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| − | __NOTOC__ __NOEDITSECTION__ __NEWSECTIONLINK__
| + | <span style="cursor:default;">Bonjour et bienvenue à tous, je suis <strong>Anthony</strong> et je vis en Bretagne.</span> |
| − | <div class="plainlinks"><!--<i>La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées - La santé par la nourriture et par les aliments compatibles</i> | |
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| − | La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer.
| + | <span style="cursor:default;">N'hésitez pas à me contacter via [[Discussion utilisateur:Anthony|<font color="#002bb8">ma page de discussion</font>]] ou par [[Spécial:Envoyer_un_courriel/Anthony|<font color="#002bb8">courriel</font>]].</span> |
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| − | Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, le ressentiment, la tourmente, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, l'abus de soleil et l'excès de vent peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Rien n'est aussi destructeur de la santé que le manque de sommeil et le surmenage. Il n'existe pas de remède, même naturel. La suppression de la cause suffit par elle-même. Donc, ni café, ni thé, ni tabac, ni aucun stimulant. Le baume de la Nature, c'est le repos, repos du corps et de l'esprit, repos des organes surmenés, repos des sens. En général les causes de la maladie se divisent en quatre catégories : les excès, les carences, les mauvaises réactions émotionnelles, les habitudes d'intoxication. L'excès ne s'applique pas aux habitudes, aux satisfactions et aux influences qui ne font pas partie des besoins normaux de la vie. Par exemple, le tabac et tous les poisons qui l'accompagnent ne sont pas des choses nécessaires pour la vie. Le corps ne l'utilise pour aucune de ses fonctions, ni pour construire des tissus et pour aucun de ses fluides. Les excès habituels sont les suivants : trop manger, trop boire (de l'eau), bains trop longs, ensoleillement excessif, trop d'exercices, surcharge d'émotions et complaisance dans le sexe. Nourriture, eau (en tant que boisson), bain de soleil, exercices, émotions et sexe sont les éléments normaux et les satisfactions de la vie. Ils doivent être requis en qualité et en quantité adéquates pour la préservation et la restauration de la santé. Tout excès aura une influence débilitante, et en tant que telle il devient une cause (petite ou éloignée) de la maladie. Les maladies d'autodéfense (auto-guérison), du type réactionnel, sont des effets de l'organisme pour se désintoxiquer, c'est à dire rejeter loin de lui les poisons qui gênent la vie des cellules. Toute intervention maladroite ne peut que freiner ce travail salutaire. Les petites maladies, ainsi guéries, préparent de grandes récidives et les grandes maladies irréversibles. Respectons les symptômes de l'élimination. Il n'y a pas de maladies en soi mais plutôt des crises curatives sur le mode émonctoriel ou éliminatoire, voulues par la Nature et orchestrées par la force vitale. Les seules maladies authentiques, dignes de ce nom, sont les maladies dégénératives, à forme centripète (sans élimination). Ces maladies rares à une époque pas très reculée se développent rapidement à notre époque (cancer, sida..).
| + | <span style="cursor:default;">À bientôt !</span> |
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| − | Le rétablissement est possible aux quatre conditions suivantes :
| + | <span style="cursor:default;">Aujourd'hui le {{LOCALDAYNAME}} {{LOCALDAY}} {{LOCALMONTHNAME}} {{LOCALYEAR}} à {{LOCALTIME}}, [[Special:Statistics|<font color="#002bb8">{{formatnum:{{NUMBEROFARTICLES:R}}}} articles</font>]] et {{NUMBEROFEDITS}} éditions, {{NUMBEROFUSERS}} utilisateurs dont {{NUMBEROFADMINS}} administrateurs.</span> |
| − | 1) La suppression du motif qui comprend la correction de toute habitude nocive, de toute nourriture non spécifique à l'espèce humaine, de toute influence malsaine, et l'abstention de tout poison.
| + | [[de:Benutzer:Anthony]] |
| − | 2) L'apport des éléments et des conditions nécessaires à la santé notamment : les aliments spécifiques à l'espèce humaine, la sérénité mentale, un climat supportable, etc.
| + | [[en:User:Anthony]] |
| − | 3) La récupération des forces vitales qui s'accomplit par le repos physique, mental, sensoriel et physiologique (jeûne).
| + | [[eo:Vikipediisto:Anthony]] |
| − | 4) Donner le temps nécessaire aux processus réparateurs (ce temps peut varier entre quatre heures, quelques jours ou quelques mois selon le cas).
| + | [[es:Usuario:Anthony]] |
| − | | + | [[it:Utente:Anthony]] |
| − | La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques. Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables.
| + | [[pl:Użytkownik:Anthony]] |
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| − | "L'activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les procédés de restauration les plus qualifiés. Le véritable stockage des réserves d'énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d'un corps épuisé, ne fait que précipiter l'épuisement des quelques réserves restantes, et amène l'effondrement final plus rapidement. Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l'état d'épuisement total". SHELTON L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.) Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées. Le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables. Les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie. Donc, pour hâter l'élimination, il faut pousser les cellules, non les émonctoires à éliminer. Les cellules ont besoin pour fonctionner avant tout d'énergie nerveuse. Quand celle-ci est abondante, elles éliminent beaucoup, sinon elles éliminent peu. On ne peut augmenter l'énergie nerveuse qu'en se reposant, en économisant sur les dépenses physiques, musculaires, digestives, sexuelles. Comment économiser ? Par le repos musculaire, stomacal, sexuel, etc.
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| − | 1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie. En effet, la médecine considère la maladie comme une entité. La maladie est une action vitale, dont le but est de désintoxiquer, de purifier, de réparer. Le vomissement, la diarrhée, ne sont-ils pas des efforts de l'organisme pour expulser les poisons ? pour se purifier ? Par conséquent, la maladie purifie l'organisme, le désintoxique, l'assainit et le répare. Lutter contre elle, - et c'est bien la pratique médicale - est une grave erreur. La maladie est une action correcte, utile et bienfaisante. De plus, la force de la maladie n'est autre que celle du corps lui-même. En partant des théories médicales, on ne pouvait pas expliquer pourquoi c'était toujours les plus vigoureux qui faisaient les symptômes les plus violents, et c'était encore eux qui se rétablissaient le plus vite. A cet effet, on remarquera que les vieux, en général, ne font qu'une petite fièvre, tandis que les jeunes une forte fièvre. C'est là un indice de leur vitalité. La preuve est ainsi faite que la maladie est l'action du corps même. Elle peut être aiguë ou chronique. D'autre part, la paralysie, la cataracte, etc, ne sont pas vraiment des maladies, mais des dégénérescences, des destructions, souvent irréversibles.
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| − | 2) La médecine enseigne une fausse doctrine sur l'action des remèdes. En effet, la médecine enseigne que les remèdes agissent. La médecine avoue ignorer le mode d'action des médicaments mais elle suppose, a priori, et sans aucune preuve, qu'ils agissent. Combien de siècles faudra-t-il pour que l'on comprenne que les médicaments n'agissent pas sur le corps, que c'est le corps qui agit sur eux ? Les médicaments n'agissent pas. Voilà la loi que le docteur R.T. Trall avait découverte. C'est plutôt le corps qui agit sur les médicaments. Pourquoi ? Pour se protéger, se sauvegarder, se préserver, car il répugne aux poisons. Par conséquent, les médicaments devraient être éliminés. Mais de ce fait, ils distrayaient les forces du corps du travail d'élimination, que ce travail fut anormal - maladie - ou normal. La désintoxication se ralentissait et l'état du malade s'aggravait, par toxémie.
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| − | 3) La médecine enseigne une fausse théorie sur le pouvoir de guérison. En effet, ce pouvoir est inhérent aux organismes vivants. Il n'existe pas à l'extérieur, dans une fiole de médicaments. Le remède ne guérit pas. C'est le corps qui se guérit, de lui-même.
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| − | 4) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la relation entre la maladie et le pouvoir guérisseur. En effet, la médecine enseigne que la maladie et le pouvoir curatif sont deux entités antagonistes, alors qu'ils sont une seule et même chose. N'est-ce pas la diarrhée qui nettoie ? N'est-ce pas les furoncles qui purifient ? La médecine prétend aider la Nature - ou le pouvoir curatif, - avec des poisons, pour chasser la maladie. Rien de plus absurde, car le pouvoir curatif, c'est la maladie même.
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| − | 5) La médecine enseigne une fausse théorie sur la relation des remèdes avec la maladie. En effet, la médecine veut guérir une maladie en produisant une maladie contraire ! Et c'est de là que provient son nom : allopathie. C'est ainsi qu'on veut provoquer la constipation dans les cas de diarrhée; et la diarrhée dans les cas de constipation. Pourquoi un poison qui provoquerait des vomissements chez un homme sain, remédiera-t-il l'état d'un malade ? Si un poison rend malades les gens sains, ne nuirait-il pas aux malades ? Donnez du sel de magnésie à un homme sain : il fait une diarrhée; on dit alors, en médecine, que ce sel a eu une action physiologique. Donnez par contre le même sel à un constipé : il fait aussi une diarrhée, mais l'on dit que le sel a eu une action thérapeutique. Rien de plus absurde. Voltaire avait bien raison de dire que l'on administre des médicaments, dont on sait très peu, à des organismes, dont on sait moins, pour guérir des maladies dont on ne sait rien ! La médecine s'attaque aux symptômes, au lieu de s'attaquer aux causes. Ainsi par exemple, si un malade vomissait, on voudra arrêter les vomissements; s'il faisait de la fièvre, on voudra la faire baisser coûte que coûte; s'il était faible, on voudra le remonter. Mais on ne cherchait pas à savoir la cause des vomissements, la cause de la diarrhée, la cause de la fièvre, la cause de la faiblesse. - On jetait, comme de la poudre aux yeux, des mots savants qui ne voulaient rien dire, comme si cela dispensait la médecine de rechercher plus haut, - c'est à dire les causes. Exemple : on vous dira, c'est une allergie ! En d'autres termes, la faute est aux mécanismes du corps déréglé. - Ou bien alors, on rejette la faute sur les microbes, - ce qui dispensait la médecine d'accuser le café, le vin, les aliments malsains, - et cela ménageait aussi le malade qui n'eût pas aimé qu'on le traitât d'avoir vécu de façon malsaine. La médecine était-elle capable de s'attaquer aux causes ? Hélas ! Non, puisqu'elle les ignore. de ses propres aveux. On commence par vous dire que la cause est un microbe, puis un peu plus loin, on affirme que la cause est inconnue ! Il suffit de voir les manuels classiques médicaux, ou même des articles de journaux médicaux, pour lire des déclarations stupéfiantes, selon quoi elle ignore la cause du rhumatisme, du rhume, de la sinusite, du cancer. etc. D'autre part, le tabac était considéré, autrefois, comme ayant 17 propriétés médicinales ! On le prescrivait pour guérir... Mais grâce aux premiers hygiénistes, on avait fini par admettre officiellement que cette plante vénéneuse causait le cancer des poumons.
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| − | 6) La médecine enseigne une fausse théorie sur les relations entre les matières vivantes et les matières inanimées. En effet, la médecine enseigne que les matières inanimées, inertes, chimiques, synthétiques, peuvent nourrir. Or cela est impossible. Par exemple, on fabrique des vitamines synthétiques et l'on prétend qu'elles peuvent nourrir le corps. Mais rien ne vaut les vitamines naturelles, vivantes. Les vitamines artificielles n'ont aucune valeur. On prescrit de l'iode, du fer, du calcium, synthétiques, en affirmant qu'ils comblent les carences du corps. Or ces produits artificiels ne sont pas fixés par le corps. Il les rejette, dès qu'il les reconnaît. Rien ne vaut les produits naturels et vivants. Les fabricants de vitamines et d'autres produits chimiques dictent certainement leur loi aux médecins asservis et dociles.
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| − | 7) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature et la source des remèdes. En effet, la médecine croit à l'existence des remèdes, ce qui est absurde et illogique. Les remèdes n'existent pas. Le seul remède, pour ainsi dire, c'est la suppression de la cause. Ce n'est pas à proprement parler un remède. Supprimer le tabac, le café, le vin, ce n'est pas un remède. Les Lois de la Nature ne peuvent pas être violées au gré des hommes. On pourra aussi supprimer les effets d'une vie malsaine, sans se corriger. On pourra fumer sans faire de bronchite, manger du chocolat sans nuire à son foie, boire de l'alcool sans irriter le système nerveux, boire du café sans affecter les reins, user d'apéritifs sans se soûler, et ainsi de suite. Non, on ne peut pas annuler la Loi de Cause à Effet. Il ne faut pas leur enseigner le mensonge populaire selon lequel certaines drogues sont des poisons alors que d'autres sont des médicaments;
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| − | - ou qu'une drogue peut être un poison ou un médicament, selon la dose;
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| − | - ou encore que ces drogues prises sans l'avis d'un médecin deviennent un poison, alors que sur prescription médicale elles deviennent un médicament;
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| − | - ou enfin qu'elle est un poison quand on les prend dans la bonne santé, et un médicament quand on les prend dans la maladie.
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| − | On n'enseigne pas toute la vérité, car cela détruirait l'une des plus vastes et des plus vieilles industries du monde, et aussi parce que cela mettrait au chômage la profession médicale. En effet, un médecin privé de ses médicaments est comme un poisson hors de l'eau… On lui a enseigné d'empoisonner les malades, et il ne connaît presque rien d'autre. Son entraînement est bien limité et spécialisé. Quand le médecin se vante de son grand savoir scientifique, il a en vérité moins de connaissances valables pour soigner les malades que ces derniers eux-mêmes. Les médicaments ne sont jamais nécessaires. La médecine est le plus grand ennemi de l'intégrité humaine dans la vie moderne. Seul une personne stupide ou mal informée ira prétendre que la médecine a conféré de grands bienfaits à l'humanité.
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| − | Traduit et présenté de <i>Dr Shelton's Hygienic Review</i>, vol 24, n°4, par A. M..
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| − | Les facteurs nécessaires au maintien de la santé sont ceux-là même auxquels il faut recourir pour la rétablir, et pas d'autres, quelle que soit la maladie en cause. Ces facteurs sont l'alimentation spécifique à l'espèce humaine, l'absence de poisons chimiques, la suppression des médicaments, des vaccins, des émotions négatives, avoir l'esprit positif, le repos, le sommeil, l'air pur, l'exercice, etc.... En dosant chaque facteur selon le pouvoir d'utilisation de chaque cas particulier.
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| − | L'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. Il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines.
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| − | Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de polyarthrite et de spondylite ankylosante. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
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| − | Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
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| − | Les réserves du corps sont constitués par :
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| − | - la graisse
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| − | - les os qui sont des réservoirs de sels minéraux
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| − | - le sucre dans le foie, les muscles, les glandes, etc.
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| − | - les vitamines dans le sang, etc.
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| − | Les aliments ne nourrissent pas à moins d'être digérés. Et ils doivent être digérés avant d'être absorbés. Ils doivent être absorbés avant d'être assimilés, enfin ils doivent être assimilés avant de pouvoir être d'une utilité quelconque pour les cellules du corps. Toutes les tisanes sont à éviter, en effet ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne).
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| − | Il existe dans la nature un cycle : le végétal se nourrit du minéral et l'homme se nourrit du végétal. On ne peut pas court-circuiter ce cycle et se nourrir de produits minéraux. Il n'y a que la plante qui ait la possibilité d'assimiler les matières minérales inertes.
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| − | Les oligo éléments sont très important pour l'organisme dont il n'aurait besoin que de simples traces. Ils sont aussi importants pour le fonctionnement du corps tel que les enzymes, les vitamines et les sels minéraux. Toutefois, il faut les prendre sous forme biologique, assimilable, dans les aliments, tel que la nature les présente. Ceux qui sont prescrits sous forme minérale sont des médicaments que le corps ne peut pas assimiler, ni utiliser. Il s'ensuit que les oligo-éléments contenu dans les eaux minérales ne sont pas assimilables.
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| − | Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Ne pas manger le melon et la pastèque avec aucun autre aliment, ni à la fin d'un repas. Sinon on risque l'indigestion, les ballonnements. L'aliment aqueux en fin du repas entraîne les sucs digestifs et les diluera, ce qui retardera la digestion par l'arrêt des sécrétions de ptyaline nécessaire à la digestion des amidons. Certaines personnes anormales souffrent après l'absorption de certains aliments, puis jettent le blâme sur ces aliments. Pourtant ce n'est presque jamais l'aliment consommé qui en est la cause. Ainsi par exemple, ceux qui font une éruption cutanée après avoir mangé des fraises, devraient savoir que la cause de l'éruption n'est pas dans les fraises, mais plus profondément. Les fraises ont fait ressortir une toxémie sanguine profonde. Ce sera l'opposé pour les aliments incompatibles. Aussi ceux qui font des gaz après avoir mangé des poires, du chou, ou du poivron ne doivent pas incriminer ces aliments sains, mais tous les autres aliments qui composent leur menu malsain et qui affaiblissent leur pouvoir digestif.
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| − | Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'auto-guérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
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| − | La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de santé qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
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| − | Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Il est clair aujourd'hui que le Cancer, la maladie d'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée. Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences ? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Étant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ?
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| − | L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... L'être humain est un foli-frugivore strict. L'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...), et des fruits azotés comme les noix et noix diverses en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, monoinsaturés, et saturés, des protéines végétales d'origines différentes et complémentaires, sans risque d'acides aminés manquants, toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les minéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité. Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans la tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques". En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement, modifier ses perceptions et ses projets, et s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
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| − | Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances.
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| − | Le docteur Edmond Bordeaux Székély classe les aliments en quatre catégories :
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| − | :⇢ les aliments biogéniques, régénérateurs de vie riches en enzymes et en énergie (graines germées, jeunes pousses) et regroupant la plupart des aliments n'ayant subi aucune manipulation ;
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| − | :⇢ les aliments bioactifs qui entretiennent la vie (fruits, légumes et oléagineux crus et frais) ;
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| − | :⇢ les aliments biostatiques qui ralentissent la vie (aliments d'origine animale, aliments cuits, végétaux non frais)
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| − | :⇢ et les aliments biocidiques qui détruisent la vie (tous les aliments industriels, trafiqués, qui contiennent des produits chimiques et qui, au lieu d'engendrer la vie, la détruisent).
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| − | Les fruits et légumes frais, les graines germées et les jeunes pousses constituent par conséquent à eux seuls la catégorie des aliments riches en enzymes, nous offrant un potentiel maximum de nutriments inaltérés et vivants et capables de combler toutes les carences de l'alimentation tristement moderne à laquelle sont confrontés tous nos contemporains jeunes et vieux, victimes du profit industriel au détriment de la qualité de vie. Ils nous évitent de surcroît toute hyperleucocytose digestive, facilitent toutes les réactions métaboliques, la régénération cellulaire et augmentent les défenses immunitaires humaines.
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| − | Non seulement il existe un rapport défini entre la constitution physique d'un animal et sa nourriture normale mais l'aliment auquel un organisme est normalement et constitutionnellement adapté est l'aliment qui servira au mieux les plus hauts intérêts biologiques, physiologiques et psychologiques de celui-ci.
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| − | ''Les seuls aliments qui nous maintiennent en bonne santé sont les produits de la nature, dans leur état naturel, là où ils poussent spontanément, recueillis mûrs et consommés frais. De cette évidence, il apparait que 90 % de ce qui compose notre alimentation aujourd'hui devrait être abandonné''.
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| − | ''Le créateur du corps humain a aussi créé les matières premières correspondantes crues pour le nourrir, à condition de les fournir au corps dans leur totalité, sans les dégrader. - on pourra ainsi vivre en bonne santé sans aucune maladie jusqu'à un âge avancé''.
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| − | Aujourd'hui, plus personne ne peut ignorer que certains aliments sont meilleurs que d'autres pour la santé. Les résultats d'études scientifiques les plus récentes convergent vers une certitude : les maladies modernes sont étroitement liées à l'alimentation. Qui plus est, un nombre croissant de scientifiques mondiaux affirment qu'une nourriture appropriée rend notre système immunitaire capable de mieux nous protéger contre toute attaque : virus, pollution, stress, dégénérescence, ...
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| − | Selon Téofilio de la Torre, l'aliment naturel de l'homme est celui qui est agréable à la vue, à l'odorat, au goût ; consommé à l'état cru, sans cuisson ni raffinements ; sans mélanges (combinaisons incompatibles) ; sans assaisonnements (qui sont tous irritants), ni sauces, ni condiments. Par conséquent, toute chose comestible qui n'est pas agréable et plaisante à manger dans son état naturel cru, n'est pas un aliment naturel pour l'homme.
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| − | === La santé par l'alimentation vivante ===
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| − | Pendant des millénaires, l'homme a inconsciemment dénaturé son alimentation originale et a volontairement changé son mode de vie, car il n'avait pas les moyens scientifiques pour en évaluer les effets. En conséquence, il a altéré son environnement et a bouleversé ses habitudes alimentaires pour satisfaire ses ambitions.
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| − | L’alimentation naturelle est celle qui se rapproche le plus de l’alimentation des grands primates. D’après le tableau d’anatomie et de physiologie comparées, l’homme est frugivore. Il reste tous les fruits, tous les légumes, et les racines, comme les pommes de terre, les topinambours, les ignames. L'homme est un animal phytophage et frugivore. Depuis des millions d'années, nous sommes physiologiquement constitués pour assimiler une nourriture naturelle (dans l'état où on la trouve dans la nature) et spécifique, simple (non composée ou traitée par un processus culinaire) et non concentrée (faible teneur en protéines, glucides ou lipides) à base de plantes et de fruits.
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| − | ==== Les fruits et légumes (frais) ====
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| − | Choisir de préférence des fruits et légumes sains, crus et variés, cueillis à maturité et issus, dans la mesure du possible (sans en faire une obsession), de l'agriculture biologique. Si on peut s'assurer d'avoir des aliments à 100 % biologiques, tant mieux. On se contentera sinon des aliments courants en veillant à peler les fruits et à bien laver les légumes.
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| − | Pour enrichir sa flore intestinale il faut consommer davantage de feuilles vertes, sur lesquelles on trouve des bactéries en abondance à condition de ne pas les tremper dans l'eau, ni de les laver avec des germicides. Il ne faut pas mélanger les fruits et les farineux, comme les pommes de terre. Quant aux bananes, nous défendons leur consommation car elles contiennent un poison qui affecte les reins et la vessie et de l'amidon indigeste qui provoque des ballonnements et des selles volumineuses. On peut manger les crudités, crues, telle quelles, ou préparer un saladier dans lequel on les coupera en petits morceaux. Éviter les aliments forts : oignon, ail, raifort, etc. Aucun animal n'assaisonne les aliments naturels. On évitera les épinards à cause de l'acide oxalique en excès. Pareil pour la rhubarbe et l'oseille à cause de leur acidité. On se limitera à une seule tomate par jour, à cause de l'acide oxalique encore. Certaines crudités sont aspergés de produits chimiques, il faudra donc les peler, du reste les pelures de tomate sont indigestes et se retrouvent dans les selles. On ne peut pas les réduire par la mastication en purée. Les feuilles vertes seront rapidement lavées, sous le robinet, puis essorées. Les premières rangées seront jetées, à cause des traitements chimiques qu'elles ont subies durant leur culture. Les concombres, les poivrons rouges ou verts, les fèves vertes avec les cosses, ne doivent pas être pelés, mais soigneusement frottés, sous le robinet, avec une brosse. Les carottes auront besoin d'être pelées, car on les conserve dans du sable qui s'y incruste fortement, et qu'il est impossible de déloger par le brossage. Les salsifis seront brossés sous l'eau, avec une brosse dure, on pourra aussi les peler. En conclusion : ne jamais tremper les crudités dans l'eau, car cette pratique leur fait perdre des vitamines et des sels minéraux inutilement. Les crudités ne doivent pas être écrasées, hachées, moulinées, ou râpées, sauf pour les dents fragiles. L'habitude de couper finement les légumes, de les râper ou de les mouliner, leur fait perdre, par oxydation, des vitamines et des enzymes. Le Docteur Canadien Frederick Tisdall, de Toronto, a découvert que l'action de râper les pommes et les pommes de terre leur fait perdre la totalité de leurs vitamines C, et la mastication en en détruit la moitié. Mais suite à celle ci la nature a bien fait les choses et il en reste assez pour combler nos besoins. Pas de crudités acides avec les farineux. Les fruits coupés, les melons ouverts, et les crudités râpés se décomposent rapidement à la chaleur, garder les au frigo. Ne mélangez pas les fruits avec les crudités, ni avec les aliments cuits. Éviter les végétaux nuisibles : la canneberge la rhubarbe les épinards les champignons les levures les betteraves les bananes crus. On prendra les aliments naturels à l'état où la Nature nous les offre de ses Mains généreuses. Jamais en compote, ni en conserve. Crus, si possible. Il n'y a que les fruits qui peuvent combler ces besoins à savoir que les concombres, les courgettes, les tomates, les poivrons sont des fruits, du point de vue biologique. Ce sont des plantes qui possèdent aussi une fleur.
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| − | Les fruits : pommes, oranges, poires, fraises, ananas, raisins, framboises, pêches, melon, abricots, pastèque, mangues, kaki, kiwis, nectarines, prunes, mirabelles, figues fraîches, pamplemousses, etc.
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| − | Aliments neutres : les bananes, les pastèques, les melons, les avocats.
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| − | Aliments acides : Orange, Pamplemousse, Fraise, Kiwi, Pomme, Poire, Raisin, Mangue, Pêche, Abricot, etc. Quant aux aliments acidifiants, ils ont un goût neutre en général et ne contiennent pas d'acides libres. Ce sont les sous-produits de leur digestion qui sont acidifiants.
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| − | ==== Les fruits et légumes (secs) ====
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| − | La déssication est sans doute la méthode la plus simple et la plus naturelle pour conserver ses aliments. Effectivement, le séchage arrête la croissance bactérienne, élimine 80% à 90% d'humidité et permet de conserver de bons fruits et légumes tout l'hiver tout en gardant une grande partie de leur saveur, de leur texture et de leur valeur nutritive. Ne sécher cependant que des produits frais, mûrs et sains, entre 35 et 50 °C, au grand air, à l'abri du soleil et bien les réhydrater avant de les consommer. Les aliments correctement séchés constituent une nourriture de grande qualité.
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| − | ==== Les graines germées et jeunes pousses ====
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| − | Source fantastique de minéraux, oligo-éléments, vitamines, acides aminés et enzymes, et riches en glucides, lipides, protéines et fibres végétales, les graines germées accompagnant une nourriture saine apportent satisfaction aux exigences immédiates autant qu'aux besoins préventifs. <i>La germination est un phénomène naturel qui intervient lorsque des semences sont imbibées dans des conditions favorables de température, d'oxygénation et d'obscurité</i> [...] <i>qui induit des modifications aux propriétés physico-chimiques des graines</i> [...] <i>tout en accroissant la valeur nutritionnelle et la disponibilité des semences alimentaires.</i>
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| − | Les céréales et légumineuses peuvent être consommées germées (3 jours) car cela résoud le problème de l'amidon qui se transforme ainsi en sucre assimilable.
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| − | === Les 7 péchés capitaux de notre alimentation ===
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| − | L'homme a le potentiel pour vivre plus de 120 ans et il devrait s'éteindre en bonne santé. Malgré les progrès de la médecine, une hygiène de vie plus saine et des conditions de travail moins pénibles, nous n'atteignons pas cet idéal. La faute en incombe principalement à nos erreurs alimentaires.
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| − | ==== L'excès ====
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| − | La surconsommation surcharge et encrasse nos tissus de déchets toxiques et altère le bon fonctionnement de nos organes de digestion, d'assimilation et d'élimination. Nous mangeons trop mais surtout trop riche et trop pauvre à la fois, souvent sans faim et avons pris l'habitude de manger trois fois par jour alors qu'un seul repas et un deuxième très léger suffirait amplement à la majorité d'entre nous. Notre organisme s'est naturellement façonné pour métaboliser une nourriture faiblement concentrée en protéines, glucides et lipides (une alimentation trop copieuse accélère le vieillissement des tissus de notre organisme). Notre suralimentation bloquent certains métabolismes par encrassement, rendant l'organisme incapable d'assimiler certains éléments de base. Les médecins savent désormais que la plupart des gens ne digèrent que 25 % de ce qu'ils mangent, le reste passant le lendemain ou surlendemain dans les selles qui deviennent abondantes, peu moulées, malodorantes et salissant le corps. Les repas simples pris modérément facilitent la digestion. La quantité de nourriture varie selon la taille, l'activité physique et mentale, l'âge, le sexe, la saison, la faim, l'état de repos et de tension nerveuse, ... Les petits repas sont préférables au gros repas. Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE.
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| − | Dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet au départ une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables : perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle, une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore...
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| − | ==== Le raffinage ====
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| − | Les micro-nutriments de base indispensables au métabolisme de notre alimentation sont presque complètement détruits par les opérations de raffinage. Nous souffrons alors de carences qui fragilisent notre organisme et préparent le terrain à la maladie.
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| − | ==== La cuisson ====
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| − | La cuisson force notre organisme à des efforts de compensation démesurés et nous conduit à manger plus, dénaturant ainsi la structure chimique de nos aliments, nous privant par conséquent de la plupart des principes nutritifs et digestifs (enzymes et vitamines) contenues dans nos aliments en atténuant de surcroît leur goût naturel. En 1927, P. Kouchakoff de Lausanne constatait que le phénomène de leucocytose digestive ne se produit pas après un repas constitué de produits végétaux frais et crus (l'hyperleucocytose consiste en l'augmentation du nombre des globules blancs dans le sang, apparaissant après l'ingestion d'aliments cuits ou trafiqués). Les corps gras se transforment en poison quand ils sont cuits. Ils sont désintégrés et dégradés, libérant des acides gras dangereux, comme c'est le cas des aliments frits. En plus, ces graisses enrobent si bien les aliments que ces derniers ne peuvent plus être touchés par les sucs digestifs. Voilà ce qui explique l'indigestion provoquée par les fritures. Les fritures sont très nocives pour le foie. La cuisson détruit la plus grande partie des vitamines et transforme les sels minéraux et les oligo-éléments en matières inertes.
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| − | ==== Les mélanges ====
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| − | La digestion est une opération complexe : chaque aliment de base requiert un traitement digestif spécifique s'effectuant en étapes et nécessitant des enzymes et sucs digestifs appropriés dont l'action s'effectue soit dans un milieu alcalin, soit dans un milieu acide, soit dans un milieu neutre. La loi des combinaisons alimentaires demande une révision complète des schémas alimentaires traditionnels. Selon sa composition biochimique, un aliment sollicite des sucs digestifs pendant un temps donné dont les temps de digestion diffèrent par conséquent d'un type d'aliment à l'autre. Il en résulte une « bousculade » dans l'estomac entre des aliments incompatibles, qui engendre une digestion difficile d'une partie de ces aliments, qui elle-même entraîne des fermentations intestinales, d'où mauvaise assimilation, abondance de toxines, gaz et ballonnements, ... Ayant repris et développé les travaux du Dr Shelton en une méthode appelée l'hygiénisme, le biologiste Désiré Mérien conseille l'application rigoureuse mais non maniaque des principes de compatibilités.
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| − | Les deux notions fondamentales sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas.
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| − | ==== Les poisons ====
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| − | Les produits chimiques, omniprésents dans notre alimentation, ont envahi notre agriculture, altéré la qualité de nos aliments et empoisonné notre cuisine. Nos connaissances sont trop récentes dans ce domaine pour pouvoir en mesurer les effets à long terme. En 1950, après une enquête minutieuse, le gluten (contenu dans la plupart des céréales et dans tout aliment provenant d'une technique industrielle) fut définitivement responsable de la maladie cœliaque - touchant les viscères abdominaux - provoquant une atrophie de la muqueuse intestinale (surface active d'absorption) par disparition des villosités. Conclusion : le régime sans gluten doit être strict.
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| − | Quand les poisons sont déversés dans le sang, ils donnent des maux de tête avant d'être éliminés par les urines. Celles-ci deviennent alors très foncées , car elles contiennent tous les poisons éliminés. Un jeûne court profitera à la santé et reposera l'estomac.
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| − | Poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, nicotine, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, noix diverses, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz provoquent hémorroïdes, démangeaisons anales, ulcères, maladies du foie, maux de tête, etc.
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| − | La viande est naturelle pour les animaux carnivores. Pas pour nous. L'être humain n'a pas les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.). Le poisson (et tous les fruits de mer) est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Or dans nos intestins, la chaleur et l'humidité favorisent sa putréfaction qui engendre des poisons virulents qui ruinent les reins. Les champignons et les huîtres sont naturels, mais contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
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| − | On peut aussi inclure parmi ces aliments le pain blanc ou complet, le riz blanc ou complet, les céréales, les brioches, les biscottes, les croissants, les galettes, les pizzas, etc., c'est à dire tout ce qui est fabriqué avec des céréales complètes ou blutées. Ces aliments sont destinés par la Nature aux granivores. Cela exclut les viandes, les noix diverses, les fromages, les œufs, l'huile, le beurre , les céréales, et les légumineuses (lentilles, haricots blancs, fèves sèches, pois chiches, petits pois secs, soja). Les corps gras : le beurre, l’avocat, les graisses, l’huile. à proscrire : poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz. Maladies engendrées par le poisson, la viande, les fromages, les noix diverses, les légumineuses : infection, pus, abcès, fièvre, cancer, maladies de la peau, maladies des reins, fistules, leucémie, troubles visuels, eczéma, psoriasis, furoncles, urticaire, etc. Maladies provoquées par le pain et toutes les céréales : rhume, grippe, sinusite, diabète, maladies rhumatismales, arthritisme, bronchite, pneumonie, colite, asthme, allergies, sang épais, caillots, artériosclérose, tendance au surmenage, ce qui encrasse le sang et produit les caillots, allergies diverses, paralysie (à cause des caillots), infarctus, diabète.
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| − | Pour commencer, quand on veut maintenir ou rétablir une santé perdue, il faut absolument refuser tout ce qui n'est pas naturel, c'est à dire tel que la Nature le présente. Donc, il faut refuser catégoriquement tout ce qui sort d'une usine, que ce soit un aliment ou un médicament. Cela étant dit, il n'est pas question d'accepter tout ce qui vient de la Nature. En effet, tout ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'organisme humain. L'homme n'est pas le seul animal sur terre. Il faut que le naturel ait un rapport normal à l'être humain, ce qui n'est pas toujours le cas. Ainsi par exemple, parmi les milliers de plantes naturelles qui se rencontrent sur la terre, il y en a à peine quelques dizaines qui soient comestibles. Toutes les autres sont vénéneuses pour nous. Le tabac est naturel, comme la feuille de thé et la graine de cacao, mais leur amertume les rend toxiques pour nous. Les remèdes n'existent pas. Le seul remède, c'est la suppression de la cause. Le pouvoir curatif est la prérogative exclusive des cellules vivantes. L'être humain absorbe également des médicaments, qui sont aussi des poisons. Souvent ils n'ont que pour unique but que supprimer des symptômes. La personne qui cherche une santé naturelle doit avant tout comprendre que les médicaments doivent être évités. La Nature ne produit pas de médicaments, contrairement à ce que l'on enseigne en médecine et en Naturopathie. En effet, on dit que tous les remèdes existent dans la Nature, et qu'il suffit de les chercher. Pure sottise. Le seul remède, c'est la suppression de la cause ! Tout ce que les médicaments sont censés accomplir, la Nature le fait mieux, si on lui obéit. C'est la Nature qui guérit. Les médicaments corrodent l'organisme, épuisent les organes vitaux, empoisonnent tous les tissus et masquent les symptômes. A quoi sert-il de combattre les symptômes ? Il faut combattre les causes ! Les produits chimiques ne sont pas censés être introduits dans l'organisme. Le corps les expulse à grand frais, car ce sont des corps étrangers qui ne peuvent pas être transformés en cellules vivantes. Mais comme les causes n'ont pas été supprimées, les mêmes ennuis recommenceront au même endroit, ou ailleurs dans le corps sous une autre forme. Même dans les cas les plus graves, les médicaments ne sont pas nécessaires, ni utiles, ni indispensables. Dans les maladies graves les médicaments ne combattent que les symptômes.
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| − | Les légumineuses à l'état naturel et cru ne peuvent pas être mangées. Il est vrai que ce sont des produits naturels, mais la Nature les a consacrées à la propagation et non à la consommation. Ce sont des semences. Ces aliments comprennent les haricots blancs, les petits pois secs, les pois chiches, les fèves sèches, le soja, les lentilles. Ce sont des aliments impossibles à digérer qui provoquent des gaz et des ballonnements. Enfin, l'être humain n'a pas besoin d'aliments protidiques qui dépasse 3 % de matières azotées, ce qui exclut tous les aliments azotés concentrés (viande, poisson, noix diverses, fromages, œufs, etc.).
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| − | Le blanc d'œuf contient trop d'albumine qui est indigeste et qui empoisonne ainsi le corps. Il faut l'éviter sous toutes ses formes. Par contre, le jaune est acceptable cru, mollet ou cuit dur.
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| − | Le lait est destiné par la Nature aux bébés et aux enfants jusqu'à l'âge de 3 ans. On peut continuer à leur en donner jusqu'à 6/7 ans. Par la suite, la sécrétion qui permet le caillage du lait et qui est produite dans l'estomac des petits, finit par s'atrophier. 1l faut à ce moment arrêter de boire du lait sinon on a les selles claires, jaune clair, diarrhéiques, nauséabondes. Dans le lait, la caséine est la partie protéique qui sert aux jeunes pour leur croissance. Les adultes ont terminé leur croissance et n'en ont pas besoin. Les enfants sont sevrés naturellement car leur corps n'a plus besoin de lait. Les fromages contiennent donc la caséine du lait, qui est une protéine concentrée, au même titre que celles la viande et des noix diverses. C'est de là que vient le mal. Les fromages fermentés sont les plus empoisonnants. La plus petite quantité a un effet catastrophique sur l'organisme. Elle a pour conséquence de favoriser la fermentation de tout le bol alimentaire qui passe dans les selles le lendemain, sans digestion.
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| − | Les champignons sont totalement indigestes et se retrouvent dans les selles. Ce n'est pas la peine de les manger, ils sont de la même nature que les levures, c'est à dire que la nature les a produits et créées pour déblayer les substances en voie de décomposition. Ils font fermentés le bol alimentaire qui passe dans les selles le lendemain avec des gaz et sans avoir été digéré.
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| − | Le vinaigre provient de la fermentation des sucres des fruits. Il contient de l'alcool et de l'acide acétique. Le vinaigre retarde la digestion.. (idem pour le vinaigre de cidre)
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| − | Les fruits verts sont à éviter. (diarrhées). Le sucre blanc et roux sont interdits. Le sucre rentre en masse dans le sang et provoquera à la longue des stimulations puis des dépressions lorsque tout le sucre aura été absorbé par le corps. Ce dernier reçoit un choc, surtout au niveau du pancréas, qui à la longue le pancréas s'épuise en secrètant trop d'insuline et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif. Les fabricants savent que beaucoup de personnes évitent le sucre, et mettent sur l'étiquette de leurs produits la mention ambiguë : "sans sucre " puis ils le remplacent par un produit chimique plus nocif encore que le sucre. Assaisonnements défendus vinaigre moutarde épices aromates douces sel oignons frais ail frais fromages fermentes Citron persil mayonnaise jaune d'œuf fromage blanc a peine sale gruyère râpé ..... L'oignon et l'ail sont trop forts crus. Ils contiennent l'huile de moutarde qui est un poison. Les corps gras sont à supprimer.
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| − | Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
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| − | La médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé (« Health by healthful living »). En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques : aigus, chroniques et de dégénérescence. Il est illusoire de penser qu'on peut avoir la santé par les opérations ou par les médicaments. La santé ne peut être garantie que par des habitudes saines. En combattant les symptômes, la médecine aggrave le cas, crée des complications et des rechutes, transforme les cas aigus en cas chroniques, détruit les tissus de façon irréversible, refoule les poisons en en ajoutant sous forme de produits chimiques. Les méthodes utilisées par la médecine tuent souvent le malade.
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| − | ==== Les stimulants ====
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| − | Sucre, sel, poivre, café, thé, tabac, bétel, alcool, cacao, céréales, oléagineux, moutarde, épices, miel, soja, gingembre, etc. sont des stimulants qui semblent nous doper alors qu'ils nous volent notre énergie, font de nous des toxicomanes et favorisent le développement du diabète. Un aliment à base de semence (céréales, noix diverses) est concentré en certains éléments et provoque donc une carence en sels minéraux, car les graines sont des substances mortelles qui soutirent tout ce qu'elles peuvent de la plante d'où elles proviennent, du sol et du corps humain, uniquement pour la reproduction. La principale cause des carences serait donc la consommation des graines de tout genre qui tirent du corps tous ses sels minéraux car elles sont trop concentrées.
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| − | L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...). Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. Le sucre est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. Le Dr Carton avait intitulé l'un de ses livres "Les Trois Aliments Meurtriers" : le sucre, la viande et l'alcool. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Notre goût nous avertit de ce qui est bon ou non, sauf si notre goût est perverti. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels. Tous ces ingrédients sont trop forts et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Ils provoquent les hémorroïdes assez vite. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Les aliments passent trop vite pour être digérés. Attention, même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
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| − | Un homme de 65 ans buvait un ou deux bols de café par jour. Son ventre enfla et enfla, car ses reins ne pouvaient plus filtrer toute l'urine qui s'accumulait dans l'abdomen.
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| − | On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
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| − | ==== La précipitation ====
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| − | La digestion se prépare dans la tête, débute dans la bouche, se poursuit dans l'estomac et se termine dans le côlon. Notre mode de vie nous a conduit à oublier cette évidence et notre organisme doit alors fournir un effort coûteux pour combler le déficit. Nous ne prenons plus le temps de manger comme il faut, dans le calme, de bien mastiquer, de ne pas se fatiguer après un repas et de sauter un repas / ne pas manger si l'on a pas faim ou si l'occasion s'en présente. Les médecins hygiénistes demandent toujours d'attendre une heure après les premiers signes de la faim avant de manger car cette attente permet de distinguer la fausse faim (l'envie) de la vraie faim (le besoin), permettant à l'estomac distendu de devenir plus petit pour ainsi procurer une satiété normale et procurer par la suite plus de satisfaction évitant ainsi l'écueil de vouloir rechercher le plaisir manqué par la satiété pathologique.
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| − | L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
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| − | == Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==
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| − | <center><p style="left; font-size: 115%; line-height: 1.2">« <i>Les vaccins contiennent du mercure, de l'aluminium, des cellules cancérisées, des souches OGM, du sérum de veau fœtal, des enzymes TdT mutagènes et sont étroitement liés à l'apparition et au développement du Sida. Combien d'estropiés neurologiques, de millions d'allergiques, de malades auto-immuns, va-t-on continuer à générer parmi les jeunes ? Une institution médicale qui use de la terreur pour faire valoir sa compétence, au mépris des libertés individuelles les plus élémentaires, expose au grand jour l'aveu de son incompétence, de sa stupidité, et de sa corruption !</i> »</p></center>
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| − | <b>Les vaccins modernes sont des OGMs</b> : les méthodes d'obtention des vaccins modernes par génie génétique ne sont pas autre chose que les techniques d'élaboration des OGM. Les vaccins obtenu par génie génétique pour l'un d'entre eux de cellules d'ovaires de hamsters cancérisées, font toujours appel au sérum de veau fœtal (liquide nutritif) alors que tout produit ou extrait d'origine bovine est strictement interdit dans la pharmacopée, même homéopathique, depuis 1994. Aucun médecin, de par sa formation, n'a eu la moindre information sur les technologies modernes d'obtention des vaccins, ni sur les vraies statistiques mondiales de récession des maladies épidémiques, ni sur les risques secondaires desdites vaccinations.
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| − | <b>Les vaccins viraux sont cancérogènes</b> : les vaccins viraux (polio-hépatite) ont des risques carcinogènes (virus OGM). Ils sont cultivés sur des souches organiques (animales) (cellules Véro de singe, bile de bœuf, gonades de hamster...) au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles, et élaborés à partir de matériel génétique séquentiel ADN du rétrovirus simien SV40 précurseur du fameux VIH, que l'on retrouve dans le tissu tumoral et facteur de nombreux cancers du cerveau et de mésothéliomes. Les vaccins sont stabilisés et dopés grâce à de l'oxyde d'aluminium (chaque vaccin en contient 1250 microgrammes par litre dont la toxicité pour les cellules nerveuses au-delà de 60 microgrammes par litre est connue) et des sels de mercure extrêmement dangereux pour le système nerveux, dont chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irréversible. Plus de 25 vaccins courants contiennent de l'hydroxyde, des phosphates ou des sulfates d'aluminium, à des pourcentages 50 à 80 fois supérieurs aux doses autorisées par les instances de santé européenne. Les sels d'aluminium traversent la barrière du placenta, entravant le développement du cerveau du fœtus. L'aluminium est responsable de pathologies hépatiques rénales, osseuses et cardiaques graves, d'allergies, d'anémies, de psoriasis... mais il est surtout impliqué dans la nécrose progressive du système nerveux central. Les séquelles vaccinales à long terme sont multiples : allergies multiples (pouvant aller jusqu'à l'œdème de Quincke), atteintes chroniques de la sphère ORL, diarrhées chroniques, diverses maladies gastro-intestinales, maladies rhumatismales, dépressions inexplicables, pertes de défenses immunitaires, crises arthritiques aiguës et de nombreux autres troubles sont en relation directe avec des vaccins reçus il y a quelquefois des décennies. Ceci explique également l'augmentation de fréquence des maladies d'Alzheimer, de Parkinson, de Creutzfeldt-Jakob, des affections neurologiques démyélinisantes (sclérose en plaques), des cancers du cerveau, voire certaines formes d'épilepsie, de paralysies, d'aplasies médullaires et de morts subites.
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| − | <b>Les vaccins sont inefficaces et dangereux</b> : les vaccins font baisser l'ensemble des défenses immunitaires et n'ont pas fait régresser les épidémies. La dangereuse complexité des vaccins est de nature à induire des effets indésirables et incontrôlés : douleurs transitoires, érythème, induration, nodules, fatigue, fièvre, malaise, syndrome pseudo-grippal, vertiges, céphalées, paresthésies, nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, augmentation transitoire des enzymes hépatiques, arthralgies, myalgies, éruption, prurit, urticaire, anaphylaxie, réactions à type de maladie sérique, syncope, hypotension, neuropathies périphériques (polyradiculonévrite, paralysie faciale), névrite optique, atteintes démyélinisantes du système nerveux central (poussée de sclérose en plaques), encéphalite, encéphalopathie, méningite, arthrite, symptômes évocateurs de bronchospasme, œdème de Quincke, érythème polymorphe, vascularite, lymphadénopathie, médulloblastome (cancer du cerveau), sarcome leptoméningé, maladie de Crohn, etc. Les traitements classiques sont devenus inefficaces dans 35 % des cas : le bacille de la tuberculose a muté depuis plusieurs années, le vaccin BCG ne correspond plus à la maladie nouvelle, etc. Le mode de fabrication du vaccin de la tuberculose est illégal en raison de sa souche nutritive à base de sérum de veau fœtal. En effet, les vaccins viraux sont élevés sur du sérum d'embryon de veau. Le BCG (Bacille bilié Calmette et Guérin) est quant à lui élevé sur de la bile de bœuf et injecté tel quel sous la peau au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle (ESB). L'obligation vaccinale est illégale car depuis 1994, tout extrait de provenance bovine est strictement interdit dans toute médication. Il est nécessaire de déstabiliser les protagonistes de leurs certitudes à propos desquelles, en outre, ils ne possèdent jamais de documentation de référence. ⇪ Les vaccins n'étant pas obligatoires mais seulement recommandés avec insistance, l'État ne prendra pas en compte les éventuelles séquelles et vous dira que personne ne vous a obligé à faire ces vaccinations. De toutes manières, vous aurez beaucoup de mal à faire admettre une relation de cause à effet, même lorsque les séquelles sont immédiates.
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| − | <p style="left; font-size: 120%; line-height: 1.2"><b>À propos de la Fondation Ékopédia</b></p>
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| − | Afin de soutenir le projet Ékopédia dans sa croissance, un organisme à but non lucratif, la « [[fondation:Fondation_Ékopédia:À_propos|Fondation Ékopédia]] » a été créée à Québec (Canada) en septembre 2007, ayant pour objectif de développer des projets d'écologie sociale afin que ceux-ci deviennent les références comme sources des connaissances et savoir-faire nécessaires pour l'application de mesures et principes du domaine de l'écologie. Son projet le plus reconnu est le projet de site [http://www.ekopedia.org Ékopédia.org]. Les autres projets étant l'aide au développement du site Internet ekopedia.org dans d'autres langues, l'amélioration des articles existants et la création de nouveaux, la création d'un salon à Québec sur le thème des solutions écologiques, la publication d'une version papier du site Internet Ékopédia, la création d'un annuaire des alternatives... Une autre manière de soutenir le projet Ékopédia est de <b>[http://www.fondationekopedia.org/Faire_un_don/EUR/onetime/fr faire un don]</b> à la Fondation Ékopédia.
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| − | <center><p style="left; font-size: 125%; line-height: 1.2">En écologie, nous connaissons le « pourquoi »...
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| − | <strong style="color: #3f3f6f; display: block">...voici donc « comment » répondre aux défis écologiques d'aujourd'hui et de demain.</strong></p></center>
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| − | L'encyclopédie écologique [[Ekopedia:Principes fondateurs|Ékopédia]] est gratuite, écrite coopérativement (type wiki) et son contenu est librement réutilisable. Ékopédia est un projet collaboratif unique qui a permis la création de plus de '''[[Special:Statistics|{{NUMBEROFARTICLES:R}}]]''' articles (projet francophone) visant à donner au grand public les moyens d'agir plus écologiquement. L'encyclopédie écologique Ékopédia a des versions dans 6 langues (français, anglais, espéranto, italien, allemand et polonais) et des versions sont sur le point de naître en portugais, catalan et hollandais. Pour en savoir plus, consultez le site [http://www.ekopedia.org www.ekopedia.org].
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| − | <center><p style="left; font-size: 115%; line-height: 1.2">« ''Par son approche novatrice en terme de communications, à la pointe de la technologie Internet, combinant une approche numérique et une approche locale, en maintenant une forte interaction entre les individus et la création de réseaux sociaux, l'organisme aide à développer et faire connaître les alternatives au plus grand nombre d'individus. En somme, notre mission est de donner accès, sans restriction ni discrimination, à des connaissances pratiques du domaine de l'écologie. Nous devons définir ensemble les techniques nous permettant de construire un monde meilleur'' »</p></center>
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