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== Introduction ==
 
== Introduction ==
A force de vivre dans des cubes durs, nous courrons le risque de voir nos vies, nos pensées et nos sentiments devenir cubiques et durs. Il paraît donc sain d'envisager des solutions alternatives à la cage à lapins que nous a légué le 20è siècle.
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Nos pensées et nos sentiments sont totalement influencés par notre environnement. L'architecture est un élément primordial de notre vie sociale et l'influence tout autant. On pourra reprocher les années de "nettoyage" des bidons villes aux abords de nos grandes villes, d'une décennie devenus des banlieues, puis des "cités", enfin des forteresses soumises aux lois internes de quelques désespérés ignorants. La cage à lapins, léguée aux nouvelles génération devra être profondément modulées afin de devenir un espace transitoire et hautement social, un espace de partage et non de méfiance.
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* Des milliers de solutions d'habitats existent, beaucoup prennent comme base les matériaux et techniques ancestrales. En Europe, les régions ont pris le parti d'être identifiables et ont donc par la même bloqués les formes non répertoriés (trop de norme détruit la création).
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* Des solutions dites alternatives sont trop peu utilisées car le monde de la construction est celui de quelques "bétonneux", enrichis aux assurances ou aux détriments de tous les autres corps de conception jusque sur la main d'oeuvre. Le monde industriel cherche toujours à écouler ses produits dans des secteurs hors spécialité: ainsi il serait envisageable de "récupérer" les outils et les savoirs-faire de l'industrie automobile afin que la "richesse" de conception de ses véhicules viennent s'ajouter à une architecture bien maladive et souffreteuse, non plus au mains des architectes, mais des investisseurs, des banquiers et de constructeurs.
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Ce que pourrait être cette architecture vouée à être l'image de chacun; à être la personnalisation d'un mode de vie; des espaces libres et gratuits, généreux et intergénérationels, oui c'est possible, cependant le politique n'écoute que la masse et la norme, pas l'individu...Et tant qu'il n'y aura que des représentants d'eux-mêmes, de leurs corp politique, de quelques rangs, cette société n'évoluera pas
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. Il faut savoir travailler ensemble, mais groupé et de front avec des idées communes mais individuelles quant les espaces s'y prêtent: ''parole d'architecte'' - [http://akozoom.free.fr/b2e/ AkoZ] -
  
 
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Version du 21 décembre 2004 à 01:26




Introduction

Nos pensées et nos sentiments sont totalement influencés par notre environnement. L'architecture est un élément primordial de notre vie sociale et l'influence tout autant. On pourra reprocher les années de "nettoyage" des bidons villes aux abords de nos grandes villes, d'une décennie devenus des banlieues, puis des "cités", enfin des forteresses soumises aux lois internes de quelques désespérés ignorants. La cage à lapins, léguée aux nouvelles génération devra être profondément modulées afin de devenir un espace transitoire et hautement social, un espace de partage et non de méfiance.

  • Des milliers de solutions d'habitats existent, beaucoup prennent comme base les matériaux et techniques ancestrales. En Europe, les régions ont pris le parti d'être identifiables et ont donc par la même bloqués les formes non répertoriés (trop de norme détruit la création).
  • Des solutions dites alternatives sont trop peu utilisées car le monde de la construction est celui de quelques "bétonneux", enrichis aux assurances ou aux détriments de tous les autres corps de conception jusque sur la main d'oeuvre. Le monde industriel cherche toujours à écouler ses produits dans des secteurs hors spécialité: ainsi il serait envisageable de "récupérer" les outils et les savoirs-faire de l'industrie automobile afin que la "richesse" de conception de ses véhicules viennent s'ajouter à une architecture bien maladive et souffreteuse, non plus au mains des architectes, mais des investisseurs, des banquiers et de constructeurs.

Ce que pourrait être cette architecture vouée à être l'image de chacun; à être la personnalisation d'un mode de vie; des espaces libres et gratuits, généreux et intergénérationels, oui c'est possible, cependant le politique n'écoute que la masse et la norme, pas l'individu...Et tant qu'il n'y aura que des représentants d'eux-mêmes, de leurs corp politique, de quelques rangs, cette société n'évoluera pas . Il faut savoir travailler ensemble, mais groupé et de front avec des idées communes mais individuelles quant les espaces s'y prêtent: parole d'architecte - AkoZ -

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