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La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer.
 
La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrénée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer.
  
Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, le ressentiment, la tourmente, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, l'abus de soleil et l'excès de vent peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Rien n'est aussi destructeur de la santé que le manque de sommeil et le surmenage. Il n'existe pas de remède, même naturel. La suppression de la cause suffit par elle-même. Donc, ni café, ni thé, ni tabac, ni aucun stimulant. Le baume de la Nature, c'est le repos, repos du corps et de l'esprit, repos des organes surmenés, repos des sens. En général les causes de la maladie se divisent en quatre catégories : les excès, les carences, les mauvaises réactions émotionnelles, les habitudes d'intoxication. L'excès ne s'applique pas aux habitudes, aux satisfactions et aux influences qui ne font pas partie des besoins normaux de la vie. Par exemple, le tabac et tous les poisons qui l'accompagnent ne sont pas des choses nécessaires pour la vie. Le corps ne l'utilise pour aucune de ses fonctions, ni pour construire des tissus et pour aucun de ses fluides. Les excès habituels sont les suivants : trop manger, trop boire (de l'eau), bains trop longs, ensoleillement excessif, trop d'exercices, surcharge d'émotions et complaisance dans le sexe. Nourriture, eau (en tant que boisson), bain de soleil, exercices, émotions et sexe sont les éléments normaux et les satisfactions de la vie. Ils doivent être requis en qualité et en quantité adéquates pour la préservation et la restauration de la santé. Tout excès aura une influence débilitante, et en tant que telle il devient une cause (petite ou éloignée) de la maladie. Les maladies d'autodéfense (auto-guérison), du type réactionnel, sont des effets de l'organisme pour se désintoxiquer, c'est à dire rejeter loin de lui les poisons qui gênent la vie des cellules. Toute intervention maladroite ne peut que freiner ce travail salutaire. Les petites maladies, ainsi guéries, préparent de grandes récidives et les grandes maladies irréversibles. Respectons les symptômes de l'élimination. Il n'y a pas de maladies en soi mais plutôt des crises curatives sur le mode émonctoriel ou éliminatoire, voulues par la Nature et orchestrées par la force vitale. Les seules maladies authentiques, dignes de ce nom, sont les maladies dégénératives, à forme centripète (sans élimination). Ces maladies rares à une époque pas très reculée se développent rapidement à notre époque (cancer, sida..).
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Le bon régime n'est pas le seul facteur de santé, quoiqu'il soit le plus important. Les soucis, le chagrin, les contrariétés, la peur, l'angoisse, la haine, la rancune, la jalousie, l'inquiétude, la hâte, la précipitation, le ressentiment, la tourmente, peuvent affecter la santé et la détruire. Le surmenage, le manque de sommeil, les veillées, les surexcitations trop fréquentes, les abus sexuels, l'abus de soleil et l'excès de vent peuvent aussi freiner tout progrès vers une santé radieuse. Rien n'est aussi destructeur de la santé que le manque de sommeil et le surmenage. Il n'existe pas de remède, même naturel : la suppression de la cause suffit par elle-même. Donc, ni café, ni thé, ni tabac, ni aucun stimulant. Le baume de la Nature, c'est le repos, repos du corps et de l'esprit, repos des organes surmenés, repos des sens. En général les causes de la maladie se divisent en quatre catégories : les excès, les carences, les mauvaises réactions émotionnelles, les habitudes d'intoxication. L'excès ne s'applique pas aux habitudes, aux satisfactions et aux influences qui ne font pas partie des besoins normaux de la vie. Par exemple, le tabac et tous les poisons qui l'accompagnent ne sont pas des choses nécessaires pour la vie. Le corps ne l'utilise pour aucune de ses fonctions, ni pour construire des tissus et pour aucun de ses fluides. Les excès habituels sont les suivants : trop manger, trop boire (de l'eau), bains trop longs, ensoleillement excessif, trop d'exercices, surcharge d'émotions et complaisance dans le sexe. Nourriture, eau (en tant que boisson), bain de soleil, exercices, émotions et sexe sont les éléments normaux et les satisfactions de la vie. Ils doivent être requis en qualité et en quantité adéquates pour la préservation et la restauration de la santé. Tout excès aura une influence débilitante, et en tant que telle il devient une cause (petite ou éloignée) de la maladie. Les maladies d'autodéfense (auto-guérison), du type réactionnel, sont des effets de l'organisme pour se désintoxiquer, c'est à dire rejeter loin de lui les poisons qui gênent la vie des cellules (symptômes de l'élimination). Il n'y a pas de maladies en soi mais plutôt des crises curatives sur le mode émonctoriel ou éliminatoire, voulues par la Nature et orchestrées par la force vitale. Les seules maladies authentiques, dignes de ce nom, sont les maladies dégénératives, à forme centripète (sans élimination), rares à une époque pas très reculée mais qui se développent rapidement de nos jours (cancer, sida..).
  
 
Le rétablissement est possible aux quatre conditions suivantes :
 
Le rétablissement est possible aux quatre conditions suivantes :
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La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques. Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables.
 
La diminution de l'élimination et des secrétions produit la toxémie qui est la cause fondamentale de toutes les maladies (biogonies) et de tous les états pathologiques. Nos millions de cellules éliminent constamment des déchets toxiques dans le sang. L'arrêt de cette élimination signifie la mort instantanée. Mais une simple diminution de cette élimination élève le niveau des déchets qui deviennent trop toxiques et intolérables.
  
"L'activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les  procédés de restauration les plus qualifiés. Le véritable stockage des réserves d'énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d'un corps épuisé, ne fait que précipiter l'épuisement des quelques réserves restantes, et amène l'effondrement final plus rapidement. Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l'état d'épuisement total". SHELTON L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.) Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées. Le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables. Les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie. Donc, pour hâter l'élimination, il faut pousser les cellules, non les émonctoires à éliminer. Les cellules ont besoin pour fonctionner avant tout d'énergie nerveuse. Quand celle-ci est abondante, elles éliminent beaucoup, sinon elles éliminent peu. On ne peut augmenter l'énergie nerveuse qu'en se reposant, en économisant sur les dépenses physiques, musculaires, digestives, sexuelles. Comment économiser ? Par le repos musculaire, stomacal, sexuel, etc.
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"L'activité consomme les substances du corps. Elle est dépensière de vie. Une activité accrue augmente la consommation de substance corporelle. Pendant le repos, les cellules, les tissus et les organes sont réparés, réformés, et renouvelés. Le repos est créateur de vie. Les organes qui se reposent sont plus capables de réparer leurs structures endommagées, que les organes en état de stimulation. Le repos et le sommeil sont les  procédés de restauration les plus qualifiés. Le véritable stockage des réserves d'énergie, la recharge des batteries corporelles, se produisent pendant le repos. La stimulation (irritation ou excitation) d'un corps épuisé, ne fait que précipiter l'épuisement des quelques réserves restantes, et amène l'effondrement final plus rapidement. Plus le corps est stimulé, plus vite il atteint l'état d'épuisement total". SHELTON L'élimination se passe au niveau des cellules et non à celui des émonctoires (peau, foie, rein, etc.). Ces derniers ne font que rejeter des substances déjà éliminées : le foie transforme les matières éliminées par les cellules en matières plus simples et éliminables, les reins les filtrent du sang et les rejette dans la vessie.
1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie. En effet, la médecine considère la maladie comme une entité. La maladie est une action vitale, dont le but est de désintoxiquer, de purifier, de réparer. Le vomissement, la diarrhée, ne sont-ils pas des efforts de l'organisme pour expulser les poisons ? pour se purifier ? Par conséquent, la maladie purifie l'organisme, le désintoxique, l'assainit et le répare. Lutter contre elle, - et c'est bien la pratique médicale - est une grave erreur. La maladie est une action correcte, utile et bienfaisante. De plus, la force de la maladie n'est autre que celle du corps lui-même. En partant des théories médicales, on ne pouvait pas expliquer pourquoi c'était toujours les plus vigoureux qui faisaient les symptômes les plus violents, et c'était encore eux qui se rétablissaient le plus vite. A cet effet, on remarquera que les vieux, en général, ne font qu'une petite fièvre, tandis que les jeunes une forte fièvre. C'est là un indice de leur vitalité. La preuve est ainsi faite que la maladie est l'action du corps même. Elle peut être aiguë ou chronique. D'autre part, la paralysie, la cataracte, etc, ne sont pas vraiment des maladies, mais des dégénérescences, des destructions, souvent irréversibles.
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1) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature de la maladie car elle la considère comme une entité. La maladie est une action vitale, dont le but est de désintoxiquer, de purifier, de réparer. Par conséquent, la maladie purifie l'organisme, le désintoxique, l'assainit et le répare. Lutter contre elle, - et c'est bien la pratique médicale - est une grave erreur car c'est une action correcte, utile et bienfaisante. Elle peut être aiguë ou chronique. D'autre part, la paralysie, la cataracte, etc, ne sont pas vraiment des maladies, mais des dégénérescences, des destructions, souvent irréversibles.
2) La médecine enseigne une fausse doctrine sur l'action des remèdes. En effet, la médecine enseigne que les remèdes agissent. La médecine avoue ignorer le mode d'action des médicaments mais elle suppose, a priori, et sans aucune preuve, qu'ils agissent. Combien de siècles faudra-t-il pour que l'on comprenne que les médicaments n'agissent pas sur le corps, que c'est le corps qui agit sur eux ? Les médicaments n'agissent pas. Voilà la loi que le docteur R.T. Trall avait découverte. C'est plutôt le corps qui agit sur les médicaments. Pourquoi ? Pour se protéger, se sauvegarder, se préserver, car il répugne aux poisons. Par conséquent, les médicaments devraient être éliminés. Mais de ce fait, ils distrayaient les forces du corps du travail d'élimination, que ce travail fut anormal - maladie - ou normal. La désintoxication se ralentissait et l'état du malade s'aggravait, par toxémie.
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2) La médecine enseigne une fausse doctrine sur l'action des remèdes. En effet, la médecine avoue ignorer le mode d'action des médicaments mais elle suppose, a priori, et sans aucune preuve, qu'ils agissent. Combien de siècles faudra-t-il pour que l'on comprenne que les médicaments n'agissent pas sur le corps, que c'est le corps qui agit sur eux ? Les médicaments n'agissent pas. Voilà la loi que le docteur R.T. Trall avait découverte. C'est plutôt le corps qui agit sur les médicaments pour se protéger, se sauvegarder, se préserver, car il répugne les poisons. Par conséquent, les médicaments devraient être éliminés car ils distraient les forces du corps du travail d'élimination, la désintoxication se ralentit et l'état du malade s'aggrave, par toxémie.
3) La médecine enseigne une fausse théorie sur le pouvoir de guérison. En effet, ce pouvoir est inhérent aux organismes vivants. Il n'existe pas à l'extérieur, dans une fiole de médicaments. Le remède ne guérit pas. C'est le corps qui se guérit, de lui-même.
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3) La médecine enseigne une fausse théorie sur le pouvoir de guérison. En effet, ce pouvoir est inhérent aux organismes vivants. Le remède ne guérit pas. C'est le corps qui se guérit, de lui-même.
 
4) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la relation entre la maladie et le pouvoir guérisseur. En effet, la médecine enseigne que la maladie et le pouvoir curatif sont deux entités antagonistes, alors qu'ils sont une seule et même chose. N'est-ce pas la diarrhée qui nettoie ? N'est-ce pas les furoncles qui purifient ? La médecine prétend aider la Nature - ou le pouvoir curatif, - avec des poisons, pour chasser la maladie. Rien de plus absurde, car le pouvoir curatif, c'est la maladie même.
 
4) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la relation entre la maladie et le pouvoir guérisseur. En effet, la médecine enseigne que la maladie et le pouvoir curatif sont deux entités antagonistes, alors qu'ils sont une seule et même chose. N'est-ce pas la diarrhée qui nettoie ? N'est-ce pas les furoncles qui purifient ? La médecine prétend aider la Nature - ou le pouvoir curatif, - avec des poisons, pour chasser la maladie. Rien de plus absurde, car le pouvoir curatif, c'est la maladie même.
5) La médecine enseigne une fausse théorie sur la relation des remèdes avec la maladie. En effet, la médecine veut guérir une maladie en produisant une maladie contraire ! Et c'est de là que provient son nom : allopathie. C'est ainsi qu'on veut provoquer la constipation dans les cas de diarrhée; et la diarrhée dans les cas de constipation. Pourquoi un poison qui provoquerait des vomissements chez un homme sain, remédiera-t-il l'état d'un malade ? Si un poison rend malades les gens sains, ne nuirait-il pas aux malades ? Donnez du sel de magnésie à un homme sain : il fait une diarrhée; on dit alors, en médecine, que ce sel a eu une action physiologique. Donnez par contre le même sel à un constipé : il fait aussi une diarrhée, mais l'on dit que le sel a eu une action thérapeutique. Rien de plus absurde. Voltaire avait bien raison de dire que l'on administre des médicaments, dont on sait très peu, à des organismes, dont on sait moins, pour guérir des maladies dont on ne sait rien ! La médecine s'attaque aux symptômes, au lieu de s'attaquer aux causes. Ainsi par exemple, si un malade vomissait, on voudra arrêter les vomissements; s'il faisait de la fièvre, on voudra la faire baisser coûte que coûte; s'il était faible, on voudra le remonter. Mais on ne cherchait pas à savoir la cause des vomissements, la cause de la diarrhée, la cause de la fièvre, la cause de la faiblesse. - On jetait, comme de la poudre aux yeux, des mots savants qui ne voulaient rien dire, comme si cela dispensait la médecine de rechercher plus haut, - c'est à dire les causes. Exemple : on vous dira, c'est une allergie ! En d'autres termes, la faute est aux mécanismes du corps déréglé. - Ou bien alors, on rejette la faute sur les microbes, - ce qui dispensait la médecine d'accuser le café, le vin, les aliments malsains, - et cela ménageait aussi le malade qui n'eût pas aimé qu'on le traitât d'avoir vécu de façon malsaine. La médecine était-elle capable de s'attaquer aux causes ? Hélas ! Non, puisqu'elle les ignore. de ses propres aveux. On commence par vous dire que la cause est un microbe, puis un peu plus loin, on affirme que la cause est inconnue ! Il suffit de voir les manuels classiques médicaux, ou même des articles de journaux médicaux, pour lire des déclarations stupéfiantes, selon quoi elle ignore la cause du rhumatisme, du rhume, de la sinusite, du cancer. etc. D'autre part, le tabac était considéré, autrefois, comme ayant 17 propriétés médicinales ! On le prescrivait pour guérir... Mais grâce aux premiers hygiénistes, on avait fini par admettre officiellement que cette plante vénéneuse causait le cancer des poumons.
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5) La médecine enseigne une fausse théorie sur la relation des remèdes avec la maladie. La médecine veut guérir une maladie en produisant une maladie contraire ! Et c'est de là que provient son nom : allopathie. Si un poison rend malades les gens sains, ne nuirait-il pas aux malades ? On administre des médicaments, dont on sait très peu, à des organismes, dont on sait moins, pour guérir des maladies dont on ne sait rien ! La médecine s'attaque aux symptômes, au lieu de s'attaquer aux causes. On jete, comme de la poudre aux yeux, des mots savants qui ne veulent rien dire, comme si cela dispensait la médecine de rechercher plus haut, - c'est à dire les causes. Exemple : on vous dira, c'est une allergie ! En d'autres termes, la faute est aux mécanismes du corps déréglé. - Ou bien alors, on rejette la faute sur les microbes, - ce qui dispensait la médecine d'accuser le café, le vin, les aliments malsains, - et cela ménageait aussi le malade qui n'eût pas aimé qu'on le traitât d'avoir vécu de façon malsaine. La médecine était-elle capable de s'attaquer aux causes ? Hélas ! Non, puisqu'elle les ignore, de ses propres aveux. On commence par vous dire que la cause est un microbe, puis un peu plus loin, on affirme que la cause est inconnue ! Il suffit de voir les manuels classiques médicaux, ou même des articles de journaux médicaux, pour lire des déclarations stupéfiantes, selon quoi elle ignore la cause du rhumatisme, du rhume, de la sinusite, du cancer. etc. D'autre part, le tabac était considéré, autrefois, comme ayant 17 propriétés médicinales ! On le prescrivait pour guérir... Mais grâce aux premiers hygiénistes, on avait fini par admettre officiellement que cette plante vénéneuse causait le cancer des poumons.
 
6) La médecine enseigne une fausse théorie sur les relations entre les matières vivantes et les matières inanimées. En effet, la médecine enseigne que les matières inanimées, inertes, chimiques, synthétiques, peuvent nourrir. Or cela est impossible. Par exemple, on fabrique des vitamines synthétiques et l'on prétend qu'elles peuvent nourrir le corps. Mais rien ne vaut les vitamines naturelles, vivantes. Les vitamines artificielles n'ont aucune valeur. On prescrit de l'iode, du fer, du calcium, synthétiques, en affirmant qu'ils comblent les carences du corps. Or ces produits artificiels ne sont pas fixés par le corps. Il les rejette, dès qu'il les reconnaît. Rien ne vaut les produits naturels et vivants. Les fabricants de vitamines et d'autres produits chimiques dictent certainement leur loi aux médecins asservis et dociles.
 
6) La médecine enseigne une fausse théorie sur les relations entre les matières vivantes et les matières inanimées. En effet, la médecine enseigne que les matières inanimées, inertes, chimiques, synthétiques, peuvent nourrir. Or cela est impossible. Par exemple, on fabrique des vitamines synthétiques et l'on prétend qu'elles peuvent nourrir le corps. Mais rien ne vaut les vitamines naturelles, vivantes. Les vitamines artificielles n'ont aucune valeur. On prescrit de l'iode, du fer, du calcium, synthétiques, en affirmant qu'ils comblent les carences du corps. Or ces produits artificiels ne sont pas fixés par le corps. Il les rejette, dès qu'il les reconnaît. Rien ne vaut les produits naturels et vivants. Les fabricants de vitamines et d'autres produits chimiques dictent certainement leur loi aux médecins asservis et dociles.
7) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature et la source des remèdes. En effet, la médecine croit à l'existence des remèdes, ce qui est absurde et illogique. Les remèdes n'existent pas. Le seul remède, pour ainsi dire, c'est la suppression de la cause. Ce n'est pas à proprement parler un remède. Supprimer le tabac, le café, le vin, ce n'est pas un remède. Les Lois de la Nature ne peuvent pas être violées au gré des hommes. On pourra aussi supprimer les effets d'une vie malsaine, sans se corriger. On pourra fumer sans faire de bronchite, manger du chocolat sans nuire à son foie, boire de l'alcool sans irriter le système nerveux, boire du café sans affecter les reins, user d'apéritifs sans se soûler, et ainsi de suite. Non, on ne peut pas annuler la Loi de Cause à Effet. Il ne faut pas leur enseigner le mensonge populaire selon lequel certaines drogues sont des poisons alors que d'autres sont des médicaments;
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7) La médecine enseigne une fausse doctrine sur la nature et la source des remèdes. En effet, la médecine croit à l'existence des remèdes, ce qui est absurde et illogique. Les remèdes n'existent pas. Le seul remède, pour ainsi dire, c'est la suppression de la cause. Ce n'est pas à proprement parler un remède. Supprimer le tabac, le café, le vin, ce n'est pas un remède. Les Lois de la Nature ne peuvent pas être violées au gré des hommes. On ne peut pas annuler la Loi de Cause à Effet. Il ne faut pas leur enseigner le mensonge populaire selon lequel certaines drogues sont des poisons alors que d'autres sont des médicaments - ou qu'une drogue peut être un poison ou un médicament, selon la dose - ou encore que ces drogues prises sans l'avis d'un médecin deviennent un poison, alors que sur prescription médicale elles deviennent un médicament - ou enfin qu'elle est un poison quand on les prend dans la bonne santé, et un médicament quand on les prend dans la maladie.
- ou qu'une drogue peut être un poison ou un médicament, selon la dose;
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On n'enseigne pas toute la vérité, car cela détruirait l'une des plus vastes et des plus vieilles industries du monde, et aussi parce que cela mettrait au chômage la profession médicale. On a enseigné au médecin d'empoisonner les malades, et il ne connaît presque rien d'autre car son entraînement est bien limité et spécialisé. Quand le médecin se vante de son grand savoir scientifique, il a en vérité moins de connaissances valables pour soigner les malades que ces derniers eux-mêmes. Les médicaments ne sont jamais nécessaires. La médecine est le plus grand ennemi de l'intégrité humaine dans la vie moderne. Seul une personne stupide ou mal informée ira prétendre que la médecine a conféré de grands bienfaits à l'humanité.
- ou encore que ces drogues prises sans l'avis d'un médecin deviennent un poison, alors que sur prescription médicale elles deviennent un médicament;
 
- ou enfin qu'elle est un poison quand on les prend dans la bonne santé, et un médicament quand on les prend dans la maladie.
 
On n'enseigne pas toute la vérité, car cela détruirait l'une des plus vastes et des plus vieilles industries du monde, et aussi parce que cela mettrait au chômage la profession médicale. En effet, un médecin privé de ses médicaments est comme un poisson hors de l'eau… On lui a enseigné d'empoisonner les malades, et il ne connaît presque rien d'autre. Son entraînement est bien limité et spécialisé. Quand le médecin se vante de son grand savoir scientifique, il a en vérité moins de connaissances valables pour soigner les malades que ces derniers eux-mêmes. Les médicaments ne sont jamais nécessaires. La médecine est le plus grand ennemi de l'intégrité humaine dans la vie moderne. Seul une personne stupide ou mal informée ira prétendre que la médecine a conféré de grands bienfaits à l'humanité.
 
  
 
Traduit et présenté de <i>Dr Shelton's Hygienic Review</i>, vol 24, n°4, par A. M..
 
Traduit et présenté de <i>Dr Shelton's Hygienic Review</i>, vol 24, n°4, par A. M..
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Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de polyarthrite et de spondylite ankylosante. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
 
Les aliments qui procurent beaucoup de calories sont concentrés et ne sont pas utilisés par l'organisme dans leur totalité. Il faut en conclure que les vitamines et les sels minéraux naturels importent plus que les calories. Les vitamines et les sels minéraux sont indispensables pour régulariser la densité spécifique du sang, pour le fonctionnement de ses globules, pour la contraction des muscles, pour la préservation des tissus contre la décomposition, pour les réactions chimiques des sécrétions, pour le maintien de l'alcalinité cellulaire en vue de leur élimination. En conclusion, les aliments riches en calories retardent ou arrêtent la croissance. Le sucre provoque les caries dentaires car le corps tire le calcium des dents pour neutraliser l'acidité de ses sous produits digestifs. Les sels de calcium ainsi formés jettent la base de toutes les maladies rhumatismales où ces sels se déposent sur les articulations, c'est aussi l'ankylose et même la soudure des jointures dans le cas de polyarthrite et de spondylite ankylosante. Les aliments riches en calories, comme les céréales, le pain, les macaronis, les gâteaux, sont aussi des aliments concentrés. Leur consommation épuise le corps et aboutit à la fatigue. En effet l'abus de sucre provoque la paresse.
 
Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
 
Par ailleurs, l'assimilation et l'oxydation des glucides dépend essentiellement de la présence des vitamines. Un organisme qui en manque brûle mal les aliments, ce qui arrive chez beaucoup de diabétiques.
Les réserves du corps sont constitués par :
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Les réserves du corps sont constitués par la graisse, les os qui sont des réservoirs de sels minéraux, le sucre dans le foie, les muscles, les glandes, etc, les vitamines dans le sang, etc.
- la graisse
 
- les os qui sont des réservoirs de sels minéraux
 
- le sucre dans le foie, les muscles, les glandes, etc.
 
- les vitamines dans le sang, etc.
 
 
Les aliments ne nourrissent pas à moins d'être digérés. Et ils doivent être digérés avant d'être absorbés. Ils doivent être absorbés avant d'être assimilés, enfin ils doivent être assimilés avant de pouvoir être d'une utilité quelconque pour les cellules du corps. Toutes les tisanes sont à éviter, en effet ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne).
 
Les aliments ne nourrissent pas à moins d'être digérés. Et ils doivent être digérés avant d'être absorbés. Ils doivent être absorbés avant d'être assimilés, enfin ils doivent être assimilés avant de pouvoir être d'une utilité quelconque pour les cellules du corps. Toutes les tisanes sont à éviter, en effet ce sont des substances végétales contenant du poison. (tabac, LSD, Cocaïne).
 
Il existe dans la nature un cycle : le végétal se nourrit du minéral et l'homme se nourrit du végétal. On ne peut pas court-circuiter ce cycle et se nourrir de produits minéraux. Il n'y a que la plante qui ait la possibilité d'assimiler les matières minérales inertes.
 
Il existe dans la nature un cycle : le végétal se nourrit du minéral et l'homme se nourrit du végétal. On ne peut pas court-circuiter ce cycle et se nourrir de produits minéraux. Il n'y a que la plante qui ait la possibilité d'assimiler les matières minérales inertes.
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Les oligo éléments sont très important pour l'organisme dont il n'aurait besoin que de simples traces. Ils sont aussi importants pour le fonctionnement du corps tel que les enzymes, les vitamines et les sels minéraux. Toutefois, il faut les prendre sous forme biologique, assimilable, dans les aliments, tel que la nature les présente. Ceux qui sont prescrits sous forme minérale sont des médicaments que le corps ne peut pas assimiler, ni utiliser. Il s'ensuit que les oligo-éléments contenu dans les eaux minérales ne sont pas assimilables.
 
Les oligo éléments sont très important pour l'organisme dont il n'aurait besoin que de simples traces. Ils sont aussi importants pour le fonctionnement du corps tel que les enzymes, les vitamines et les sels minéraux. Toutefois, il faut les prendre sous forme biologique, assimilable, dans les aliments, tel que la nature les présente. Ceux qui sont prescrits sous forme minérale sont des médicaments que le corps ne peut pas assimiler, ni utiliser. Il s'ensuit que les oligo-éléments contenu dans les eaux minérales ne sont pas assimilables.
  
Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Ne pas manger le melon et la pastèque avec aucun autre aliment, ni à la fin d'un repas. Sinon on risque l'indigestion, les ballonnements. L'aliment aqueux en fin du repas entraîne les sucs digestifs et les diluera, ce qui retardera la digestion par l'arrêt des sécrétions de ptyaline nécessaire à la digestion des amidons. Certaines personnes anormales souffrent après l'absorption de certains aliments, puis jettent le blâme sur ces aliments. Pourtant ce n'est presque jamais l'aliment consommé qui en est la cause. Ainsi par exemple, ceux qui font une éruption cutanée après avoir mangé des fraises, devraient savoir que la cause de l'éruption n'est pas dans les fraises, mais plus profondément. Les fraises ont fait ressortir une toxémie sanguine profonde. Ce sera l'opposé pour les aliments incompatibles. Aussi ceux qui font des gaz après avoir mangé des poires, du chou, ou du poivron ne doivent pas incriminer ces aliments sains, mais tous les autres aliments qui composent leur menu malsain et qui affaiblissent leur pouvoir digestif.
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Les noix et les fromages affaiblissent le pouvoir digestif. Les aliments azotés et le miel sont les aliments qui favorisent le plus les caries dentaires. Ne pas manger le melon et la pastèque avec aucun autre aliment, ni à la fin d'un repas. Sinon on risque l'indigestion, les ballonnements. L'aliment aqueux en fin du repas entraîne les sucs digestifs et les diluera, ce qui retardera la digestion par l'arrêt des sécrétions de ptyaline nécessaire à la digestion des amidons.
  
 
Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'auto-guérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
 
Tout être humain, et en particulier, tout médecin, devrait savoir que chacun d'entre nous possède en lui un trésor inestimable qui est : son "pouvoir d'auto-guérison". Le sachant, libre alors à chacun de l'utiliser, complètement, sans prétendre l'aider, ou non.
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La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de santé qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
 
La vie ne se réduit pas à une question de nourriture. Il existe, en effet, d'autres facteurs de santé qui sont : l'eau, l'air, le Soleil, le Repos, l'activité physique, l'activité mentale et la Vie affective. L'homme n'est pas uniquement ce qu'il mange : il est aussi ce qu'il boit, ce qu'il respire, comment il dort, comment il se repose, comment il pense, comment il s'émeut.
  
Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Il est clair aujourd'hui que le Cancer, la maladie d'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée. Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences ? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Étant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie" Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ?
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Il faut donc bien comprendre que les aliments ne sont pas, et ne doivent pas être notre seule nourriture : les nourritures affective et spirituelle, entre autres, sont par exemple, aussi importantes. La quasi totalité des maladies actuelles en pays développés repose sur cinq grandes causes fondamentales de base, qui agissent, soit en général en association, et qui sont : l'Alimentation moderne, le Tabac, l'Alcool, le Stress et les Médicaments (ATASM). (Sédentarité et Hérédité sont deux causes supplémentaires annexes.) Donc, il est certain que l'Alimentation moderne réunit 33 % des parts de responsabilité dans les pathologies dont nous faisons le constat chaque jour, et ce taux monte à 43 % en ajoutant l'Alcool. En ajoutant en plus le Tabac, on arrive au chiffre considérable de 76 %, ce qui veut dire qu'en intervenant sur ces trois facteurs seulement : Alimentation, Alcool et Tabac, on peut réduire de trois quarts l'ensemble de toutes les pathologies médicales, chirurgicales et psychiatriques, avec toutes les conséquences pour l'individu et pour la société que ça peut représenter. On sait par ailleurs aujourd'hui que les produits laitiers gras (crèmes glacées,...), l'alcool et les tranquillisants, ont une influence péjorative non contestable sur l'incidence du cancer du sein. Il est clair aujourd'hui que le Cancer, la maladie d'Alzheimer, les Maladies cardio-vasculaires (Infarctus, hypertension artérielle, Accident vasculaire cérébral,...), Ostéoporose et autres états pathologiques, ont tous à leur origine les mêmes erreurs, qui sont alimentaires à 50 %. Ces erreurs, elles concernent essentiellement : les calories en excès, les graisses saturées animales en excès (beurre, fromages, viande, charcuterie...), les protéines animales en excès, l'alcool en excès, les vitamines en défaut, les minéraux et oligo-éléments en défaut, et les additifs chimiques en excès. L'incidence du cancer est proportionnelle à l'alimentation carnée. Et on voudrait que tout cela se fasse sans conséquences ? De même que "la société crée des obèses et ne les accepte pas "(Jean Trémolière), la société moderne crée des malades et en nie les causes ! Étant donné les progrès scientifiques considérables réalisés ces dernières décennies, on pourrait s'attendre à une amélioration importante de l'état de santé de notre civilisation. Or, s'il est bien vrai que 2 % de la population française dépassera les 85 ans en l'an 2000, on peut se poser la question : Oui, mais dans quel état ? C'est à dire après avoir subi combien d'interventions chirurgicales, combien de chimiothérapies, avec combien de prothèses de toutes sortes ? Ceci a d'ailleurs amené à définir à côté de la notion classique d'espérance de vie, la notion "d'espérance de santé" et celle aussi "d'espérance d'autonomie". Finirons-nous donc tous cancéreux ou déments ? Au lieu de dépenser notre temps, notre énergie et notre argent, à nous occuper de nos maladies, ne pourrions-nous pas nous occuper de notre santé ?
  
L'alimentation idéale (Voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. La proposition hygiéniste est celle qui m'a semblé la plus authentique, la plus vraie, la plus conforme aux lois naturelles qui nous régissent. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". Encore plus proche, quelques dizaines d'années seulement, ce fut le passage du système agriculteur-éleveur artisanal, à celui d'agriculteur éleveur industriel, par l'utilisation de l'industrie chimique dans l'agro-alimentaire : engrais de synthèse, pesticides, insecticides, conservateurs, colorants, exhausteurs de goût, hormones, anabolisants, sédatifs. Comme conséquence : la détérioration de la qualité des produits : lait, fromages, beurre, œufs, viandes, charcuteries, céréales, légumes, fruits ... Enfin, actuellement, c'est l'augmentation considérable des repas pris à l'extérieur, c'est la consommation de plats cuisinés industriellement, c'est la création d'aliments de semi-synthèse, voire de synthèse pure, type sodas... L'être humain est un foli-frugivore strict. L'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...), et des fruits azotés comme les noix et noix diverses en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, monoinsaturés, et saturés, des protéines végétales d'origines différentes et complémentaires, sans risque d'acides aminés manquants, toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les minéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité. Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans la tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées car : "Un gâteau mangé avec joie et envie, est mieux digéré qu'une pomme absorbée dans la dépression." Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques". En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement, modifier ses perceptions et ses projets, et s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
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L'alimentation idéale (voir "Un régime de longue vie" de Roy Walford), semble devoir être pauvre en éléments caloriques (glucides, lipides, protides), et riche en éléments non caloriques (vitamines, minéraux, fibres). Les sels organiques sont plus importants que les calories et les aliments qui dégagent le plus de calories sont les moins nourrissants. J'ai donc exploré à peu près tous les modes alimentaires proposés dans la littérature nutritionnelle dite "parallèle", et à travers toutes ces propositions, faisant l'une l'éloge inconditionnel des fruits, l'autre celui du riz, l'autre celui du blé..., j'ai retenu celle proposée par le mouvement hygiéniste, résultat des travaux de nombreux chercheurs du siècle dernier, tels que Densmore, Trall, Jennings, Tilden, Lindlahr, Durville, Graham, et du 20éme siècle comme Shelton et Mosséri. Donc des légumes : tiges, pousses, racines, fleurs, feuilles et des fruits. Donc, une alimentation foli-frugivore, du type "cueillette". L'être humain est un foli-frugivore strict. L'auteur nous propose une alimentation idéale humaine entièrement végétalienne (pas de viandes, ni de poissons, ni coquillages, ni œufs, ni produits laitiers), non basée sur les céréales (pain, pâtes, semoules, riz,,), mais basée sur les légumes de toutes sortes (aqueux comme les carottes, courgettes .. - farineux comme les pommes de terre) et les fruits de toutes sortes (aqueux comme les pommes, les pêches, gras comme les avocats, séchés comme les dattes, les abricots secs ..), ainsi que les pousses des légumineuses : lentilles germées, soja germé,... les pousses des céréales (blé germé, etc...), et des fruits azotés comme les noix et noix diverses en très petites quantités, - l'ensemble consommé à majorité non cuit. Cette alimentation nous apporte des glucides simples, des glucides complexes, des lipides polyinsaturés, monoinsaturés, et saturés, des protéines végétales d'origines différentes et complémentaires, sans risque d'acides aminés manquants, toutes les vitamines, hydro-solubles comme lipo-solubles, tous les minéraux et oligo-éléments, des fibres tendres, des enzymes multiples, de l'eau pure en grande quantité. Il ne manque donc rien, reste le problème de la mise en application. Il faut déjà réaliser que tout processus de changement doit correspondre à une décision librement prise, bien vécue dans la tête et dans le corps, le but étant un meilleur être psychique et physique et non un mal être fait de frustrations répétées. Puis, on respectera un programme de "transitions alimentaires", qui sera suivi avec "beaucoup de souplesse", c'est à dire progressivement, par paliers successifs dans lesquels on réduit puis on supprime certains aliments, tandis qu'on introduit puis on privilège d'autres, avec un étalement dans le temps sur plusieurs mois ou sur plusieurs années. Par ailleurs, comme une alimentation "idéale", devrait, peut-être, correspondre à des conditions de vie "idéales", au soleil, sans stress.., certains aliments peuvent être consommés épisodiquement. Voici donc l'alimentation vers laquelle, lorsqu'on est soucieux de se libérer au maximum de l'angoisse de la maladie, il me semble qu'il est bon de tendre, en faisant, sur les mille cent repas qu'une année peut compter, beaucoup plus de repas "idéaux " que de repas "classiques". En conclusion, donner une bonne orientation à son alimentation, c'est aussi peut-être donner une nouvelle orientation à sa vie. C'est remettre en question des notions institutionnalisées, répétées sans réfléchir. C'est changer de comportement, modifier ses perceptions et ses projets, et s'interroger sur la maladie, qui est peut-être en fait, la perte du Savoir, du Pouvoir, de l'Avoir, la perte de la Liberté. C'est se questionner sur la santé, la "vraie", celle qui ne s'achète pas en pharmacie. C'est enfin réaliser que le fait de consommer des médicaments, pour accéder à la santé est une illusion.
  
 
Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances.
 
Les responsables politiques cherchent à culpabiliser la population quant au trou de la sécu alors qu'ils cherchent par ailleurs à accroître leurs profits en conditionnant dans l'ignorance, les consommateurs dès la naissance, favorisant ainsi la surconsommation d'aliments industriels raffinés, de protéines animales destructrices, de produits laitiers riches en graisse et soi-disant indispensables qui encrassent l'organisme sans parler des mauvaises associations alimentaires qui au fil du temps transforment notre corps en véritable poubelle génératrice de toutes les maladies hépato-intestinales et rénales de nos contemporains. Dans les pays du nord, la surcharge alimentaire, l'abus d'aliments d'origine animale et d'aliments industriels, le recours systématique à des excitants artificiels et à des produits chimiques minent la santé des populations. Dans le sud le mal développement engendre d'immenses souffrances.
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L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...). Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. Le sucre est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. Le Dr Carton avait intitulé l'un de ses livres "Les Trois Aliments Meurtriers" : le sucre, la viande et l'alcool. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Notre goût nous avertit de ce qui est bon ou non, sauf si notre goût est perverti. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels. Tous ces ingrédients sont trop forts et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Ils provoquent les hémorroïdes assez vite. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Les aliments passent trop vite pour être digérés. Attention, même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
 
L'être humain absorbe beaucoup de poisons pour se stimuler (café, thé, chocolat, sucre industriel, alcool, tabac, produits chimiques dans les aliments, ...). Il faut exclure complètement les épices, les aromates, la moutarde, le poivre, le sel, et le tabac, l’alcool, le vin. Et il faut en plus de cela surveiller les émotions vives, c’est-à-dire les fortes émotions, comme le chagrin, la colère, les soucis — bien tout ça peut causer la maladie, même si votre régime est parfait. Le sucre est un aliment industriel qu'il faut éviter. Il entre trop vite dans le sang et provoque un coup de fouet, suivi d'une dépression. Le Dr Carton avait intitulé l'un de ses livres "Les Trois Aliments Meurtriers" : le sucre, la viande et l'alcool. L'alcool provient d'aliments naturels fermentés, comme les raisins, les pommes, les poires, l'orge, le blé, les oignons, etc. Or toute fermentation représente une transformation du sucre en alcool, c'est à dire que les substances nutritives sucrées sont détruites et ne peuvent plus nourrir l'organisme. L'alcool est toujours nuisible à la santé et ne peut prévenir aucune maladie, tout au contraire, il les favorise. C'est une habitude pernicieuse de boire du vin à table, en mangeant. Les aliments fermentent et sont rejetés le lendemain dans des selles devenues putrides et volumineuses. Les selles normales sont inodores et moulées. A l'état naturel, le café et le thé sont amers. Or tout ce qui est amer contient du poison. Nos papilles gustatives ont été équipées pour détecter les poisons afin de nous prévenir de ne pas en manger. Ce n'est pas parce qu'un produit est naturel, qu'il faut en prendre aveuglément. Le café et le thé (même déthéiné) contiennent des poisons qui attaquent les nerfs, les reins, l'estomac, les intestins, le sang, etc. La caféine et la théobromine sont des poisons violents. En outre, le café contient une bonne quinzaine d'autres poisons. Tous ces poisons sont des stimulants. Le corps cherche à les éliminer et dépense ainsi de l'énergie qui est déviée de l'élimination naturelle de l'organisme, ce qui arrête donc cette élimination. Ils provoquent de ce fait une euphorie artificielle. Le corps se met ainsi en branle pour les expulser. C'est cela la stimulation. Elle semble donner des forces, mais en vérité, elle les épuise. Les nerfs finissent par s'ébranler, ce qui donne des insomnies, une fatigue nerveuse, l'énervement, l'instabilité des nerfs face aux contrariétés, la vulnérabilité de tout le système nerveux qui commande moins bien toutes les autres fonctions organiques. L'énergie n'est évidente que dans sa dépense, jamais dans son accumulation. D'autre part, le café qui contient tant de poisons finit par épuiser les reins chargés de les éliminer. Or quand les reins dégénèrent, aucune régénérescence n'est possible. Les cas de néphrite sont très graves et finissent par tuer le malade. Au fil du temps, les poisons s'accumulent dangereusement. Enfin, les produits qui remplacent le sucre sont des produits chimiques dangereux, comme d'ailleurs c'est le cas du miel. A l'état naturel, le cacao est amer, c'est à dire qu'il contient des poisons, la théobromine en particulier. Tout ce qui est amer n'est pas comestible, mais vénéneux pour l'homme. Le sucre est utilisé pour masquer cette amertume. Notre goût nous avertit de ce qui est bon ou non, sauf si notre goût est perverti. Ces poisons sont neutralisés par le foie qui finit par s'épuiser, s'engorger et craquer. Alors on ressent des maux de tête, l'esprit vaseux, du pessimisme, un manque d'appétit, un sommeil léger et perturbé. L'abus donnera des selles claires. Le vinaigre est comme l'alcool un produit de la fermentation et ne contient plus aucune substance nutritive. L'huile de moutarde, le poivre et dans une moindre mesure le sel, sont des poisons, quoiqu'ils soient parfaitement naturels. Tous ces ingrédients sont trop forts et fatiguent l'estomac, les intestins et les autres organes. Ils provoquent les hémorroïdes assez vite. Le corps les rejette avec le bol alimentaire qui n'est pas digéré. Les selles deviennent molles au lieu d'être moulées. Les aliments passent trop vite pour être digérés. Attention, même les aromates doux sont irritants pour l'estomac (thym, cumin, etc.) ou diurétiques (ciboulette et persil). Toutes les erreurs s'additionnent. Il faut, en outre, distinguer les erreurs graves des erreurs insignifiantes.
 
Un homme de 65 ans buvait un ou deux bols de café par jour. Son ventre enfla et enfla, car ses reins ne pouvaient plus filtrer toute l'urine qui s'accumulait dans l'abdomen.
 
  
 
On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".
 
On prétend que la suppression du sel favorise la réceptivité infectieuse. Ce qu'on observe, en effet, c'est que le corps étant moins intoxiqué, entreprend d'éliminer des toxines, dont il ne pouvait pas s'occuper auparavant. Est-ce un mal ? La maladie est une action remédiante, correcte et profitable. Les termes de "réceptivité infectieuse", dénotent l'obscurantisme médical qui considère la maladie comme étant une attaque extérieure. La médecine ne comprend pas l'office éliminateur de la maladie. Autant l'expliquer à un âne. Pour celui qui supprime les stimulants, les crises de désintoxication sont des crises bienfaisantes et utiles. La médecine ne le comprendra jamais et cherchera toujours à supprimer les symptômes dans lesquels elle ne verra que le mal. Si après avoir supprimé tous les stimulants - sel, café, épices, vin... - et modifié votre alimentation, vous faites une forte fièvre, la médecine dira que vous avez développé une "réceptivité infectieuse" ! Voilà de quoi effrayer les pauvres gens qui se soumettront alors, sans broncher, aux antibiotiques. Mais les crises de désintoxication sont toujours profitables, même quand elles prennent l'allure d'une maladie bien cataloguée, par la médecine. Ne vous laissez pas tromper. La médecine n'est pas une science. Toutes ses notions sont fausses. N'oublions pas que le docteur Carton était médecin, c'est à dire qu'il était handicapé par sa formation médicale. Le terme de "réceptivité" fait ressortir clairement la notion médicale erronée, selon quoi la maladie vient du dehors, par une attaque microbienne. Or notre conception hygiéniste est justement l'opposée de cela. Les microbes ne sont pas la cause, même en terrain propice. C'est la toxémie interne qui est la cause, c'est-à-dire le terrain. "Le microbe n'est rien. le terrain est tout".

Version du 10 octobre 2008 à 17:52

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