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== La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées == | == La nourriture idéale et les combinaisons simplifiées == | ||
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==== L'excès ==== | ==== L'excès ==== | ||
La surconsommation surcharge et encrasse nos tissus de déchets toxiques et altère le bon fonctionnement de nos organes de digestion, d'assimilation et d'élimination. Nous mangeons trop mais surtout trop riche et trop pauvre à la fois, souvent sans faim et avons pris l'habitude de manger trois fois par jour alors qu'un seul repas et un deuxième très léger suffirait amplement à la majorité d'entre nous. Notre organisme s'est naturellement façonné pour métaboliser une nourriture faiblement concentrée en protéines, glucides et lipides (une alimentation trop copieuse accélère le vieillissement des tissus de notre organisme). Notre suralimentation bloquent certains métabolismes par encrassement, rendant l'organisme incapable d'assimiler certains éléments de base. Les médecins savent désormais que la plupart des gens ne digèrent que 25 % de ce qu'ils mangent, le reste passant le lendemain ou surlendemain dans les selles qui deviennent abondantes, peu moulées, malodorantes et salissant le corps. Les repas simples pris modérément facilitent la digestion. La quantité de nourriture varie selon la taille, l'activité physique et mentale, l'âge, le sexe, la saison, la faim, l'état de repos et de tension nerveuse, ... Les petits repas sont préférables au gros repas. Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE. | La surconsommation surcharge et encrasse nos tissus de déchets toxiques et altère le bon fonctionnement de nos organes de digestion, d'assimilation et d'élimination. Nous mangeons trop mais surtout trop riche et trop pauvre à la fois, souvent sans faim et avons pris l'habitude de manger trois fois par jour alors qu'un seul repas et un deuxième très léger suffirait amplement à la majorité d'entre nous. Notre organisme s'est naturellement façonné pour métaboliser une nourriture faiblement concentrée en protéines, glucides et lipides (une alimentation trop copieuse accélère le vieillissement des tissus de notre organisme). Notre suralimentation bloquent certains métabolismes par encrassement, rendant l'organisme incapable d'assimiler certains éléments de base. Les médecins savent désormais que la plupart des gens ne digèrent que 25 % de ce qu'ils mangent, le reste passant le lendemain ou surlendemain dans les selles qui deviennent abondantes, peu moulées, malodorantes et salissant le corps. Les repas simples pris modérément facilitent la digestion. La quantité de nourriture varie selon la taille, l'activité physique et mentale, l'âge, le sexe, la saison, la faim, l'état de repos et de tension nerveuse, ... Les petits repas sont préférables au gros repas. Si l'on veut préciser la proportion convenable des aliments, il n y a ni mesure, ni poids, ni nombre qui puisse nous servir à la déterminer plus exactement que le sentiment du corps qui la reçoit. HIPPOCRATE. | ||
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| + | Dans notre société, la consommation d'aliments est trop importante en quantité et c'est la principale cause des problèmes de santé actuels, comme l'obésité, en augmentation constante. Une réduction de la quantité alimentaire parsemée de quelques diètes ou jeûnes dans l'année permet au départ une détoxination de l'organisme avec des résultats considérables : perte de poids, sang de meilleure qualité, peau rajeunie, consolidation d'anciennes fractures, meilleure forme physique et intellectuelle. Une meilleure résistance aux maladies et bien d'autres choses encore... | ||
==== Le raffinage ==== | ==== Le raffinage ==== | ||
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La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer. | La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer. | ||
| − | + | La différence fondamentale est que la médecine combat les symptômes avec des poisons sans combattre la cause. 99,9% des médicaments sont des poisons et sont complètement inutiles. La France a des lois médicales qui sont vraiment dictatoriales. Les fabriques de produits pharmaceutiques sont vraiment des bêtes. Il faut chercher à vivre une vie saine, et pour avoir la santé, on ne peut pas autrement que par la vie saine. Ni par les vaccins, ni par les médicaments, ni par aucun remède, il n'y a que la vie saine qui donne la santé. En anglais, ils disent, « Health by healthful living ». C’est beaucoup plus compact, et beaucoup plus correct, mais je n’arrive pas à le traduire en français d’une façon aussi compacte. En d'autres termes la théorie fataliste des microbes, virus, est une nouvelle démonologie insensée. Quant à la vaccination, elle est une nouvelle absolution illusoire. Notre organisme, et lui seul, possède la prérogative de nous sortir du désordre (maladie) par son propre pouvoir d'auto guérison sous réserve que l'on supprime l'origine du déséquilibre. Il existe un lien de continuité et d'évolution entre les différents états pathologiques: aigus, chroniques et de dégénérescence. | |
Si on a des maux de tête, il faut alors boire davantage, comme un ou deux | Si on a des maux de tête, il faut alors boire davantage, comme un ou deux | ||
Version du 8 octobre 2008 à 12:48
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