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Nos pensées et nos sentiments sont sous l'influence de notre [[environnement]]. L'[[architecture]] est un élément primordial notre [[vie quotidienne]] et tout autant déterminant pour la [[vie sociale]].  
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Nos pensées et nos sentiments sont sous l'influence de notre [[environnement]]. L'[[architecture]] est un élément primordial dans notre [[vie quotidienne]] et tout autant déterminant pour la [[vie sociale]].  
  
 
On pourra regretter des années où a prévalu le "nettoyage" des [[bidonville|bidonvilles]] aux abords de nos grandes villes devenus ces banlieues divisées en "cités" où on loge dans des forteresses soumises aux lois internes né du désespoire et de l'isolement. La cage à lapins, léguée aux nouvelles générations devra être profondément modulée afin de devenir un espace transitoire et hautement social, un espace de partage et non de méfiance.
 
On pourra regretter des années où a prévalu le "nettoyage" des [[bidonville|bidonvilles]] aux abords de nos grandes villes devenus ces banlieues divisées en "cités" où on loge dans des forteresses soumises aux lois internes né du désespoire et de l'isolement. La cage à lapins, léguée aux nouvelles générations devra être profondément modulée afin de devenir un espace transitoire et hautement social, un espace de partage et non de méfiance.

Version du 21 mars 2006 à 17:38



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Thème Se loger

Autoconstruction
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Catégorie:Se loger


Introduction

Nos pensées et nos sentiments sont sous l'influence de notre environnement. L'architecture est un élément primordial dans notre vie quotidienne et tout autant déterminant pour la vie sociale.

On pourra regretter des années où a prévalu le "nettoyage" des bidonvilles aux abords de nos grandes villes devenus ces banlieues divisées en "cités" où on loge dans des forteresses soumises aux lois internes né du désespoire et de l'isolement. La cage à lapins, léguée aux nouvelles générations devra être profondément modulée afin de devenir un espace transitoire et hautement social, un espace de partage et non de méfiance.

  • Des milliers de solutions d'habitats existent, beaucoup prennent comme base les matériaux et techniques ancestrales. En Europe, les régions ont pris le parti d'être identifiables et ont donc par là même bloqué les formes non répertoriées (trop de norme détruit la création).
  • Des solutions dites alternatives sont trop peu utilisées car le monde de la construction est celui de quelques "bétonneux", enrichis aux assurances ou aux détriments de tous les autres corps de conception jusque sur la main d'oeuvre. Le monde industriel cherche toujours à écouler ses produits dans des secteurs hors spécialité: ainsi il serait envisageable de "récupérer" les outils et les savoirs-faire de l'industrie automobile afin que la "richesse" de conception de ses véhicules viennent s'ajouter à une architecture bien maladive et souffreteuse, non plus aux mains des architectes, mais des investisseurs, des banquiers et de constructeurs.
  • Ce que pourrait être cette architecture vouée à être l'image de chacun; à être la personnalisation d'un mode de vie; des espaces libres et gratuits, généreux et intergénérationels, oui c'est possible, cependant le politique n'écoute que la masse et la norme, pas l'individu...Et tant qu'il n'y aura que des représentants d'eux-mêmes, de leurs corps politiques, de quelques rangs, cette société n'évoluera pas
  • Il faut savoir travailler ensemble, mais groupé et de front avec des idées communes mais individuelles quand les espaces s'y prêtent: parole d'architecte - AkoZ -

Webographie

Bibliographie