins sont inefficaces et dangereux</b>, font baisser l'ensemble des défenses immunitaires et n'ont pas fait régresser les épidémies. La dangereuse complexité des vaccins est de nature à induire des effets indésirables et incontrôlés : douleurs transitoires, érythème, induration, nodules, fatigue, fièvre, malaise, syndrome pseudo-grippal, vertiges, céphalées, paresthésies, nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, augmentation transitoire des enzymes hépatiques, arthralgies, myalgies, éruption, prurit, urticaire, anaphylaxie, réactions à type de maladie sérique, syncope, hypotension, neuropathies périphériques (polyradiculonévrite, paralysie faciale), névrite optique, atteintes démyélinisantes du système nerveux central (poussée de sclérose en plaques), encéphalite, encéphalopathie, méningite, arthrite, symptômes évocateurs de bronchospasme, œdème de Quincke, érythème polymorphe, vascularite, lymphadénopathie, médulloblastome (cancer du cerveau), sarcome leptoméningé, maladie de Crohn, etc. Les traitements classiques sont devenus inefficaces dans 35 % des cas : le bacille de la tuberculose a muté depuis plusieurs années, le vaccin BCG ne correspond plus à la maladie nouvelle, etc. Le mode de fabrication du vaccin de la tuberculose est illégal en raison de sa souche nutritive à base de sérum de veau fœtal. En effet, les vaccins viraux sont élevés sur du sérum d'embryon de veau. Le BCG (Bacille bilié Calmette et Guérin) est quant à lui élevé sur de la bile de bœuf et injecté tel quel sous la peau au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle (ESB). L'obligation vaccinale est illégale car depuis 1994, tout extrait de provenance bovine est strictement interdit dans toute médication. Il est nécessaire de déstabiliser les protagonistes de leurs certitudes à propos desquelles, en outre, ils ne possèdent jamais de documentation de référence. &#x21EA; Les vaccins n'étant pas obligatoires mais seulement recommandés avec insistance, l'État ne prendra pas en compte les éventuelles séquelles et vous dira que personne ne vous a obligé à faire ces vaccinations. De toutes manières, vous aurez beaucoup de mal à faire admettre une relation de cause à effet, même lorsque les séquelles sont immédiates.
  
 
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Version du 11 octobre 2008 à 10:23

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