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LES PROTEINES de source végétale contiennent beaucoup plus de protéines que celle de la viande. (noisettes, amandes, cajou etc. ...)
 
LES PROTEINES de source végétale contiennent beaucoup plus de protéines que celle de la viande. (noisettes, amandes, cajou etc. ...)
 
En effet la viande étant cuite atténue beaucoup la nocivité de ses protéines. De plus les protéines végétales contiennent des corps gras qui sont indigestes.
 
En effet la viande étant cuite atténue beaucoup la nocivité de ses protéines. De plus les protéines végétales contiennent des corps gras qui sont indigestes.
 
 
LES PROTEINES chez les adultes qui terminés leur développement, devrait être inférieur à 1 %.
 
LES PROTEINES chez les adultes qui terminés leur développement, devrait être inférieur à 1 %.
 
Les fruits contiennent 0.5 % de protéines et les légumes 1 %.
 
Les fruits contiennent 0.5 % de protéines et les légumes 1 %.
 
Donc cela exclut les viandes, les noix diverses, les fromages, les œufs, l'huile, le beurre , les céréales, et les légumineuses ( lentilles, haricots blancs, fèves sèches, pois chiches, petits pois secs, soja )
 
Donc cela exclut les viandes, les noix diverses, les fromages, les œufs, l'huile, le beurre , les céréales, et les légumineuses ( lentilles, haricots blancs, fèves sèches, pois chiches, petits pois secs, soja )
  
Pour enrichir sa flore intestinale il faut consommer davantage de feuilles vertes, sur les quelles on trouve des bactéries en abondance à condition de ne pas les tremper dans l'eau, ni de les laver avec des germicides. Et que faire si on ne trouve pas des laitues biologiques ? D'abord jeter les premières rangées de feuilles qui reçoivent le plus de traitements.
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Pour enrichir sa flore intestinale il faut consommer davantage de feuilles vertes, sur lesquelles on trouve des bactéries en abondance à condition de ne pas les tremper dans l'eau, ni de les laver avec des germicides. Et que faire si on ne trouve pas des laitues biologiques ? D'abord jeter les premières rangées de feuilles qui reçoivent le plus de traitements. Ensuite laver les feuilles suivantes, selon les conseils de l'Hygiéniste TC Fry dans une solution de savon de Marseille puis les rincer dans une autre solution de vinaigre à 5 % et enfin à l'eau pure. L'intérieur de la laitue ne devant pas être lavé.
Ensuite laver les feuilles suivantes, selon les conseils de l'Hygiéniste TC Fry dans une solution de savon de Marseille puis les rincer dans une autre solution de vinaigre à 5 % et enfin à l'eau pure.
 
L'intérieur de la laitue ne devant pas être lavé.
 
  
 
On a découvert que le sucre naturel des fruits, qui est un sucre dilué et mélangé à d'autres substances, comme les sels minéraux biologiques, les vitamines et les enzymes. Ce sucre là, n'entre dans le sang que goutte à goutte, il fournit donc au corps une énergie régulière.
 
On a découvert que le sucre naturel des fruits, qui est un sucre dilué et mélangé à d'autres substances, comme les sels minéraux biologiques, les vitamines et les enzymes. Ce sucre là, n'entre dans le sang que goutte à goutte, il fournit donc au corps une énergie régulière.
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La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de sauté qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
 
La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de sauté qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
  
Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. Cette conception de l'être humain qui aborde celui-ci dans sa "totalité", m'est apparue fondamentale, et, sur mon "chemin", qui a duré plusieurs années, j'ai compris que la maladie, la "vraie", - pas celle qu'on nomme grippe ou équivalent, mais celle qui correspond à un état pathologique constitué, avec des lésions dégénératives organisées, n'est pas "normale", inéluctable , parce que "banale", et qu'elle a ses causes. Grâce aux progrès considérables faits dans les pays industrialisés dans le secteur de l'Hygiène publique (assainissement, tout à l'égout..), la santé ou la maladie ne repose plus sur l'existence ou l'absence des grandes épidémies qui décimaient, encore au siècle dernier, les enfants en bas âge et les adultes encore jeunes. La vérité est qu'aujourd'hui, comme cela commence à être reconnu dans certains milieux médicaux conscients et objectifs, la quasi totalité des maladies actuelles en pays développés, repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac,
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Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque
l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). Sans crainte de se
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jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies
tromper, ceci est la pure vérité et nier serait une erreur "impardonnable".
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médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. Certainement, on peut nier tout cela, ou, on peut accepter de se
(Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.)
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résigner, mais on peut aussi décider de sortir de la passivité de l'assisté, et agir. En particulier, si donc la "malbouffe" fait autant de dégâts aujourd'hui que les épidémies hier, on peut peut-être essayer de définir ce que peut être l'Alimentation "idéale" de l'être humain, c'est à dire celle qui permet la longévité dans la santé. On se met à table trois fois par jour, et personne ne semble savoir, ce pour quoi l'être humain est fait pour
Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de
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manger ! Quand en Asie, l'alimentation est passée du riz entier au riz raffiné, la population s'est vue atteinte d'une maladie qui ressembla à une nouvelle épidémie, inconnue et mortelle. Cette maladie, nommée Béri-béri, fut finalement reconnue comme ayant pour unique cause , la carence totale en une des vitamines du groupe B, exactement comme le scorbut ne repose que sur la seule carence en vitamine C ! Ainsi donc, voici deux maladies mortelles qui ne reposent que sur une carence alimentaire ! Or, qu'en est-il de nos maladies actuelles ? Qu'en est-il en particulier d'une d'entre elles, seconde cause de mortalité en France : le Cancer ? Toutes les statistiques s'accordent que le cancer augmente dans les pays industrialisés de 5 % par an, ce qui signifie qu'à partir des années 2010/2020, tout être humain, dans ces pays-là, fera au moins un cancer dans sa vie ! (Actuellement, on en est à une personne sur quatre). N'est-ce pas là un autre type "d'épidémie" ? Alors bien sûr, des centaines de scientifiques à travers le monde, étudient toutes les possibilités envisageables de dépistage et de traitement, mais la question fondamentale de base à se poser, n'est-elle pas tout simplement : pourquoi ?, c'est à dire : qu'est-ce que tout cela signifie ? Qu'y a-t-il de caché ? Car, si on obtient une réponse, au lieu de se contenter de faire des dépistages, il devient possible de faire de la prévention, ce qui n'est pas du tout la même chose. Qu'en est-il aussi de la progression phénoménale de cette maladie qui provoque une sénilité avant même d'avoir atteint 65 ans, c'est à dire la maladie d'Alzheimer, qui est en passe de devenir la plus grande cause de morbidité, d'invalidité et de mortalité ! N'est-ce pas là un exemple supplémentaire d'un autre type d"'épidémie"? Que dire encore de la progression silencieuse de cette maladie, qui interpelle actuellement tant de gynécologues et de rhumatologues, devant leurs patientes en phase de ménopause ? Il s'agit là de l'ostéoporose, qui, correspondant à la réduction de la calcification osseuse, peut aller jusqu'à atteindre le seuil de la fracture spontané ! Ces trois exemples, et tant d'autres identiques, ne correspondent-ils pas tout simplement aussi à des "carences" ? Notre société de consommation, et son abondance alimentaire, n'est-elle pas en réalité productrice de carences multiples ? La femme japonaise est la femme qui fait le moins de cancer du sein au monde, et la femme américaine, le plus. On pourrait voir là, une simple question de race ou de climat. Mais il n'en est rien, car les générations suivantes de femmes japonaises immigrées aux Etats-Unis, voient leur fréquence du cancer du sein rejoindre celle de la femme américaine, mais uniquement lorsqu'il y a eu pleine assimilation, non lorsque les traditions, en particulier alimentaires, ont été conservées ! On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Trouver un exemple plus parlant, c'est difficile, et nier l'évidence, c'est faire fausse route et c'est dangereux: il est clair aujourd'hui que le Cancer, l'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée.
responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque
 
jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le
 
Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en
 
intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et
 
Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies
 
médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences
 
pour l'individu et pour la société que ça peut représenter.
 
Certainement, on peut nier tout cela, ou, on peut accepter de se
 
résigner, mais on peut aussi décider de sortir de la passivité de l'assisté, et
 
agir. En particulier, si donc la "malbouffe" fait autant de dégâts
 
aujourd'hui que les épidémies hier, on peut peut-être essayer de définir ce
 
que peut être l'Alimentation "idéale" de l'être humain, c'est à dire celle qui
 
permet la longévité dans la santé. On se met à table trois fois par jour, et
 
personne ne semble savoir, ce pour quoi l'être humain est fait pour
 
manger !
 
Quand en Asie, l'alimentation est passée du riz entier au riz raffiné, la
 
population s'est vue atteinte d'une maladie qui ressembla à une nouvelle
 
épidémie, inconnue et mortelle. Cette maladie, nommée Béri-béri, fut
 
finalement reconnue comme ayant pour unique cause , la carence totale en
 
une des vitamines du groupe B, exactement comme le scorbut ne repose
 
que sur la seule carence en vitamine C !
 
Ainsi donc, voici deux maladies mortelles qui ne reposent que sur une
 
carence alimentaire ! Or, qu'en est-il de nos maladies actuelles ? Qu'en
 
est-il en particulier d'une d'entre elles, seconde cause de mortalité en
 
France : le Cancer ? Toutes les statistiques s'accordent que le cancer
 
augmente dans les pays industrialisés de 5 % par an, ce qui signifie qu'à
 
partir des années 2010/2020, tout être humain, dans ces pays-là, fera au
 
moins un cancer dans sa vie ! (Actuellement, on en est à une personne sur quatre). .
 
N'est-ce pas là un autre type "d'épidémie" ? Alors bien sûr, des
 
centaines de scientifiques à travers le monde, étudient toutes les
 
possibilités envisageables de dépistage et de traitement, mais la question
 
fondamentale de base à se poser, n'est-elle pas tout simplement : pourquoi ? ,
 
c'est à dire : qu'est-ce que tout cela signifie? Qu'y a-t-il de caché ?
 
 
 
Car, si on obtient une réponse, au lieu de se contenter de faire des
 
dépistages, il devient possible de faire de la prévention, ce qui n'est pas du
 
tout la même chose.
 
Qu'en est-il aussi de la progression phénoménale de cette maladie qui
 
provoque une sénilité avant même d'avoir atteint 65 ans, c'est à dire la
 
maladie d'Alzheimer, qui est en passe de devenir la plus grande cause de
 
morbidité, d'invalidité et de mortalité ! N'est-ce pas là un exemple
 
supplémentaire d'un autre type d"'épidémie"?
 
Que dire encore de la progression silencieuse de cette maladie, qui
 
interpelle actuellement tant de gynécologues et de rhumatologues, devant
 
leurs patientes en phase de ménopause ? Il s'agit là de l'ostéoporose, qui,
 
correspondant à la réduction de la calcification osseuse, peut aller jusqu'à
 
atteindre le seuil de la fracture spontané !
 
Ces trois exemples, et tant d'autres identiques, ne correspondent-ils pas
 
tout simplement aussi à des "carences" ? Notre société de consommation,
 
et son abondance alimentaire, n'est-elle pas en réalité productrice de
 
carences multiples ? La femme japonaise est la femme qui fait le moins de cancer du sein au monde, et la femme américaine, le plus. On pourrait voir là, une simple question de race ou de climat. Mais il n'en est rien, car les générations suivantes de femmes japonaises immigrées aux Etats-Unis, voient leur fréquence du cancer du sein rejoindre celle de la femme américaine, mais uniquement lorsqu'il y a eu pleine assimilation, non lorsque les traditions, en particulier alimentaires, ont été conservées ! On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Trouver un exemple plus parlant, c'est difficile, et nier l'évidence, c'est faire fausse route et c'est dangereux: il est clair aujourd'hui que le Cancer, l'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès.
 
L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée.
 
 
Quelques chiffres très parlants peuvent être retenus :
 
Quelques chiffres très parlants peuvent être retenus :
 
- la consommation de viande en France est passée de 55 gr par jour et
 
- la consommation de viande en France est passée de 55 gr par jour et

Version du 6 octobre 2008 à 18:35

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