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La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer.
 
La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer.
 
La médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé (« Health by healthful living »). En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques : aigus, chroniques et de dégénérescence.
 
  
 
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Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, le ressentiment, la tourmente, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, l'abus de soleil et l'excès de vent peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Le sommeil est un facteur important de la santé. Rien n'est aussi destructeur de la santé que le manque de sommeil et le surmenage. Il n'existe pas de remède, même naturel. La suppression de la cause suffit par elle-même. Donc, ni café, ni thé, ni tabac, ni aucun stimulant. Le baume de la Nature, c'est le repos, repos du corps et de l'esprit, repos des organes surmenés, repos des sens.
 
Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, le ressentiment, la tourmente, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, l'abus de soleil et l'excès de vent peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Le sommeil est un facteur important de la santé. Rien n'est aussi destructeur de la santé que le manque de sommeil et le surmenage. Il n'existe pas de remède, même naturel. La suppression de la cause suffit par elle-même. Donc, ni café, ni thé, ni tabac, ni aucun stimulant. Le baume de la Nature, c'est le repos, repos du corps et de l'esprit, repos des organes surmenés, repos des sens.
 
Chacun a le libre choix d'orienter sa vie comme il l'entend. Les uns ne penseront qu'au plaisir immédiat, tandis que les autres sont plus prévoyants et chercheront à éviter tout ce qui nuit à leur santé. Il est illusoire de penser qu'on peut avoir la santé par les opérations ou par les médicaments. La santé ne peut être garantie que par des habitudes saines.
 
  
 
En général les causes de la maladie se divisent en quatre catégories : les excès, les carences, les mauvaises réactions émotionnelles, les habitudes d'intoxication. L'excès ne s'applique pas aux habitudes, aux satisfactions et aux influences qui ne font pas partie des besoins normaux de la vie. Par exemple, fumer n'est pas nécessaire pour la santé. Le tabac et tous les poisons qui l'accompagnent ne sont pas des choses nécessaires pour la vie. Le corps ne l'utilise pour aucune de ses fonctions, ni pour construire des tissus et pour aucun de ses fluides. Pour les organismes vivants, le tabac est toujours et dans toutes les conditions un poison, car il n'est jamais utilisé physiologiquement. Si une substance n'est pas nécessaire et n'est jamais utilisée physiologiquement, alors ce sera réellement un poison pour le corps. Dans n'importe quelle quantité, importante ou infinitésimale, elle sera toujours un poison. Il est faux d'affirmer: "Je ne fume pas beaucoup", car cela impliquerait qu'une petite quantité de tabac est nécessaire pour vivre. Les excès habituels sont les suivants : trop manger, trop boire (de l'eau), bains trop longs, ensoleillement excessif, trop d'exercices, surcharge d'émotions et complaisance dans le sexe. Nourriture, eau (en tant que boisson), bain de soleil, exercices, émotions et sexe sont les éléments normaux et les satisfactions de la vie. Ils doivent être requis en qualité et en quantité adéquates pour la préservation et la restauration de la santé. Tout excès aura une influence débilitante, et en tant que telle il devient une cause (petite ou éloignée) de la maladie. Les naturopathes et hygiénistes seuls, parlent de l'auto-guérison. Les maladies d'autodéfense, du type réactionnel, sont des effets de l'organisme pour se désintoxiquer, c'est à dire rejeter loin de lui les poisons qui gênent la vie des cellules. Toute intervention maladroite ne peut que freiner ce travail salutaire. Les petites maladies, ainsi guéries, préparent de grandes récidives et les grandes maladies irréversibles. Respectons les symptômes de l'élimination. Il n'y a pas de maladies en soi mais plutôt des crises curatives sur le mode émonctoriel ou éliminatoire, voulues par la Nature et orchestrées par la force vitale. Les seules maladies authentiques, dignes de ce nom, sont les maladies dégénératives, à forme centripète (sans élimination). Ces maladies rares à une époque pas très reculée se développent rapidement à notre époque (cancer, sida..).
 
En général les causes de la maladie se divisent en quatre catégories : les excès, les carences, les mauvaises réactions émotionnelles, les habitudes d'intoxication. L'excès ne s'applique pas aux habitudes, aux satisfactions et aux influences qui ne font pas partie des besoins normaux de la vie. Par exemple, fumer n'est pas nécessaire pour la santé. Le tabac et tous les poisons qui l'accompagnent ne sont pas des choses nécessaires pour la vie. Le corps ne l'utilise pour aucune de ses fonctions, ni pour construire des tissus et pour aucun de ses fluides. Pour les organismes vivants, le tabac est toujours et dans toutes les conditions un poison, car il n'est jamais utilisé physiologiquement. Si une substance n'est pas nécessaire et n'est jamais utilisée physiologiquement, alors ce sera réellement un poison pour le corps. Dans n'importe quelle quantité, importante ou infinitésimale, elle sera toujours un poison. Il est faux d'affirmer: "Je ne fume pas beaucoup", car cela impliquerait qu'une petite quantité de tabac est nécessaire pour vivre. Les excès habituels sont les suivants : trop manger, trop boire (de l'eau), bains trop longs, ensoleillement excessif, trop d'exercices, surcharge d'émotions et complaisance dans le sexe. Nourriture, eau (en tant que boisson), bain de soleil, exercices, émotions et sexe sont les éléments normaux et les satisfactions de la vie. Ils doivent être requis en qualité et en quantité adéquates pour la préservation et la restauration de la santé. Tout excès aura une influence débilitante, et en tant que telle il devient une cause (petite ou éloignée) de la maladie. Les naturopathes et hygiénistes seuls, parlent de l'auto-guérison. Les maladies d'autodéfense, du type réactionnel, sont des effets de l'organisme pour se désintoxiquer, c'est à dire rejeter loin de lui les poisons qui gênent la vie des cellules. Toute intervention maladroite ne peut que freiner ce travail salutaire. Les petites maladies, ainsi guéries, préparent de grandes récidives et les grandes maladies irréversibles. Respectons les symptômes de l'élimination. Il n'y a pas de maladies en soi mais plutôt des crises curatives sur le mode émonctoriel ou éliminatoire, voulues par la Nature et orchestrées par la force vitale. Les seules maladies authentiques, dignes de ce nom, sont les maladies dégénératives, à forme centripète (sans élimination). Ces maladies rares à une époque pas très reculée se développent rapidement à notre époque (cancer, sida..).
 
Vivant vous êtes, vivant sachez rester ! Ne faites pas de vos tissus vivants, par vos maladresses et votre ignorance, un désert sec et aride où la vie s'est enfuie et où plus rien ne pousse.
 
  
 
Le rétablissement est possible aux quatre conditions suivantes :
 
Le rétablissement est possible aux quatre conditions suivantes :
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3) La récupération des forces vitales qui s'accomplit par le repos physique, mental, sensoriel et physiologique (jeûne).
 
3) La récupération des forces vitales qui s'accomplit par le repos physique, mental, sensoriel et physiologique (jeûne).
 
4) Donner le temps nécessaire aux processus réparateurs (ce temps peut varier entre quatre heures, quelques jours ou quelques mois selon le cas).
 
4) Donner le temps nécessaire aux processus réparateurs (ce temps peut varier entre quatre heures, quelques jours ou quelques mois selon le cas).
 
En combattant les symptômes, la médecine aggrave le cas, crée des complications et des rechutes, transforme les cas aigus en cas chroniques, détruit les tissus de façon irréversible, refoule les poisons en en ajoutant sous forme de produits chimiques. Les méthodes utilisées par la médecine tuent souvent le malade.
 
  
 
La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques. Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables.
 
La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques. Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables.
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Traduit et présenté de DR SHELTON'S HYGIENIC REVIEW, vol 24, n°4, par A. M..
 
Traduit et présenté de DR SHELTON'S HYGIENIC REVIEW, vol 24, n°4, par A. M..
 
On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
 
  
 
Les facteurs nécessaires au maintien de la santé sont ceux-là même auxquels il faut recourir pour la rétablir, et pas d'autres, quelle que soit la maladie en cause. Ces facteurs sont l'alimentation spécifique à l'espèce humaine, l'absence de poisons chimiques, la suppression des médicaments, des vaccins, des émotions négatives, avoir l'esprit positif, le repos, le sommeil, l'air pur, l'exercice, etc.... En dosant chaque facteur selon le pouvoir d'utilisation de chaque cas particulier.
 
Les facteurs nécessaires au maintien de la santé sont ceux-là même auxquels il faut recourir pour la rétablir, et pas d'autres, quelle que soit la maladie en cause. Ces facteurs sont l'alimentation spécifique à l'espèce humaine, l'absence de poisons chimiques, la suppression des médicaments, des vaccins, des émotions négatives, avoir l'esprit positif, le repos, le sommeil, l'air pur, l'exercice, etc.... En dosant chaque facteur selon le pouvoir d'utilisation de chaque cas particulier.
  
 
D'autre part, quand on prend des aliments artificiels, l'élimination nocturne se poursuit une partie de la matinée, et l'esprit reste vaseux. On l'arrête alors avec du café.
 
D'autre part, quand on prend des aliments artificiels, l'élimination nocturne se poursuit une partie de la matinée, et l'esprit reste vaseux. On l'arrête alors avec du café.
 
Maladies engendrées par le poisson, la viande, les fromages, les noix diverses, les légumineuses : infection, pus, abcès, fièvre, cancer, maladies de la peau, maladies des reins, fistules, leucémie, troubles visuels, eczéma, psoriasis, furoncles, urticaire, etc.
 
 
Les aliments naturels : On prendra les aliments naturels à l'état où la Nature nous les offre de ses Mains généreuses. Jamais en compote, ni en conserve. Crus, si possible.
 
 
Maladies provoquées par le pain et toutes les céréales : rhume, grippe, sinusite, diabète, maladies rhumatismales, arthritisme, bronchite, pneumonie, colite, asthme, allergies, sang épais, caillots, artériosclérose, tendance au surmenage, ce qui encrasse le sang et produit les caillots, allergies diverses, paralysie (à cause des caillots), infarctus, diabète.
 
 
Les fruits : pommes, oranges, poires, fraises, ananas, raisins, framboises, pêches, melon, abricots, pastèque, mangues, kaki, kiwis, nectarines, prunes, mirabelles, figues fraîches, pamplemousses, etc.
 
 
Les corps gras : le beurre, l’avocat, les graisses, l’huile.
 
 
à proscrire : poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz.
 
  
 
CÉRÉALES ET LÉGUMINEUSES : On peut les manger mais il faut les faire germer,(3 jours) cela résoud le problème de l'amidon qui se transforme ainsi en sucre assimilable. Ensuite les cuire comme les légumes mais à petit feu pour conserver les vitamines.
 
CÉRÉALES ET LÉGUMINEUSES : On peut les manger mais il faut les faire germer,(3 jours) cela résoud le problème de l'amidon qui se transforme ainsi en sucre assimilable. Ensuite les cuire comme les légumes mais à petit feu pour conserver les vitamines.
  
Les deux notions fondamentales, que les autres auteurs ignorent, et que vous trouverez dans certains ouvrages, (renseignements auprès de Mr MUNOZ Vincent, Domaine de boisviel Sud, 13104 Mas-Thibert ou par email), sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas. Les études, la vie de famille et la vie professionnelle aidant, j'ai cédé à la facilité. Je me suis alimentée "comme tout le monde", sans trop me poser de questions. J'avoue aussi m'être goinfrée souvent de sucreries, biscuits, gâteaux, pâtes, sandwichs, viande, fromage, laitages, coca, chocolat, etc..... Et puis après tout n'étais-je pas en bonne santé ? Puis les années passent et apportent tout un cortège de troubles que l'on attribue avec complaisance à l'âge, à l'hérédité, au terrain, ou à la fatalité. Embonpoint, cellulite, constipation, eczéma, varicosités, conjonctivite, frilosité, fatigue, dans mon cas. Mes connaissances médicales, et la consultation de plusieurs confrères réputés ne m'ont jamais aidé en rien pour résoudre mes problèmes. Me voilà donc revenue à mon idée première : il y a certainement quelque chose d'autre à faire. J'étais en bonne santé (en apparence) je devais le rester. J'ai repris mes lectures ; Kousmine, Lecerf, Masson, Mondgnac, Zaraï, etc...... Aucun de ces auteurs n'a obtenu ma totale adhésion, jusqu'à ce que j'en arrive à Shelton puis à aujourd'hui. J'ai trouvé là comme le maillon d'une chaîne, comme la pièce d'un puzzle qui permet la mise en place de tout le reste. Après avoir appris à l'école primaire que l'homme est omnivore ; après avoir souhaité être végétarienne ; c'est la quarantaine venue que je comprends enfin, que l'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. C'est ce que je fais depuis un an environ, pour mon plus grand bien, malgré encore quelques erreurs liées à de vieilles mauvaises habitudes tenaces. Ceux qui découvrent l'existence de l'hygiénisme s'apercevront qu'il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines. Ceux-là trouveront un bien-être sans doute jamais connu, ou depuis longtemps oublié. En espérant que vous serez suffisamment ébranlés, par la lecture des ouvrages (pour renseignements voir plus haut l'adresse) dans vos anciennes convictions, et prêts (comme je l'ai fait) à tout remettre à plat pour repartir sur de nouvelles bases pour une vie nouvelle. Dr Catie Banuls
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Les études, la vie de famille et la vie professionnelle aidant, j'ai cédé à la facilité. Je me suis alimentée "comme tout le monde", sans trop me poser de questions. J'avoue aussi m'être goinfrée souvent de sucreries, biscuits, gâteaux, pâtes, sandwichs, viande, fromage, laitages, coca, chocolat, etc..... Et puis après tout n'étais-je pas en bonne santé ? Puis les années passent et apportent tout un cortège de troubles que l'on attribue avec complaisance à l'âge, à l'hérédité, au terrain, ou à la fatalité. Embonpoint, cellulite, constipation, eczéma, varicosités, conjonctivite, frilosité, fatigue, dans mon cas. Mes connaissances médicales, et la consultation de plusieurs confrères réputés ne m'ont jamais aidé en rien pour résoudre mes problèmes. Me voilà donc revenue à mon idée première : il y a certainement quelque chose d'autre à faire. J'étais en bonne santé (en apparence) je devais le rester. J'ai repris mes lectures ; Kousmine, Lecerf, Masson, Mondgnac, Zaraï, etc...... Aucun de ces auteurs n'a obtenu ma totale adhésion, jusqu'à ce que j'en arrive à Shelton puis à aujourd'hui. J'ai trouvé là comme le maillon d'une chaîne, comme la pièce d'un puzzle qui permet la mise en place de tout le reste. Après avoir appris à l'école primaire que l'homme est omnivore ; après avoir souhaité être végétarienne ; c'est la quarantaine venue que je comprends enfin, que l'homme doit se nourrir simplement de fruits et de légumes correctement combinés, et de préférence crus. C'est ce que je fais depuis un an environ, pour mon plus grand bien, malgré encore quelques erreurs liées à de vieilles mauvaises habitudes tenaces. Ceux qui découvrent l'existence de l'hygiénisme s'apercevront qu'il est possible et agréable de changer, même après de longues années d'habitudes néfastes, que l'on croyait pourtant anodines. Ceux-là trouveront un bien-être sans doute jamais connu, ou depuis longtemps oublié. En espérant que vous serez suffisamment ébranlés, par la lecture des ouvrages (pour renseignements voir plus haut l'adresse) dans vos anciennes convictions, et prêts (comme je l'ai fait) à tout remettre à plat pour repartir sur de nouvelles bases pour une vie nouvelle. Dr Catie Banuls
  
Les feuilles vertes sont extrêmement riches en vitamine A, plus que tous les corps gras, beurre, huile, etc. Les protéines de source végétale contiennent beaucoup plus de protéines que celle de la viande. (noisettes, amandes, cajou etc. ...). En effet la viande étant cuite atténue beaucoup la nocivité de ses protéines. De plus les protéines végétales contiennent des corps gras qui sont indigestes. Les protéines chez les adultes qui terminés leur développement, devrait être inférieur à 1 %. Les fruits contiennent 0.5 % de protéines et les légumes 1 %. Donc cela exclut les viandes, les noix diverses, les fromages, les œufs, l'huile, le beurre , les céréales, et les légumineuses (lentilles, haricots blancs, fèves sèches, pois chiches, petits pois secs, soja).
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Le sucre rentre en masse dans le sang et provoquera à la longue des stimulations puis des dépressions lorsque tout le sucre aura été absorbé par le corps. Ce dernier reçoit un choc, surtout au niveau du pancréas, qui à la longue le pancréas s'épuise en secrètant trop d'insuline et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif.
  
Pour enrichir sa flore intestinale il faut consommer davantage de feuilles vertes, sur lesquelles on trouve des bactéries en abondance à condition de ne pas les tremper dans l'eau, ni de les laver avec des germicides.
 
 
On a découvert que le sucre naturel des fruits, qui est un sucre dilué et mélangé à d'autres substances, comme les sels minéraux biologiques, les vitamines et les enzymes. Ce sucre là, n'entre dans le sang que goutte à goutte, il fournit donc au corps une énergie régulière.
 
Or ce sont ces substances qu'on appelle improprement " les impuretés " , auxquelles le sucre est lié, qui freinent son entrée dans le sang.
 
Par contre le sucre blanc qui rentre en masse dans le sang a été par raffinage débarrassé de ses impuretés. Il provoquera à la longue des stimulations et puis des dépressions quand tout le sucre aura été absorbé par le corps. Le corps tout entier reçoit un choc et surtout le pancréas, cet organe est obligé de sécréter de l'insuline pour faire face à cette situation, alors qu'avec les sucres dilués des fruits, il ne sécrète pas d'insuline.
 
A la longue le pancréas s'épuise et c'est le diabète. Tous les farineux concentrés aboutissent au même résultat car ils doivent être transformés en sucre dans le processus digestif.
 
 
Il n'y a que les fruits qui peuvent combler ces besoins à savoir que les concombres, les courgettes, les tomates, les poivrons sont des fruits, du point de vue biologique. Ce sont des plantes qui possèdent aussi une fleur.
 
 
Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de POLYARTHRITE et de SPONDYLITE ANKYLOSANTE. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
 
Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de POLYARTHRITE et de SPONDYLITE ANKYLOSANTE. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
 
Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
 
Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
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Choisir de préférence des fruits et légumes sains, crus et variés, cueillis à maturité et issus, dans la mesure du possible (sans en faire une obsession), de l'agriculture biologique. Si on peut s'assurer d'avoir des aliments à 100 % biologiques, tant mieux. On se contentera sinon des aliments courants en veillant à peler les fruits et à bien laver les légumes.
 
Choisir de préférence des fruits et légumes sains, crus et variés, cueillis à maturité et issus, dans la mesure du possible (sans en faire une obsession), de l'agriculture biologique. Si on peut s'assurer d'avoir des aliments à 100 % biologiques, tant mieux. On se contentera sinon des aliments courants en veillant à peler les fruits et à bien laver les légumes.
  
Il ne faut pas mélanger les fruits et les farineux, comme les pommes de terre. Quant aux bananes, nous défendons leur consommation car elles contiennent un poison qui affecte les reins et la vessie et de l'amidon indigeste qui provoque des ballonnements et des selles volumineuses. On peut manger les crudités, crues, telle quelles, ou préparer un saladier dans lequel on les coupera en petits morceaux. Éviter les aliments forts : oignon, ail, raifort, etc. Aucun animal n'assaisonne les aliments naturels. On évitera les épinards à cause de l'acide oxalique en excès. Pareil pour la rhubarbe et l'oseille à cause de leur acidité. On se limitera à une seule tomate par jour, à cause de l'acide oxalique encore. Certaines crudités sont aspergés de produits chimiques, il faudra donc les peler, du reste les pelures de tomate sont indigestes et se retrouvent dans les selles. On ne peut pas les réduire par la mastication en purée. Les feuilles vertes seront rapidement lavées, sous le robinet, puis essorées. Les premières rangées seront jetées, à cause des traitements chimiques qu'elles ont subies durant leur culture. Les concombres, les poivrons rouges ou verts, les fèves vertes avec les cosses, ne doivent pas être pelés, mais soigneusement frottés, sous le robinet, avec une brosse. Les carottes auront besoin d'être pelées, car on les conserve dans du sable qui s'y incruste fortement, et qu'il est impossible de déloger par le brossage. Les salsifis seront brossés sous l'eau, avec une brosse dure, on pourra aussi les peler. En conclusion : ne jamais tremper les crudités dans l'eau, car cette pratique leur fait perdre des vitamines et des sels minéraux inutilement. Les crudités ne doivent pas être écrasées, hachées, moulinées, ou râpées, sauf pour les dents fragiles. L'habitude de couper finement les légumes, de les râper ou de les mouliner, leur fait perdre, par oxydation, des vitamines et des enzymes. Le Docteur Canadien Frederick Tisdall, de Toronto, a découvert que l'action de râper les pommes et les pommes de terre leur fait perdre la totalité de leurs vitamines C, et la mastication en en détruit la moitié. Mais suite à celle ci la nature a bien fait les choses et il en reste assez pour combler nos besoins. Pas de crudités acides avec les farineux. Les fruits coupés, les melons ouverts, et les crudités râpés se décomposent rapidement à la chaleur, garder les au frigo. Ne mélangez pas les fruits avec les crudités, ni avec les aliments cuits. Éviter les végétaux nuisibles : la canneberge la rhubarbe les épinards les champignons les levures les betteraves les bananes crus
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Pour enrichir sa flore intestinale il faut consommer davantage de feuilles vertes, sur lesquelles on trouve des bactéries en abondance à condition de ne pas les tremper dans l'eau, ni de les laver avec des germicides. Il ne faut pas mélanger les fruits et les farineux, comme les pommes de terre. Quant aux bananes, nous défendons leur consommation car elles contiennent un poison qui affecte les reins et la vessie et de l'amidon indigeste qui provoque des ballonnements et des selles volumineuses. On peut manger les crudités, crues, telle quelles, ou préparer un saladier dans lequel on les coupera en petits morceaux. Éviter les aliments forts : oignon, ail, raifort, etc. Aucun animal n'assaisonne les aliments naturels. On évitera les épinards à cause de l'acide oxalique en excès. Pareil pour la rhubarbe et l'oseille à cause de leur acidité. On se limitera à une seule tomate par jour, à cause de l'acide oxalique encore. Certaines crudités sont aspergés de produits chimiques, il faudra donc les peler, du reste les pelures de tomate sont indigestes et se retrouvent dans les selles. On ne peut pas les réduire par la mastication en purée. Les feuilles vertes seront rapidement lavées, sous le robinet, puis essorées. Les premières rangées seront jetées, à cause des traitements chimiques qu'elles ont subies durant leur culture. Les concombres, les poivrons rouges ou verts, les fèves vertes avec les cosses, ne doivent pas être pelés, mais soigneusement frottés, sous le robinet, avec une brosse. Les carottes auront besoin d'être pelées, car on les conserve dans du sable qui s'y incruste fortement, et qu'il est impossible de déloger par le brossage. Les salsifis seront brossés sous l'eau, avec une brosse dure, on pourra aussi les peler. En conclusion : ne jamais tremper les crudités dans l'eau, car cette pratique leur fait perdre des vitamines et des sels minéraux inutilement. Les crudités ne doivent pas être écrasées, hachées, moulinées, ou râpées, sauf pour les dents fragiles. L'habitude de couper finement les légumes, de les râper ou de les mouliner, leur fait perdre, par oxydation, des vitamines et des enzymes. Le Docteur Canadien Frederick Tisdall, de Toronto, a découvert que l'action de râper les pommes et les pommes de terre leur fait perdre la totalité de leurs vitamines C, et la mastication en en détruit la moitié. Mais suite à celle ci la nature a bien fait les choses et il en reste assez pour combler nos besoins. Pas de crudités acides avec les farineux. Les fruits coupés, les melons ouverts, et les crudités râpés se décomposent rapidement à la chaleur, garder les au frigo. Ne mélangez pas les fruits avec les crudités, ni avec les aliments cuits. Éviter les végétaux nuisibles : la canneberge la rhubarbe les épinards les champignons les levures les betteraves les bananes crus. On prendra les aliments naturels à l'état où la Nature nous les offre de ses Mains généreuses. Jamais en compote, ni en conserve. Crus, si possible. Il n'y a que les fruits qui peuvent combler ces besoins à savoir que les concombres, les courgettes, les tomates, les poivrons sont des fruits, du point de vue biologique. Ce sont des plantes qui possèdent aussi une fleur.
 
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Les fruits : pommes, oranges, poires, fraises, ananas, raisins, framboises, pêches, melon, abricots, pastèque, mangues, kaki, kiwis, nectarines, prunes, mirabelles, figues fraîches, pamplemousses, etc.
 
Aliments neutres : les bananes, les pastèques, les melons, les avocats.
 
Aliments neutres : les bananes, les pastèques, les melons, les avocats.
 
Aliments acides : Orange, Pamplemousse, Fraise, Kiwi, Pomme, Poire, Raisin, Mangue, Pêche, Abricot, etc. Quant aux aliments acidifiants, ils ont un goût neutre en général et ne contiennent pas d'acides libres. Ce sont les sous-produits de leur digestion qui sont acidifiants.
 
Aliments acides : Orange, Pamplemousse, Fraise, Kiwi, Pomme, Poire, Raisin, Mangue, Pêche, Abricot, etc. Quant aux aliments acidifiants, ils ont un goût neutre en général et ne contiennent pas d'acides libres. Ce sont les sous-produits de leur digestion qui sont acidifiants.
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La viande est naturelle pour les animaux carnivores. Pas pour nous. L'être humain n'a pas les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.). Le poisson (et tous les fruits de mer) est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Or dans nos intestins, la chaleur et l'humidité favorisent sa putréfaction qui engendre des poisons virulents qui ruinent les reins. Les champignons et les huîtres sont naturels, mais contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
 
La viande est naturelle pour les animaux carnivores. Pas pour nous. L'être humain n'a pas les organes digestifs pour digérer tant de protéines (foie volumineux, intestins courts, etc.). Le poisson (et tous les fruits de mer) est plus nocif que la viande, car il contient un plus fort pourcentage de protéines. Or dans nos intestins, la chaleur et l'humidité favorisent sa putréfaction qui engendre des poisons virulents qui ruinent les reins. Les champignons et les huîtres sont naturels, mais contiennent des protéines indigestes qui empoisonnent le sang. La putréfaction des protéines est bien plus grave que la fermentation des farineux et des sucres. La première produit des poisons virulents, alors que la deuxième produit de l'alcool et de l'acide acétique. Les champignons sont produits par la nature pour nettoyer et éliminer les substances végétales qui ne l'ont pas été.
  
On peut aussi inclure parmi ces aliments le pain blanc ou complet, le riz blanc ou complet, les céréales, les brioches, les biscottes, les croissants, les galettes, les pizzas, etc., c'est à dire tout ce qui est fabriqué avec des céréales complètes ou blutées. Ces aliments sont destinés par la Nature aux granivores.
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On peut aussi inclure parmi ces aliments le pain blanc ou complet, le riz blanc ou complet, les céréales, les brioches, les biscottes, les croissants, les galettes, les pizzas, etc., c'est à dire tout ce qui est fabriqué avec des céréales complètes ou blutées. Ces aliments sont destinés par la Nature aux granivores. Cela exclut les viandes, les noix diverses, les fromages, les œufs, l'huile, le beurre , les céréales, et les légumineuses (lentilles, haricots blancs, fèves sèches, pois chiches, petits pois secs, soja). Les corps gras : le beurre, l’avocat, les graisses, l’huile. à proscrire : poivre, vinaigre, épices, aromates, fritures, moutarde, café, thé, chocolat, vin, bière, épinards, huîtres, champignons, fromages fermentés, fromages à pâtes cuites, fromage blanc, médicaments, analyses, pain blanc ou complet, pâtes, riz. Maladies engendrées par le poisson, la viande, les fromages, les noix diverses, les légumineuses : infection, pus, abcès, fièvre, cancer, maladies de la peau, maladies des reins, fistules, leucémie, troubles visuels, eczéma, psoriasis, furoncles, urticaire, etc. Maladies provoquées par le pain et toutes les céréales : rhume, grippe, sinusite, diabète, maladies rhumatismales, arthritisme, bronchite, pneumonie, colite, asthme, allergies, sang épais, caillots, artériosclérose, tendance au surmenage, ce qui encrasse le sang et produit les caillots, allergies diverses, paralysie (à cause des caillots), infarctus, diabète.
  
 
Pour commencer, quand on veut maintenir ou rétablir une santé perdue, il faut absolument refuser tout ce qui n'est pas naturel, c'est à dire tel que la Nature le présente. Donc, il faut refuser catégoriquement tout ce qui sort d'une usine, que ce soit un aliment ou un médicament. Cela étant dit, il n'est pas question d'accepter tout ce qui vient de la Nature. En effet, tout ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'organisme humain. L'homme n'est pas le seul animal sur terre. Il faut que le naturel ait un rapport normal à l'être humain, ce qui n'est pas toujours le cas. Ainsi par exemple, parmi les milliers de plantes naturelles qui se rencontrent sur la terre, il y en a à peine quelques dizaines qui soient comestibles. Toutes les autres sont vénéneuses pour nous. Le tabac est naturel, comme la feuille de thé et la graine de cacao, mais leur amertume les rend toxiques pour nous. Les remèdes n'existent pas. Le seul remède, c'est la suppression de la cause. Le pouvoir curatif est la prérogative exclusive des cellules vivantes. L'être humain absorbe également des médicaments, qui sont aussi des poisons. Souvent ils n'ont que pour unique but que supprimer des symptômes. La personne qui cherche une santé naturelle doit avant tout comprendre que les médicaments doivent être évités. La Nature ne produit pas de médicaments, contrairement à ce que l'on enseigne en médecine et en Naturopathie. En effet, on dit que tous les remèdes existent dans la Nature, et qu'il suffit de les chercher. Pure sottise. Le seul remède, c'est la suppression de la cause ! Tout ce que les médicaments sont censés accomplir, la Nature le fait mieux, si on lui obéit. C'est la Nature qui guérit. Les médicaments corrodent l'organisme, épuisent les organes vitaux, empoisonnent tous les tissus et masquent les symptômes. A quoi sert-il de combattre les symptômes ? Il faut combattre les causes ! Les produits chimiques ne sont pas censés être introduits dans l'organisme. Le corps les expulse à grand frais, car ce sont des corps étrangers qui ne peuvent pas être transformés en cellules vivantes. Mais comme les causes n'ont pas été supprimées, les mêmes ennuis recommenceront au même endroit, ou ailleurs dans le corps sous une autre forme. Même dans les cas les plus graves, les médicaments ne sont pas nécessaires, ni utiles, ni indispensables. Dans les maladies graves les médicaments ne combattent que les symptômes.
 
Pour commencer, quand on veut maintenir ou rétablir une santé perdue, il faut absolument refuser tout ce qui n'est pas naturel, c'est à dire tel que la Nature le présente. Donc, il faut refuser catégoriquement tout ce qui sort d'une usine, que ce soit un aliment ou un médicament. Cela étant dit, il n'est pas question d'accepter tout ce qui vient de la Nature. En effet, tout ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'organisme humain. L'homme n'est pas le seul animal sur terre. Il faut que le naturel ait un rapport normal à l'être humain, ce qui n'est pas toujours le cas. Ainsi par exemple, parmi les milliers de plantes naturelles qui se rencontrent sur la terre, il y en a à peine quelques dizaines qui soient comestibles. Toutes les autres sont vénéneuses pour nous. Le tabac est naturel, comme la feuille de thé et la graine de cacao, mais leur amertume les rend toxiques pour nous. Les remèdes n'existent pas. Le seul remède, c'est la suppression de la cause. Le pouvoir curatif est la prérogative exclusive des cellules vivantes. L'être humain absorbe également des médicaments, qui sont aussi des poisons. Souvent ils n'ont que pour unique but que supprimer des symptômes. La personne qui cherche une santé naturelle doit avant tout comprendre que les médicaments doivent être évités. La Nature ne produit pas de médicaments, contrairement à ce que l'on enseigne en médecine et en Naturopathie. En effet, on dit que tous les remèdes existent dans la Nature, et qu'il suffit de les chercher. Pure sottise. Le seul remède, c'est la suppression de la cause ! Tout ce que les médicaments sont censés accomplir, la Nature le fait mieux, si on lui obéit. C'est la Nature qui guérit. Les médicaments corrodent l'organisme, épuisent les organes vitaux, empoisonnent tous les tissus et masquent les symptômes. A quoi sert-il de combattre les symptômes ? Il faut combattre les causes ! Les produits chimiques ne sont pas censés être introduits dans l'organisme. Le corps les expulse à grand frais, car ce sont des corps étrangers qui ne peuvent pas être transformés en cellules vivantes. Mais comme les causes n'ont pas été supprimées, les mêmes ennuis recommenceront au même endroit, ou ailleurs dans le corps sous une autre forme. Même dans les cas les plus graves, les médicaments ne sont pas nécessaires, ni utiles, ni indispensables. Dans les maladies graves les médicaments ne combattent que les symptômes.
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Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
 
Quand au magnésium, c'est un produit chimique, un médicament, ce n'est pas une substance biologique. Notre corps a besoin de magnésium, mais sous une forme biologique, végétale et non minérale.
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La médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé (« Health by healthful living »). En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques : aigus, chroniques et de dégénérescence. Il est illusoire de penser qu'on peut avoir la santé par les opérations ou par les médicaments. La santé ne peut être garantie que par des habitudes saines. En combattant les symptômes, la médecine aggrave le cas, crée des complications et des rechutes, transforme les cas aigus en cas chroniques, détruit les tissus de façon irréversible, refoule les poisons en en ajoutant sous forme de produits chimiques. Les méthodes utilisées par la médecine tuent souvent le malade.
  
 
==== Les stimulants ====
 
==== Les stimulants ====
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Un homme de 65 ans buvait un ou deux bols de café par jour. Son ventre enfla et enfla, car ses reins ne pouvaient plus filtrer toute l'urine qui s'accumulait dans l'abdomen.
 
Un homme de 65 ans buvait un ou deux bols de café par jour. Son ventre enfla et enfla, car ses reins ne pouvaient plus filtrer toute l'urine qui s'accumulait dans l'abdomen.
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On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
  
 
==== La précipitation ====
 
==== La précipitation ====
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L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
 
L'estomac ne peut rien digérer durant les périodes difficiles de la vie. Les glandes digestives sont paralysées et ne sécrètent plus rien. Tout ce qu'on mangera durant ces périodes ne profitera pas au corps, mais au contraire ne sera pas digéré. En effet, ce qui n'est pas digéré fermente ou se putréfie à cause de la chaleur et de l'humidité ambiantes. "L'appétit, écrit Shelton, est une contrefaçon de la faim. Ce n'est pas l'expression d'un besoin, mais celle d'une habitude ou d'une envie imaginaire. L'appétit est une créature de l'habitude et de la routine, et peut être due à plusieurs choses comme : l'heure du repas, la vue, le goût et l'odeur des aliments, ou même l'idée de manger qui peut déclencher l'appétit. Les condiments et les assaisonnements peuvent aussi éveiller l'appétit." La plupart des hygiénistes attribuent aux glandes de la gorge et à celles de la bouche le rôle principal dans les manifestations de la faim. Shelton attribue ce rôle principal actif aux nerfs. En effet, ce sont bien les nerfs qui commandent cette sensation de creux et de dilatation qui monte vers l'œsophage et vers la gorge. C'est pourquoi durant les moments de fatigue, de soucis, de préoccupations, de colère, de haine, d'émotions négatives, etc., même si le corps a besoin de nourriture, il ne la demande pas et ne manifestera pas la faim. Les nerfs garderont la gorge et l'œsophage contracté. Quand les conditions sont favorables, la faim se manifeste par la dilatation de la gorge et de l'œsophage. Dans son livre Perfect Health ("La Santé Parfaite"), Haskell dit qu'il a "...demandé à plusieurs milliers de personnes, y compris des médecins, de décrire la sensation de la faim naturelle. Dans leur réponse, il nota les symptômes suivants : évanouissement, sensation de vide dans l'estomac, creux, rongements, etc. Mais toutes ces sensations sont celles de l'appétit et non celles de la faim. Elles proviennent d'un mauvais mode d'alimentation". La plupart des gens mangent sans avoir réellement faim mais uniquement parce que c'est l'heure de manger. Attendre une faim aiguë, puis la calmer avec quelques fruits frais de même espèce. Puis attendre de nouveau la faim aiguë et la calmer avec une autre sorte de fruits. Rejeter pelures et pépins. (1 à 2 kilos en tout). L'erreur la plus courante et la plus grave, c'est de remplir son estomac parce que c'est l'heure du repas, ou sur ordre du médecin, ou encore comme passe-­temps social pour faire plaisir aux hôtes et aux convives. Le mal de tête, la douleur dans l'abdomen, les rongements stomacaux, la lassitude, les vertiges, la faiblesse, l'évanouissement, la sensation de vide et l'agitation ne sont pas des signes de la faim. D'autre part, la vraie faim n'est pas stimulée par les condiments, les assaisonnements et le sel. Ces substances sont des poisons. Quand on ressent la vraie faim, on se satisfait de l'aliment simple, n'importe lequel, sans aucun assaisonnement, ni préparation, à l'état naturel. Quand on mange sans éprouver une demande naturelle, on ne profite pas, ou très peu, de ce qu'on mange. "Cette manière de manger, écrit Shelton, transforme le corps en fabrique d'engrais". La vraie faim représente la demande naturelle de manger et indique que la nourriture sera effectivement élaborée par le corps. On sait que l'appétit, l'envie et la fausse faim peuvent être stimulés par la variété. C'est ainsi que lorsqu'on n'a plus envie de manger d'un aliment dont on s'est repu, on peut exciter l'appétit en changeant d'aliment. C'est pourquoi la variété porte à la gloutonnerie. Faut-il pour cela se limiter à une seule espèce de nourriture à chaque repas ? Peut-être. De toute façon, il ne faut pas multiplier le nombre des aliments deux ou trois fruits différents sont mieux que cinq ou six. On mangera quand on a faim. Il faut donc attendre que la faim, la vraie faim, se manifeste. Attendre une heure de plus pour qu'elle soit aiguisée. Les horaires ne sont pas indispensables.
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Les deux notions fondamentales, que les autres auteurs ignorent, et que vous trouverez dans certains ouvrages, (renseignements auprès de Mr MUNOZ Vincent, Domaine de boisviel Sud, 13104 Mas-Thibert ou par email), sont la compatibilité des aliments avec l'espèce humaine, et la compatibilité des aliments entre eux au cours d'un même repas.
  
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==
 
== Connaissez-vous la composition des vaccins ? ==

Version du 10 octobre 2008 à 10:16

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