Communication non violente : Différence entre versions
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La Communication NonViolente ou CNV (« Nonviolent Communication » en anglais) est un ensemble de concepts et d'outils destinés, selon ses promoteurs, à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres[1]. Ce processus de communication a été initié par Marshall B. Rosenberg dans les années 1970 qui s'est inspiré notamment des travaux du psychologue Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales. Le terme non-violent est en référence au mouvement de Gandhi et signifie ici le fait de communiquer avec l'autre sans lui nuire (voir ahimsa). Marshall Rosenberg s'appuie également sur les travaux de l'économiste chilien Manfred Max-Neef, qui a analysé les besoins humains.
Pour le Centre pour la Communication NonViolente (The Center for Nonviolent Communication ou CNVC), promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée[2].
Sommaire
« Bases spirituelles » et « finalités » de la Communication NonViolente
Point de vue de Marshall Rosenberg
Pour Marshall Rosenberg, le but de la CNV est de « favoriser une qualité de relations qui va permettre de répondre aux besoins des uns et des autres en étant uniquement motivé par l’élan du cœur et la joie de le faire[réf. souhaitée][3]. »
Pour Marshall Rosenberg, « la spiritualité est à la base de la Communication NonViolente »[4]. Il explique dans un document[5] mis en ligne par le Centre pour la CNV, appelé « Bases spirituelles de la Communication NonViolente[6] », que la CNV est née de sa « tentative de devenir conscient de ce qu’est l’Énergie Divine Bien-Aimée et de la façon de se mettre en lien avec elle »[4].
« Il est important de voir que la spiritualité est au coeur de la CNV, et de garder cela à l'esprit quand on apprend les étapes du processus. L'art de vivre que j'essaie d'enseigner est véritablement une pratique spirituelle[7]. »
C'est après des cours accélérés en religions comparées qu'il dit percevoir l'importance de la notion d'amour, laquelle répond pour lui à la question : « que sommes-nous et quelle est la signification de notre existence[8] ? », cette question ne trouvant pas, à son sens, de réponse dans la psychologie clinique. La Communication NonViolente est pour Marshall Rosenberg le moyen de faire don de son amour, d'échanger ses « énergies divines » avec l'autre, cette interaction étant la forme la plus proche d'une connexion à Dieu.
« Ainsi la Communication NonViolente m’aide à rester en lien avec cette magnifique Énergie Divine à l’intérieur de moi et à me mettre en lien avec elle dans les autres. Et c’est certainement quand je fais le lien entre cette Énergie Divine en moi et l’Énergie Divine dans les autres qu’il se passe ce qui est, à ma connaissance, le plus proche de ce que c’est qu’être relié à Dieu. […]
Pour moi, si nous sommes en lien avec le Divin dans les autres et en nous-mêmes, nous allons nous réjouir de ce qui se passe, c’est cela la base spirituelle[4]. »
Pour Rosenberg, l'absence de connexion avec l'« énergie divine » est la cause de la violence dans le monde. Il affirme que notre éducation et notre conditionnement culturel, notamment au sujet de Dieu, nous ont déconnectés de Dieu. Il reprend les propos de Walter Wink, disant que le politique (King) a utilisé le religieux (Bishop) pour interpréter les livres saints et justifier l'oppression et la domination. Selon lui, la Communication NonViolente permet de surmonter ce conditionnement de notre éducation.
Centre pour la Communication NonViolente
Le Centre pour la Communication NonViolente (CNVC), organisme promoteur de la méthode et certificateur de ses formateurs, définit pour ce qui le concerne la place de la spiritualité dans sa « politique générale de finalités » :
« La finalité du Centre pour la CNV à l’échelle mondiale est qu’une masse critique de personnes utilisent la CNV pour participer à l’avènement d’une paix intérieure, interpersonnelle et institutionnelle. Le Centre pour la CNV peut atteindre cette fin en utilisant ses ressources de telle sorte que celles-ci soient au service de la vie. Cette masse critique de personnes utilisera le Centre pour la CNV comme un appui pour développer et partager une conscience spirituelle, des compétences personnelles et des aptitudes d’organisation, de façon à s’assurer que les besoins de tous soient comblés et que les conflits entre eux se résolvent de manière pacifique[9]. »
Processus de Communication NonViolente
Les quatre étapes de la CNV
La méthode de la CNV peut être résumée comme un cheminement en quatre temps :
- O pour Observation : décrire la situation en termes d'observation partageable ;
- S pour Sentiment : exprimer les sentiments vécus dans cette situation ;
- B pour Besoin : clarifier le(s) besoin(s) ,
- D pour Demande : faire une demande respectant les critères suivants : dans l'instant présent, réaliste, réalisable, négociable, précise et formulée positivement.
Cependant, il ne s'agit pas d'une manière de parler qu'il faudrait suivre à tout prix. Les concepts proposés sont des guides ou des aides, destinés à faciliter l'expression de la bienveillance, et non pas des règles à suivre[10].
Une bonne observation
Afin d'arriver à une observation précise, il vaut mieux éviter d'y mêler des évaluations et des jugements. Si notre interlocuteur se sent jugé, il aura tendance à s'investir dans l'autodéfense plutôt que la compréhension[11]. Par ailleurs, les évaluations rendent le monde statique, alors qu'il est en transformation constante. Comme l'explique Wendell Johnson, le langage est un instrument imparfait invitant à parler de stabilité et de normalité, alors que la réalité est changeante et faite de différences[12]. La CNV recommande de parler de faits concrets pour décrire les événements plutôt que d'attribuer des caractéristiques définitives à l'interlocuteur ou au monde. Par exemple, si l'on traite notre interlocuteur de fainéant, on l'enferme mentalement dans une case, alors qui si l'on parle de faits concrets, on ouvre la possibilité de formuler des demandes d'actions précises à réaliser dans le futur.
Exprimer ses sentiments
Afin de pouvoir communiquer ce qui se passe en nous, la CNV nous invite à développer un vocabulaire affectif pour exprimer toute la palette d'émotions qui peuvent nous toucher[13]. Un des pièges habituels dans l'interprétation de nos sentiments est de faire l'amalgame entre nos émotions et la perception que nous nous construisons de l'autre, de ses agissements et de ce qu'on imagine faire[14]. Par exemple, si l'on dit à quelqu'un qu'on se sent ignoré par lui parce qu'il ne nous a pas dit bonjour, on ne décrit pas nos sentiments mais notre interprétation de son comportement. Nos sentiments peuvent ici être de la tristesse ou de la frustration.
Exprimer les besoins
Quand nous ne sommes pas conscients du lien entre nos besoins et nos sentiments, nous limitons souvent la cause de ces derniers aux seules actions des autres[15]. Entre les actions des autres et nos sentiments, il y a nos besoins qui sont un élément de causalité intermédiaire. D'où l'importance de déterminer les besoins et de les assumer. Par ailleurs, si l'on accompagne nos demandes de l'explication des raisons profondes, on permet à l'autre de nous comprendre et, si jamais il ne peut accepter ce que nous demandons, il proposera plus spontanément une alternative permettant de satisfaire à la fois le porteur de la demande et lui-même[16].
Demander les actions que l'on souhaite
Selon les principes de la CNV, il ne faut pas utiliser les exigences, la menace, les ordres ou la manipulation. Il s'agit de traduire nos besoins généraux en demandes concrètes, c'est-à-dire concernant des actions précises nécessaires pour satisfaire les besoins les plus urgents[17].
Propositions de définition de la CNV
Selon Marshall Rosenberg
Marshall Rosenberg propose une définition du processus de la CNV[18][réf. insuffisante]
qui, selon lui, est continuellement remis en questionModèle:Citation nécessaire :
« La Communication NonViolente, c'est la combinaison d'un langage, d'une façon de penser, d'un savoir-faire en communication et de moyens d'influence qui servent mon désir de faire trois choses :
- me libérer du conditionnement culturel qui est en discordance avec la manière dont je veux vivre ma vie ;
- acquérir le pouvoir de me mettre en lien avec moi-même et autrui d'une façon qui me permette de donner naturellement à partir de mon cœur ;
- acquérir le pouvoir de créer des structures qui soutiennent cette façon de donner. »
Explication de la terminologie employée
- Le « conditionnement culturel », pour Marshall Rosenberg, est la façon que nous aurions de porter des jugements sur les choses et les êtres en termes de « vrai » ou « faux »[5].
- « Se mettre en lien avec soi-même » pourrait s'expliquer comme : prendre pleinement conscience des sentiments qui nous habitent et qui, au départ, sont juste « vaguement conscients »[réf. nécessaire].
- « Donner naturellement à partir de son cœur » pourrait se définir comme une générosité spontanée et volontaire, qui ne provient pas d'une contrainte ou d'une obligation morale extérieure[réf. nécessaire].
Selon Thomas d'Ansembourg
Selon Thomas d'Ansembourg, le processus de la CNV vise à aider à clarifier ce que nous vivons[19]. Il ne s'agit pas de l'empathie en tant que telle, mais y donne accès. Il ne s'agit pas non plus qu'une simple écoute, mais de « se relier efficacement à soi et à l'autre », c'est-à-dire prendre pleinement conscience de ses propres sentiments et de ceux de l'autre.
Selon les animateurs d'un projet CNV en milieu scolaire
Pour donner une définition concise et positive, qui parle aisément aux enfants et qui respecte le constat que l'esprit humain ne connaît pas la négation[réf. souhaitée], les animateurs d'un projet CNV en milieu scolaire ont reformulé l'acronyme CNV en Communication Nouvelle et Vivante.
Par extension, les personnes vivant le processus de la Communication NonViolente voient dans toute violence l'expression tragique de besoins non reconnus ou non satisfaits[réf. souhaitée] (cf. ci-dessous caractéristiques des besoins).
Selon David Servan-Schreiber
Dans son best-seller Guérir, David Servan-Schreiber décrit le processus de la CNV en termes relativement simples. Selon lui, le premier principe de la CNV est de remplacer tout jugement par une observation objective, afin d'éviter les réactions habituelles de son interlocuteur face à une critique. Le second principe est d'éviter tout jugement sur son interlocuteur pour ne parler que de ce que l'on ressent, l'autre ne pouvant contester cela. L'effort consiste alors à décrire la situation en commençant ses phrases par « je », pour être « dans l'authenticité et l'ouverture »[20].
Neuf familles de besoins
Dans la perspective de Max-Neef, reprise par Rosenberg, neuf besoins fondamentaux [21] recouvrent à peu près toute la palette des besoins humains [22] :
- Besoins physiologiques, bien-être physique ;
- Sécurité ;
- Empathie, compréhension ;
- Créativité ;
- Amour, intimité ;
- Jouer ;
- Repos, détente, récupération ;
- Autonomie ;
- Sens, spiritualité ;
Le site du Centre pour la CNV donne également une liste de besoins classés par famille [23] en précisant « La liste de besoins suivante n'est ni exhaustive ni définitive. Elle est destinée à être un point de départ pour toute personne souhaitant approfondir la connaissance de soi et pour faciliter une meilleure compréhension et une meilleure relation entre les personnes. ».
Caractéristiques des besoins
Le mot besoin est le plus fréquemment utilisé. Néanmoins, il y a souvent confusion avec les seuls besoins physiologiques. Dans le processus de CNV, il recouvre en fait un sens plus large et plus précis. Il se trouve aussi décrit comme « L'énergie vitale (besoins, aspirations, souhaits, valeurs) qui génèrent [les] sentiments [étape n°2 du processus].»[24] Cette énergie vitale est de la même nature que ce qui est appelé tendance actualisante dans la psychothérapie de Carl Rogers[25][réf. souhaitée] (dont Marshall Rosenberg est un des élèves).
Quelques éléments des besoins[26] — au sens de la CNV — qui permettent de les distinguer de l'usage courant du mot besoin (comme par exemple : « j'ai besoin d'une bonne bière » ou « j'ai besoin que tu sois gentil avec moi ») :
Ils sont :
- universels (communs à tous les êtres humains) ;
- une énergie vitale qui nous mobilise pour agir dans le sens qui va nous faire croître ;
- attachés :
- ni à une personne en particulier,
- ni à un objet,
- ni à une action ;
- il y a 36 000 manières d'y répondre.
Note : de ces caractéristiques, il peut être déduit qu'« un besoin n’est jamais quelque chose que l’on peut faire, ni quelque chose que l’on peut prendre ou toucher. »[27]. Ne pas confondre avec le fait que l'on peut justement identifier la satisfaction ou non de ses besoins par une sensation physique. Parmi ces sensations physiques, il peut y avoir le sens tactile.
Critiques
Difficulté d'application
La méthode peut poser question en ce qui concerne la facilité de son application. Avec une certaine dose d'humour, la méthode est présentée par le quotidien La Libre Belgique de la façon suivante :
« Ne dites plus : « Tu ne m'écoutes jamais ! », dites : « Lorsque je parle, pourrais-tu avoir l'élan d'attendre que j'aie fini avant de prendre la parole à ton tour pour répondre ainsi à mon besoin d'expression ? » »
Pour Olivier Hamal, homme politique belge, député du Mouvement réformateur, « si l'expression peut éviter certains conflits, cette conférence [de Marshall Rosenberg] apparaît un peu comme un prêche de secte. Et je doute que ces théories soient facilement applicables »[28].
Problèmes de la terminologie « officielle »
Marcelle Bélanger, formatrice au Québec, préfère parler de « communication consciente », qui rendrait mieux compte du chemin à parcourir. Selon elle, l'expression « Communication NonViolente » ne passe pas dans la belle province :
« En entendant « communication non violente », les gens se sentent attaqués personnellement, comme si on les accusait d'être violents ! Ça part mal pour communiquer[29]. »
Absence d'études sur l'application thérapeutique de la CNV
Selon le DModèle:R Sylvie Dodin, professeur agrégée de médecine, titulaire de la chaire pour l'enseignement d'une approche intégrée en prévention[30] à la faculté de médecine de l'université Laval de Québec, il n'existe aucune synthèse d'études scientifiques pouvant conclure à l'efficacité ou à l'utilité de la CNV. Selon elle, les articles publiés sur la CNV sont une simple description de concepts et de techniques « pour résoudre des conflits ou faciliter les relations entre les personnes »[31].
Convention d'écriture et degré d'ouverture
Afin de préserver l'intégrité du processus, le Center for Nonviolent Communication a déposé la méthode « officielle » de communication NonViolente sous le terme : « Communication NonViolente ». Les auteurs écrivant sur la CNV et collaborant avec le Centre pour la CNV respectent souvent cette forme typographique.
C'est aussi l'écriture retenue par les sites de références, qui dépendent du réseau du Centre pour la CNV ou appartiennent à des formateurs certifiés par lui. Ce n'est que les formateurs certifiés par the Center for Nonviolent Communication qui ont la possibilité d'utiliser le terme lors des formations et stages qu'ils proposent. Leur certification est à renouveler chaque année.
Le site du Centre pour la Communication NonViolente a choisi de protéger l'écriture Nonviolent Communication par le symbole sm, une forme spécifique de copyright. En même temps, à la suite d'une demande via le site nvcwiki.com[32], depuis août 2006[33] il précise dans un paragraphe intitulé Open Source & Copyrights[34], qu'il invite à partager ses créations dans une forme proche de celle des Creative commons notamment par l'aspect 20px Non Commercial : interdiction de tirer un profit commercial de l’œuvre sans autorisation de l'auteur.
Notes et références
- ↑ Wayland Myers, Pratique de la Communication NonViolente, Editions Jouvence
- ↑ Centre pour la Communication NonViolente, « La Communication NonViolente est… » sur http://www.cnvc.org
- ↑ traduction d'Anne Bourrit, mai 2007.
- ↑ 4,0, 4,1 et 4,2 Marshall Rosenberg, « Marshall, la CNV et la spiritualité » sur http://www.godfreyspencer.com
- ↑ 5,0 et 5,1 Marshall Rosenberg, « Spiritual Basis of Nonviolent Communication » sur http://www.cnvc.org
- ↑ « Spiritual Basis of Nonviolent Communication »
- ↑ Marshall B. Rosenberg (trad. Farrah Baut-Carlier, Anne Bourrit), Spiritualité pratique : Les bases spirituelles de la Communication NonViolente [« Practical Spirituality: The Spiritual Basis of Nonviolent Communication »], Jouvence, coll. « Les clés de la spiritualité / Les clés de la CNV », 12 octobre 2007, 93 p. (ISBN 978-2883535657) [présentation en ligne], p. 2
- ↑ « What are we and what are we meant to be? »
- ↑ Centre pour la Communication NonViolente, « Guide de la certification » sur http://www.nvc-europe.org
- ↑ Wayland Myers, Pratique de la Communication NonViolente, Editions Jouvence, p. 20-21
- ↑ Marshall B. Rosenberg, La Communication non violente au Quotidien, Edition Jouvence, p. 18
- ↑ Marshall B. Rosenberg, La Communication non violente au Quotidien, Edition Jouvence, p. 21
- ↑ Marshall B. Rosenberg, La Communication non violente au Quotidien, Edition Jouvence, p. 31
- ↑ Marshall B. Rosenberg, La Communication non violente au Quotidien, Edition Jouvence, p. 41
- ↑ Marshall B. Rosenberg, La Communication non violente au Quotidien, Edition Jouvence, p. 44
- ↑ Wayland Myers, Pratique de la Communication NonViolente, Editions Jouvence, p. 44
- ↑ Wayland Myers, Pratique de la Communication NonViolente, Editions Jouvence, p. 45
- ↑ Lausanne sept. 2003 (Traduction par Godfrey Spencer et Anne Bourrit)
- ↑ Thomas d'Ansembourg, Cessez d'être gentil soyez vrai ! — Être avec les autres en restant soi-même, Editions de l'Homme, 6 mai 2004, 256 p. (ISBN 978-2761915960) [présentation en ligne]
- ↑ David Servan-Schreiber, Guérir, Paris, Robert Laffon, coll. « Réponses », 2003, 304 p. (ISBN 2-221-09762-9) [présentation en ligne], p. 212-213
- ↑ Manfred Max-Neef Human Scale Development 1991, the Apex Press, New York and London
- ↑ Marshall Rosenberg, Dénouer les conflits par la Communication NonViolente, Ed. Jouvence, 2006. ISBN 2-88353-496-9, pages 42 et 43
- ↑ Needs Inventory
- ↑ Page n°14 du livre La Communication NonViolente au quotidien
- ↑ Psychothérapie #La psychothérapie rogerienne et l'approche humaniste
- ↑ Documentation du site girasol.be : Carte de sentiments et de besoins
- ↑ Documentation du site groupeconscientia.com : Liste de sentiments et de besoins
- ↑ La Libre Belgique, « Marshall Rosenberg, séduction ou prédiction ? » sur http://www.lalibre.be, 12 avril 2005
- ↑ Carole Vallières, « Mieux-être — Communiquer » sur http://www.ledevoir.com, 7 avril 2007
- ↑ DModèle:R Sylvie Dodin, « Approche Intégrée en prévention — faculté de médecine, université Laval de Montréal » sur http://www.cours.fmed.ulaval.ca
- ↑ DModèle:R Sylvie Dodin, « Communication non violente (CNV) — Applications thérapeutiques » sur http://www.passeportsante.net, novembre 2005. « Dans la littérature scientifique, les quelques articles publiés sur le sujet ne font que décrire les concepts et les techniques de la CNV. Cette méthode n’a fait l’objet d’aucune synthèse d'études contrôlées et randomisées jusqu’à maintenant. C’est pourquoi il est impossible de conclure à son efficacité ou à son utilité. »
- ↑ Board Proposal: copyleft attitude
- ↑ The following will be posted on the CNVC.org website: Open source / copyrights
- ↑ (eng) Legal Information | The Center for Nonviolent Communication
Voir aussi
Bibliographie
- Marshall Rosenberg, (Préface de Patrick Viveret), Communication & Pouvoir, Edizioni Esserci, Reggio Emilia Italie, 2008. ISBN 88-87178-74-7 (seul distributeur en France pour le moment : l'ACNV)
- Marshall Rosenberg, Spiritualité pratique, les bases spirituelles de la Communication NonViolente, Jouvence, Bernex (Suisse), 2007. ISBN 978-2-88353-565-7
- Marshall Rosenberg, Dénouer les conflits par la Communication NonViolente, Ed. Jouvence, 2006. ISBN 2-88353-496-9
- Lucy Leu, Manuel de Communication NonViolente : Exercices individuels et collectifs, éditions La Découverte, février 2005. ISBN 2707144541
- Marshall Rosenberg, La Communication NonViolente au quotidien, Ed. Jouvence, 2005 (?). ISBN 2-88353-314-8
- Marshall Rosenberg, Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs) : Introduction à la Communication NonViolente, Ed. La Découverte, 2005. ISBN 978-2707143815
- Marshall Rosenberg, Neil Gibson, Shari Klein, Nous arriverons à nous entendre ! - Suivi de : Qu'est-ce qui vous met en colère ?, Ed. Jouvence, 2005. ISBN 2-88353-424-1
- Jean-Philippe Faure, L'empathie, le pouvoir de l'accueil : Au cœur de la Communication NonViolente, Ed. Jouvence, 2003. ISBN 2-88353-349-0
- Thomas d'Ansembourg, Cessez d'être gentil, soyez vrai ! : Être avec les autres en restant soi-même, Les Ed. de l'Homme, 2001. ISBN 2-7619-1596-8
- Wayland Myers, Pratique de la communication non-violente : Établir de nouvelles relations, Ed. Jouvence, 1999. ISBN 2-88353-184-6
- Marshall Rosenberg, Les mots sont des fenêtres (ou des murs) : Introduction à la Communication NonViolente, Ed. Jouvence, 1999. ISBN 2-88353-432-2
Articles connexes
- L'assertivité est considérée comme fondamentale à la Communication NonViolente.
- Mode alternatif de résolution des conflits | Médiation interculturelle | Relation humaine | Relation interpersonnelle | justice réparatrice
- Psychologie humaniste | Psychologie sociale | Psychologie du développement
Liens externes
- www.cnvc.org site du Centre pour la Communication NonViolente, principalement en anglais (quelques pages traduites en français)
- www.nvc-europe.org site européen le plus fourni en pages francophones sur la Communication NonViolente.
- www.cnvsuisse.ch site de l'Association pour la Communication NonViolente en Suisse romande (ACNV-SR)
- fr.nvcwiki.com Wiki consacré à la Communication Non Violente.
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