Apiculture : Différence entre versions

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(La cire)
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La cir est sécrétée par les glandes cirières de l'abeille. La cire apparaît en minuscules lamelles que l'abeille détache et mastique pour l'employer à la construction des alvéoles qui abriteront la récolte (miel, pollen et couvain). L'ouvrière cirière consomme environ 7 kg de miel pour produire 1 kg de cire. Pour construire un rayon, un ensemble d'abeilles se suspendent les unes aux autres afin de l'édifier. La construction d'un rayon est un ouvrage collectif, irréalisable par une seule abeille.
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La cire est sécrétée par les glandes cirières de l'abeille. La cire apparaît en minuscules lamelles que l'abeille détache et mastique pour l'employer à la construction des alvéoles qui abriteront la récolte (miel, pollen et couvain). L'ouvrière cirière consomme environ 7 kg de miel pour produire 1 kg de cire. Pour construire un rayon, un ensemble d'abeilles se suspendent les unes aux autres afin de l'édifier. La construction d'un rayon est un ouvrage collectif, irréalisable par une seule abeille.
 
L'opercule est un fin bouchon de cire fermant les alvéoles. Celui qui recouvre le miel est blanc et imperméable. Celui du couvain est brun et perméable afin de permettre aux nymphes de respirer.
 
L'opercule est un fin bouchon de cire fermant les alvéoles. Celui qui recouvre le miel est blanc et imperméable. Celui du couvain est brun et perméable afin de permettre aux nymphes de respirer.
  

Version du 20 octobre 2004 à 11:06

En construction: 30%. Division nécessaire de l'article en plusieurs sous-articles. Nombreux ajouts, précisions à donner.




Objectifs du document

Fournir toutes les informations nécessaires pour pouvoir récupérer un essaim, construire une ruche et l'utiliser.


Définitions

Apiculture

Du latin apis, abeille, l'apiculture est l'activité humaine qui consiste à élever des abeilles. Branche de l'agriculture, l'apiculture vise à produire des produits de la ruche : miel, cire, gelée royale, propolis. Une personne qui élève des abeilles est nommée apiculteur.

abeille

Les abeilles sont des insectes qui forment la famille des Apidés (ordre des Hyménoptères). Les abeilles adultes se nourrissent généralement de nectar et sont d'importants agents de pollènisation.

La ruche

Une ruche est un abri artificiel pour les abeilles.

Essaim

Un essaim est un groupe d'abeilles, contenant une reine et plusieurs milliers d'ouvrières qui, à la belle saison (au moi de Mai plus particulièrement), abandonne une colonie surpeuplée en vue d'en reconstruire une nouvelle. Avant de s'en aller, elles se remplissent de miel pour se nourrir ultérieurement.

Le miel

Le miel est la substance sucrée produite par les abeilles à partir du nectar des fleurs qu'elles récoltent et entreposent dans les alvéoles de la ruche.

La propolis

Du grec ancien, "devant" (pro) la "cité" (polis). Fabriquée par les abeilles à partir de diverses résines qu'elles recueillent sur les bourgeons et l'écorce des arbres (surtout sur les peupliers, les conifères et les marronnier d'Inde), et auxquelles elles ajoutent de la cire et des sécrétions salivaires. La propolis est un enduit dont les abeilles se servent pour vernisser toutes les surfaces intérieures de la ruche afin d'en assurer l'étanchéité et la solidité. Elle joue également un rôle hygiénique en créant une couche protectrice contre les invasions microbiennes ou fongiques.

L'ouverture, nommée le "trou d'envol", qui se trouve à l'entrée de la ruche, est constamment ajustée et remodelée à l'aide de propolis afin d'adapter ses dimensions et son orientation en fonction des conditions climatiques. Ce passage constitue par la même occasion une sorte de chambre de stérilisation à l'entrée de la ruche, d'où le nom propolis qui signifie, en grec ancien, "devant" (pro) la "cité" (polis).

En Égypte, la propolis servait à l'embaumement. Elle était également connue des Grecs anciens puisque Aristote la présentait, dans son Histoire des animaux, comme un "remède aux affections de la peau, plaies et suppurations". Elle connut un regain de popularité au XIXème siècle lorsque les médecins de l'armée anglaise l'employèrent pour désinfecter les blessures et faciliter leur cicatrisation durant la Guerre des Boers en Afrique du Sud.

En raison des résines végétales qu'elle renferme, la propolis est depuis longtemps considérée dans l'herboristerie traditionnelle comme un remède utile pour combattre les infections de toutes sortes, tant par voie interne que par voie externe.

La gelée royale

La Gelée royale est le produit de sécrétion des glandes pharyngiennes des abeilles ouvrières entre le 5ème et le 14ème jour de leur existence. La gelée royale constitue la nourriture exclusive de toutes les larves jusqu'au 3ème jour de leur existence, des larves choisies pour devenir reines et de la reine pendant toute sa vie.

La cire

La cire est sécrétée par les glandes cirières de l'abeille. La cire apparaît en minuscules lamelles que l'abeille détache et mastique pour l'employer à la construction des alvéoles qui abriteront la récolte (miel, pollen et couvain). L'ouvrière cirière consomme environ 7 kg de miel pour produire 1 kg de cire. Pour construire un rayon, un ensemble d'abeilles se suspendent les unes aux autres afin de l'édifier. La construction d'un rayon est un ouvrage collectif, irréalisable par une seule abeille. L'opercule est un fin bouchon de cire fermant les alvéoles. Celui qui recouvre le miel est blanc et imperméable. Celui du couvain est brun et perméable afin de permettre aux nymphes de respirer.

Le pollen

Le pollen est "la poussière" fécondante des fleurs que les abeilles le transportent sur leurs pattes postérieures munies de peignes. C'est une matière importante dans l'alimentation de la colonie.



Histoire de l'apiculture

Les Grecs attribuaient l'invention de l'apiculture à Aristée, fils d'Apollon, et les Égyptiens expliquaient par un mythe la naissance des abeilles et du miel, ce dernier étant des larmes du dieu Rê. Les témoignages incontestables de techniques apicoles les plus anciens que nous possédions datent du IVème millénaire avant J.C., -3500 pour la Mésopotamie, -3100 pour l'Égypte, -2500 pour la vallée de l'Indus, -2200 pour la Chine.

En Occident, le miel fut pendant des millénaires le seul édulcorant connu, alors qu'en Orient on cultivait la canne à sucre. Tout au long de l'histoire, une mythologie s'est développée autour du miel, soulignant ses nombreuses propriétés médicinales (le miel serait purificateur, antiseptique, tonifiant, sédatif, fébrifuge, apéritif et digestif) et l'érigeant en symbole de vie et de richesse. À l'origine, le miel était rare et fut d'abord réservé au culte religieux, aux nantis et à des utilisations médicinales. On s'en servait entre autres pour vénérer les dieux, pour baptiser, pour nourrir les animaux sacrés, pour soigner, pour embellir la peau, pour embaumer les morts et comme tribut.

Depuis la fin des années 1990, les apiculteurs doivent affronter en plus du varroa un dépérissement inquiétant de leurs élevages. L'agriculture chimique et ses produits sanitaires pourraient en être la cause principale. La plupart des ruchers touchés sont proches de grandes cultures et les colonies reprennent une vigueur spectaculaire dès qu'elles sont éloignées des zones d'agriculture intensive.


Problématique contemporaine

Pillage pendant des siècles des meilleures ruches (anti-sélection) puis élevage avec une dérive productiviste (remplacement miel par sucre, sélection et importation des reines, transhumance 10000km/ruche/an, médicament, nourrissement de stimulation, ...)

"la ruche carrée à cadres mobiles a été crée pour la commodité de l'apiculteur mais elle ne correspond pas aux caractéristiques de la grappe d'abeilles qui doit vivre et se développer dans un espace de forme arrondie", Docteur Mathis.

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Données générales

L'abeille

  • morphologie
  • cycle de développement
  • comportement
  • maladies
  • ...

(quelques infos sur : http://apis.melifica.chez.tiscali.fr/histnat.html )

la ruche et le rucher

  • règles de positionnement du rucher
  • règles de construction de la ruche
  • règles de positionnement et de manipulation des ruches


Vie de la ruche et de l'essaim dans la nature

Techniques de conduite de ruche

Exemple d'une conduite simple et écologique

Ce chapitre s'appuie sur les deux livres suivants :

Pourquoi écologique : parce que cette toute nouvelle méthode tient compte du mode de vie naturel de l'abeille sauvage et que dans ce type d'apiculture, c'est l'homme qui se plie aux exigences de l'abeille et non l'inverse.
Définition de la ruche écologique : par des dimensions très précises établies à partir de l'observation de l'essaim sauvage, la ruche écologique respecte l'espace et le volume intérieur requis par une colonie, ainsi que le mode de construction naturel des rayons de cire. Elle apporte en outre aux abeilles ce qu'il leur manque du fait de leur sédentarisation dans une ruche.
Règles d'or :
  • Protection maximum de l'environnement dans le périmètre de butinage
  • Laisser les abeilles travailler en paix
  • Pas de produit chimique dans les ruches
  • Pas de sucre comme nourriture additionnelle, mais toujours du miel
  • Ne prendre aux abeilles que ce qu'elles ont en trop. Le partage doit toujours être en faveur des abeilles. C'est un facteur tout à fait essentiel de bonne santé pour les abeilles et de réussite pour l'apiculteur
Origine de la ruche écologique : elle est à la fois toute récente car sa mise au point et son utilisation expérimentale n'ont pas plus de vingt ans, et également très ancienne, car le modèle de base (ruche Warré) qui n'a pas eut beaucoup de succès a quant à lui plus de cent ans.
Principaux avantages de cette ruche écologique :
  • Réalisation très simple
  • Dimensions idéales qui permet aux abeilles de maîtriser parfaitement la régulation humidité et température qui est le gros problème des ruches modernes
  • Hivernage dans les conditions idéales
  • Pas de cadre donc pas de cire gaufrée
  • Abeilles très calmes, non agressives parce que les ruches ne sont ouvertes que deux fois par an (une fois au transvasement qui est une opération qui n'existe pas dans l'apiculture moderne et qui permet d'assainir les colonies et de leur redonner vigueur, et une seconde fois à la récolte du miel)
  • Renouvellement des cires chaque année. Point capital pour la bonne santé des abeilles qui est assuré à l'état sauvage par l'essaimage et la reconstruction d'une ruche à un autre endroit
  • Suppression de l'essaimage à 100 %
  • Moyen très efficace de lutte contre le varroa. Destruction de celui-ci à 90 % au printemps lors du transvasement
  • Elimination des maladies à 100 %
  • Pas de désinfection chimique dans la ruche, emploi d'un décontaminateur.
  • Récolte très simple d'un miel parfaitement mûr sans extracteur, ce qui lui garde tous ses composants, même les plus volatils
  • Production d'une quantité tout à fait acceptable d'un miel absolument pur et d'une très grande qualité tel qu'il n'en existe pas actuellement sur le marché (en Ardennes, lors de son utilisation à titre expérimental, récolte de 12 kg par ruche en laissant la même quantité aux abeilles en vue de l'hivernage)
  • Permet une production de cire (maximum un an d'âge) et de propolis exemptes de toute contamination

Synthèse des 2 approches

  • Modèle (simplifié) de la ruche écologique comme base de départ : ruche Warré avec vitres d'inspection à l'arrière, sans cadre et sans cire gaufrée, sans remplacement par l'homme de la reine, avec transvasement et critère de sélection à la vitesse de reconstruction des rayons, sans aucun traitement même pour le varroa
  • En ajoutant les petites ouvertures frontales proposées par Mr Gatineau et en prenant son système de fond de ruche (trou de vol, planche, grille ...)
  • En pratiquant le fixisme (pas de déplacement) qui permet plus de 30 ruches sur un cercle riche en fleurs de 500m (maxi 1km) de rayon
  • Sans matériel spécial pour récolter (pas d'extracteur)
  • En pratiquant une vraie sélection : élimination de toute ruche malade ou faible, interdiction de renforcer une ruche avec les abeilles d'une autre, après transvasement on redonne à nettoyer les déchets de cire et de miel seulement aux abeilles de la ruche d'origine et dans un nourrisseur
  • Sans nourrisage, en dehors d'un nourrisage de sauvegarde en cas de printemps particulièrement mauvais (nourrissage au miel)


La ruche ronde divisible en plâtre et en paille

Présentation dans le Bulletin de Permaculture et d'Agriculture Naturelle n 5 du printemps 1996. (courtoisie de Gilbert Veuille). Source: http://www.inti.be/ecotopie/apiveuil.html

Il y a une cinquantaine d'années, j'ai lu, dans un ouvrage du docteur Mathis, apiculteur passionné, cette phrase essentielle : "la ruche carrée à cadres mobiles a été crée pour la commodité de l'apiculteur mais elle ne correspond pas aux caractéristiques de la grappe d'abeilles qui doit vivre et se développer dans un espace de forme arrondie".

Cette observation est restée gravée dans ma mémoire, et, en 1989, à la suite de la dévastation de mon rucher par le varroa, je me suis résolu à créer et à expérimenter une ruche ronde divisible à partir d'un module unique, de forme cylindrique que j'ai appelé rucheton.

Le rucheton est constitué d'un mélange de paille hachée et de plâtre.

dimensions:

  • diamètre intérieur: 36 cm
  • hauteur: 18 cm
  • épaisseur de la paroi: 3 cm

poids : 5 kg environ.


Il est fabriqué au moyen d'un moule extrêmement simple.

Dans un espace de 36 cm de diamètre, les abeilles construisent 8 rayons. Ceux-ci sont supportés par 8 baguettes de bois très légères, installées dans des encoches ménagées dans la partie supérieure du rucheton.

La ruche est constituée par l'empilement des ruchetons : 3 au minimum pour constituer le corps de ruche, puis jusqu'à 8 selon la force de la colonie et l'abondance de la miellée.

Résultats

Après 6 années d'observation, voici les enseignements que je puis tirer de cette expérience:

  1. En ce qui concerne la qualité de la forme cylindrique pour la vie des abeilles :
  • L'absence totale d'angles en retrait supprime les courants d'air et permet le maintien d'une température élevée et uniforme favorable à la bonne incubation du couvain ainsi qu'à l'activité des abeilles cirières;
  • Ne subissant pas la contrainte des cadres (masse encombrante de bois et intervalles crées artificiellement), les abeilles ont la totale maîtrise de leur espace de vie, ce qui amène les remarques suivantes :
    • Les huit rayons sont bâtis sans rupture sur toute la hauteur de la ruche, quel que soit le nombre de ruchetons, et ils ne comportent que très rarement des orifices de passages transversaux;
    • Les rayons ne sont fixés aux parois des ruchetons que par des points d'ancrage espacés; la

circulation intérieure de la ruche passe essentiellement par ce dégagement périphérique;

    • En l'absence d'encoignures internes, il n'y a pas d'espaces inoccupés propices à la condensation, aux moisissures, au développement de germes pathogènes, à l'installation de parasites ou de prédateurs.

Résultats perceptibles : une bonne hygiène de la colonie révélée par la disparition totale des mycoses et un développement remarquablement précoces des colonies dès les premiers beaux jours de mars.

  1. En ce qui concerne le renouvellement des brèches du nid à couvain:

L'opération est simple et facile. Il suffit, à chaque printemps, de glisser sous la ruche un rucheton amorcé de cire gaufrée. Celui-ci sera bâti et occupé dans les semaines suivantes et le couvain installé dans de la cire neuve.

  1. En ce qui concerne le matériau utilisé:

Le mélange plâtre-paille hachée présente une excellente fonction isothermique, qu'il s'agisse du froid ou de la chaleur et sa porosité évite toute condensation ou excès d'humidité. Il est aussi d'une très bonne tenue vis à vis des intempéries; des ruchetons en service depuis six ans n'ont subi aucune détérioration et peuvent durer aisément une quinzaine d'années. La forme ronde de la ruche augmente encore la qualité isothermique car elle évite l'exposition de surfaces planes soit à l'ardeur du soleil soit aux vents froids de l'hiver.

  1. en ce qui concerne la fabrication des ruchetons :

Il est facile de fabriquer soi-même les ruchetons à partir d'un moule peu coûteux à réaliser. Le prix de revient des ruchetons est très modique : avec un peu d'habitude, il est possible de fabriquer 8 à 9 ruchetons avec 40 kg de plâtre de bâtiment. D'autres matériaux que le plâtre peuvent être utilisés, telles la chaux de bâtiment ou l'argile crue, la paille aussi peut être remplacée par divers végétaux aux tiges creuses ou poreuses, sèches, tels que les roseaux phragmites, les orties, tanaisies, armoises, tournesols etc.... ou encore par des copeaux de raboteuse (bois résineux non traités).

Nota : l'adoption de ruchetons en argile crue nécessite des précautions particulière de moulage et l'obligation de placer les ruches sous un toit les abritant totalement de la pluie.

La conduite de la ruche au cours de la saison est extrêmement simple.

La récolte de miel s'obtient sans l'emploi d'un extracteur ce qui permet de conserver au mieux toutes les qualités naturelles du miel.

Contact: Gilbert Veuille, 99, r. S. Picard, F-37000 Tours, Tél: +33 247 640 129

Techniques de récupération d'une colonie sauvage

  • On casse tout, on découpe les rayons et on les emboîte dans des nouveaux cadres en les attachant avec du fil de fer.
  • On place la ruche neuve devant la vieille, pour forcer les abeilles à passer au travers pour sortir. On fait un essaim artificiel en utilisant un répulsif puissant.
  • On met la vieille ruche sur la neuve au printemps. La vieille ruche sert de hausse que l'on extrait. Rapide et efficace, dans la mesure ou la vieille ruche est "extractible" (pas un vieux tonneau).
  • On met la vieille ruche sous la neuve pour l'hivernage, avec une seule entrée à la base de la ruche neuve. En fin d'hivers, les abeilles se trouvent totalement dans la neuve, les vieux rayons sont vides. C'est l'état habituel des ruches divisibles hivernées sur deux corps, tout simplement. C'est long mais tout en douceur.

Webographie


Bibliographie

  • La ruche divisible de Marc GATINEAU (ruche Warré et méthode de conduite de professionnel ou non)
  • L'apiculture écologique de A à Z. Présentation de la méthode de Jean-Marie Frèrès inspirée des travaux de l'abbé Warré, Jean Claude Guillaume, 35, Avigunda del Romaguer, 66740 Villelongue-Dels-Monts, (France). +33 468 897 683
  • Pour une apiculture simple, la ruche ronde divisible en plâtre, par Gilbert Veuille, 99 rue Stéphane Pitard, 37 000 Tours. +33 02 47 640 129, 61p.
  • Genèse d'une ruche (Ruche à extraction solaire), Maurice Chaudière, la Sarrazine F-07460 Berrias.
  • Apiculture alternative. On a jusqu'ici aménagé les ruches en fonction du mode d'extraction du miel. Or pour produire du miel il faut d'abord élever des abeilles... La prolifération de l'acarien Varroa en Europe et bientôt sur l'ensemble de la planète a sérieusement contrarié ce projet. Il fallait donc, si l'on voulait rester propre, c'est-à-dire ne point traiter les abeilles comme on l'a fait d'autres animaux d'élevage, essayer d'aménager une ruche qui permît d'éliminer le parasite sans aucun traitement chimique. C'est ce que je me suis efforcé de faire en réalisant "L'extensible" : une ruche à développement latéral, susceptible de provoquer ou de contrôler l'essaimage... condition essentielle pour interrompre le cycle d'évolution du Varroa par blocages successifs de ponte de la reine et de sa fille. Ainsi ai-je cru apporter ma contribution à une approche écologique de l'apiculture. C'est du moins ce que propose à mes lecteurs "Apiculture Alternative". (Maurice Chaudière). ISBN 2-914234-06-6