Utilisateur:Anthony
Sommaire
- 1 Cancer : les « best of » actuels
- 2 Élevage = tortures
- 3 Les plombages et le mercure dentaire
- 4 Le danger des ondes très basse fréquence
- 5 Réorganiser notre vie
- 6 Vivisection et expérimentation animale : la honte !
- 7 Glutamate : poison alimentaire omniprésent
- 8 Le soja
- 9 La composition des vaccins
- 10 Four à micro-ondes : incidences générales sur la santé
- 11 Le Lait
- 12 Faim
- 13 Maladie du Gluten
- 14 Sida = scandale ?
- 15 Quelle eau boire ?
- 16 Frugalité
- 17 Le foie gras : une perversion culinaire
Cancer : les « best of » actuels
Tout le monde a autour de soi connaissance d'au moins un cancéreux. Cette hécatombe préparée de longue date avec les centaines de produits cancérigènes diffusés dans l'alimentation industrielle, les tabacs, les boissons, les émanations atmosphériques, les vaccins, ... aboutit par un parcours fléché à la chimio et la radiothérapie via des médecins robots qui « font leur travail » pour gagner leur vie... et perdre la vôtre. Trois règles d'or au départ : c'est le malade qui choisit ses thérapies et personne d'autre à sa place ; se méfier des gens qui vous veulent du bien car l'aveuglement, l'ignorance et la peur sont les pires ennemis, même en toute bonne foi ; augmenter ses chances de guérison en changeant radicalement le maximum de paramètres dans sa vie (mode d'alimentation, relations, activités, maison, manière de penser, de s'habiller, de se distraire).
L'on sait que, actuellement, le cancer est devenu la première cause de mortalité en France, passant ainsi devant les maladies cardio-vasculaires. La convergence d'une alimentation industrielle lourdement polluée de résidus de radioactivité, de métaux lourds, de micro-ondes, d'eaux nitratées, de médications effrenée, de vaccinations multiples à effet mutagène, d'insécurité professionnelle, affective..., font que l'homme et la femme actuels sont tenus à des performances d'adaptation qu'ils ne sont pas toujours en mesure d'assumer.
Élevage = tortures
N'est-il pas curieux qu'avec l'alimentation modernes des vaches, les éleveurs soient maintenant obligés de leur couper les cornes afin qu'elles ne s'éventrent pas en se battant alors que du temps de nos parents les vaches étaient tranquilles et paisibles. Bien sûr que les aliments responsables de cette dégradation comportementale sont les aliments impropres, les produits chimiques introduits, molécules n'existant pas dans la nature donc non reconnues par le vivant qui n'est pas équipé pour les traiter.
Les plombages et le mercure dentaire
De quoi sont composés les plombages classiques ? On y trouve 50 % de mercure, le reste étant du zinc, de l'argent, de l'indium, du chrome, du fer, du cuivre, de l'étain, du nickel et du béryllium. Tous ces métaux sont toxiques, sauf le fer. Les troubles induits par les métaux en bouche peuvent être dus aux métaux eux-mêmes, masi aussi aux couples électriques générés par leurs associations. Alors qu'aux États-Unis, en Allemagne, en Suède, au Canada, au Japon, en Russie, en Autriche, en Australie, on a interdit l'usage du mercure dentaire, en France, au contraire, on continue de nier sa toxicité.
Les vapeurs de mercure qui se dégagent des amalgames sont les plus nocives. En 7 ans, la moitié du mercure d'un amalgame s'évapore, dont 80 % vont se loger dans le système nerveux. Nous ne mourons pas parce que le corps a le temps de répartir le mercure dans différents endroits. De plus, il est important de savoir que les bactéries de la bouche et de l'intestin transforment le mercure en méthylmercure qui est 50 fois plus toxique (c'est là le problème de la salive chargée de mercure des amalgames). Les poumons sont aussi une porte d'entrée importante du mercure. À chaque fois que nous inspirons par la bouche, l'air effleure les dents et des vapeurs partent dans les poumons. Qui plus est, le mercure est partout : dans les gouttes auriculaires et oculaires, dans les fongicides, les bactéricides, les peintures à base de latex, ... Les gros poissons (qui mangent les plus petits) ont 200 fois plus de mercure dans leur chair. Le cerveau est constitué essentiellement de myéline, c'est à dire 60 % de lipides et d'acides gras. Le mercure, étant soluble dans les lipides et dans les graisses, en fait donc un lieu de prédilection, d'où l'extrême vulnérabilité de cet organe. Ne pas oublier que les métaux lourds endommagent les lipides des membranes cellulaires. Le cerveau est touché bien avant que les affections se déclarent et il y a maintenant de plus en plus d'enfants autistes, intoxiqués soit par leur mère via le placenta, soit par le mercure des vaccins. Leur intelligence est normale mais leur appréhension du monde est complètement faussée. En France, les pontes de la faculté dentaire ont toujours nié les preuves d'intoxication, et continuent à le faire ! Les autorités françaises désinforment le dentiste de base, passant sous silence toutes les études scientifiques sur ce sujet, ou les falsifiant. Le Gouvernement, vu les enjeux financiers, n'en viendra à l'interdiction des amalgames que sous la pression de l'opinion publique.
Le danger des ondes très basse fréquence
Des recherches cliniques récentes sur l'interconnexion des ondes cérébrales et des ondes à très basse fréquence ont démontré que les ondes cérébrales de sujets humains peuvent être artificiellement influencées par des émissions spécifiques d'ondes à basse fréquence qui semblent capables de tout traverser. Des expériences ont prouvé que l'on peut modifier le comportement d'êtres humains.
Réorganiser notre vie
Il est plus que grand temps de s'occuper de nous et d'organiser notre vie selon nos préceptes, même au prix de la désobéissance civique, affichant ainsi notre détermination et surtout notre « paradoxale » réussite en santé. Le meilleur moyen pour faire tomber le système en place, c'est de montrer aux autres comment tout va mieux lorsque l'on fait autrement. Les vrais décideurs sont les consommateurs, car ce que nous refusons d'acheter ne peut commercialement subsister.
Vivisection et expérimentation animale : la honte !
Rien qu'en France, on torture à mort chaque année 2 millions de souris, 500 000 rats, 147 000 cobayes, 120 000 lapins, 3 000 singes, 7 000 chiens, 2 000 chats, 15 000 cochons, 4 000 chèvres, 100 000 oiseaux, 30 000 grenouilles, 100 000 poissons, plus des vaches, des chevaux, des ânes, des serpents, etc., et ce ne sont que des chiffres officiels, donc sous-évalués. Tout ce qui vit est considéré comme du simple matériel d'expérimentation. À chaque fois que nous sommes acheteurs d'antibiotiques, de cosmétiques, ... nous alimentons toute cette chaîne d'horreurs dont nous devenons alors co-responsables. Dans le cas des produits cosmétiques, les lapins ne recoivent ni calmants, ni anesthésiants pour atténuer leurs souffrances. Parfois ils se brisent le cou ou les reins dans un effort désespéré pour se libérer. Ces tests utilisent aussi des cobayes, hamsters, furets, à d'autres phases, des chiens, chats et primates.
Glutamate : poison alimentaire omniprésent
On le trouve un peu partout : dans le sel, le poivre, les huiles, les conserves de légumes, de poissons, les hamburgers, le Coca-Cola, les boissons gazeuses, la sauce soja, les plats de la cuisine asiatique... C'est un additif alimentaire peu onéreux qui relève le goût. Ce produit qui ressemble à du sel, est ajouté dans la boulangerie industrielle : le pain, les gâteuax, les biscuits, les vins, les fonds de sauce, les plats cuisinés, les produits allégés et les produits laitiers dégraissés. Cela permet d'utiliser les matières premières en très petites quantités sans altérer le goût. Par ailleurs, étant irritant pour le tube digestif, il déclenche une faim mécanique qui pousse à la consommation. Le problème est qu'il y a une différence de structure moléculaire entre le glutamate naturel biologique et la molécule chimique de synthèse, purifiée, qui n'est pas reconnue par le vivant. Pourtant, l'argument clef des fabricants est que, étant un produit de la nature, il ne peut être dangereux. C'est faux. Ce produit de synthèse est un poison dangereux. En particulier, le cerveau des enfants n'a pas de protection contre le glutamate et leur développement intellectuel est mis en danger par les influx nerveux incessants qui sont provoqués d'une façon désordonnée. Les différents codes du glutamate sont les suivants : E 620, E 621, E 622, E 623, E 624, E 625, E 627, E 631, E 635, E 636, E 637. Où et comment se cache le glutamate ? Monosodium glutamate (MSG), monopotassium glutamate, acide glutamique, caséinate de calcium, maltodextrine, toutes les protéines et huiles hydrogénées, extrait de levure, levure autolysée, farine de soja, extrait de malt, ... Le glutamate est toujours sur la liste des additifs alimentaires autorisés. Pourtant, l'activation des récepteurs par le glutamate (ou l'aspartame) tue bel et bien les neurones.
Le soja
Un bébé nourri avec du lait maternisé à base de soja reçoit l'équivalent en phyto-œstrogènes de ce que l'on recevrait si on ingurgitait 5 pilules contraceptives par jour. Cela entraîne une puberté précoce chez les filles et une maturation sexuelle retardée chez les garçons. Le fait que le soja soit une bonne source de protéines est faux car il contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas. De plus, ce soja peut être une fois sur deux OGM. Or, le soja transgénique est fait (entre autres) pour pouvoir résister à d'énormes quantités de pesticides, que nous ingérons ensuite. Ces derniers ont des effets catastrophiques sur la santé, et de plus renforcent les effets négatifs du soja. La plupart du temps, les enfants allergiques à l'arachide, sont aussi allergiques au soja, ou risquent de le devenir d'un seul coup et d'une façon violente.
La composition des vaccins
Connaissez-vous la composition des vaccins ? Depuis longtemps, les être humains sont inoculés avec : de l'hydroxyde d'aluminium, sel attaquant le cerveau et entraînant autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob ; des sels de mercure (thiomersal) dont chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irreversible ; des virus OGM (vaccins viraux) obtenus à partir de matériel génétique séquentiel du SV40, précurseur du sinistre HIV, et que l'on retrouve dans de nombreux cancers du cerveau et mésothéliomes ; du sérum de veau foetal (liquide nutritif) alors que tout extrait d'origine bovine est (strictement) interdit dans tout médicament depuis 1994 ; de l'enzyme Tdt, dangereux mutagène. Nota à propos du BCG : il est toujours cultivé sur de la bile de boeuf (méthode Calmette & Guérin) au mépris de toute réglementation ainsi que des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle (ESB). La plupart des médecins ne sont aucunement informés de toutes ces infractions graves à la fois légales et sanitaires. Le vidal n'y faisant pas mention.
Les séquellesvaccinales à long terme sont multiples. Les allergies, les atteintes chroniques de la sphère ORL, les diarrhées chroniques, diverses maladies gastro-intestinales, des maladies rhumatismales, des dépressions inexplicables, des pertes de défenses immunitaires, et de nombreux autres troubles sont en relation directe avec des vaccins reçus il y a quelquefois des décennies. Les vaccins viraux (polio-hépatite) sont cancérigènes. Ils sont cultivés sur des souches animales (cellules Véro de singe, gonades de hamster...) et élaborés par génie génétique avec des séquences ADN du rétrovirus SV40 précurseur du fameux VIH, et que l'on retrouve dans de nombreux cancers du cerveau et de mésothéliomes. Les vaccins modernes sont des OGM. Les méthodes d'obtention des vaccins modernes par génie génétique ne sont pas autre chose que les techniques d'élaboration des OGM. Comment peut-on être pour les vaccins et contre les OGM ?
Four à micro-ondes : incidences générales sur la santé
On sait depuis longtemps que de nombreux utilisateurs professionnels ont subi des altérations testiculaires allant jusqu'à la stérilité. Selon un rapport complet paru dans le journal suisse Franz Weber, on a pu observer : une augmentation de la vitesse de sédimentation, une modification de la structure des graisses, une modification de l'acide folique, une augmentation de l'azote non protéique, une disposition hématologique à l'anémie au bout d'un mois, une dégradation des paramètres sanguins, une élévation du taux de cholestérol au bout de deux mois, le taux d'hématocrite devient changeant, témoignant d'une intoxication aiguë, l'augmentation des leucocytes s'accélère avec le temps, ...
Le Lait
Le lait de vache est toxique pour les nourrissons parce qu'il correspond aux besoins d'un veau et que sa composition est complètement différente de celle du lait humain. Depuis le début du XXème siècle, la science s'est évertuée, à force de manipulations, à humaniser le lait de vache, pour pallier les effets ravageurs de sa composition tronquée. On le dilue, tout d'abord, pour diminuer la concentration en protéines, en sodium et en calcium, on rajoute du fer, du phosphore, des vitamines de synthèse... et des farines pour limiter les diarrhées, mais provoquant alors des constipations. L'O.M.S déclare que les bébés devraient être allaités exclusivement pendant 6 mois au moins. Les scientifiques ont beau chercher à mettre au point des laits dits « maternisés », en essayant de donner les propriétés chimiques du lait de femme à un lait animal, force est, pour eux, de reconnaître que la nature est inimitable et qu'ils ne parviendront jamais à fabriquer du lait de femme, car la complexité de la composition de celui-ci n'a pas fini de les étonner. Savez-vous que la composition du lait varie au cours d'une tétée ? Clair au début, le lait désaltère le bébé. PLus épais, plus gras ensuite, il devient nourrissant. Le lait change aussi du début à la fin de la journée, et d'un jour à l'autre, au fil des semaines, des mois, d'une année. Sa structure est vivante, complexe et changeante. Son goût même varie selon les aliments que mange la maman, et qui le parfument de façon subtile. Il s'adapte totalement aux besoins changeants du bébé. Par conséquent, la femme qui allaite doit veiller à la qualité de son alimentation et de son hygiène de vie. Tout passe dans le lait, les bonnes choses comme les mauvaises (alcools, nicotine, médicaments, additifs alimentaires et arômes de synthèse). Savez-vous ce qu'a mangé la vache qui donne le lait que vous mettez en toute confiance dans le biberon de votre bébé ?Quels engrais, quels pesticides, quelles farines et quels enlisages malsains, quels antibiotiques lui ont été donnés et quelles hormones lui ont été injectées ? Seul le lait de la mère est parfaitement adapté au nouveau-né.
Autre réflexion : nous faisons partie des mammifères. Or, est-il possible de citer un seul mammifère sauvage qui boive du lait à l'âge adulte sur la planète ? Pire, aucun animal n'aurait l'idée de se nourrir avec le lait d'une autre espèce. La simple observation de la nature montre que le lait est réservé aux premiers mois de la vie, et exclusivement dispensé par la mère. Contre l'ostéoporose, la solution n'est pas de prendre des hormones de juments torturées, mais d'arrêter les produits laitiers.
Le lait de femme est l'aliment idéal du petit de l'homme pendant la première année, le lait de vache celui du petit veau pendant les premiers mois. Le petit homme, hélas, est abreuvé de lait du petit veau, pourtant très différent, pendant de longues années, voire toute sa vie sans mesure ni réflexion comme le lui permet facilement la société industrielle moderne. En réalité, moyennant une certaine recherche alimentaire qui va d'ailleurs dans le sens de toutes les recommandations nutritionnelles actuelles, on peut vivre sans produit laitier.
Faim
N'importe qu'elle école de diététique vous dira qu'un des principaux secrets de santé de l'homme est de ne pas manger lorsque l'on n'a pas faim.
Maladie du Gluten
Chaque grain de blé contient un germe, une réserve alimentaire d'amidon, et un liant protidique qui est le gluten. Quatre céréales en contiennent d'office : le blé, l'avoine, le seigle et l'orge. S'il est facile d'éliminer le pain, les pâtes, les pâtisseries, il est moins évident d'échapper au gluten caché dans des sauces, des conserves, ... En règle générale, tout aliment provenant d'une technique industrielle peut contenir du gluten. En 1950, après une enquête minutieuse, le gluten fut définitivement responsable de la maladie cœliaque (qui touche les viscères abdominaux). En fait, il provoque une atrophie de la muqueuse intestinale. En présence de gliadine (contenue dans le gluten) les villlosités intestinales cessent de se ramifier, prennent un aspect court et massif, et finissent par disparaître.La surface active d'absorption intestinale est gravement compromise. Voici une maladie qui peut être mortelle et qui pourtant peut être facilement soignée d'une façon spectaculaire par un simple régime alimentaire strict. Conclusion : le régime sans gluten doit être strict.
Sida = scandale ?
Le virus VIH est-il la cause du SIDA ? Aucune preuve scientifique n'a été établie à ce sujet. Ce n'est qu'une hypothèse qui a été érigée en certitude, puis en dogme, enfin en idéologie de dictature. Il est en outre stupéfiant que la presse scientifique ait pris la théorie du Dr Gallo comme un fait établi sans réserve ni critique, violant ainsi la loi fondamentale de la recherche qu'est la publication préalable de travaux mettant en évidence la validité d'expérimentation de l'hypothèse. Il est encore plus surprenant que les budgets les plus astronomiques jamais engagés aient été misés sur une simple affirmation gratuite qui restera dans l'histoire, une des plus grandes bavures médico-scientifiques du siècle.
Quelle eau boire ?
Depuis l'histoire de la vie, l'eau a toujours pu être aussi bien le plus précieux apport de santé et de longévité que le plus dangereux vecteur de maladies selon qu'elle est pure ou polluée. Depuis quelques décennies, les pollutions ont changé de forme, aussi sommes-nous passés du danger bactériologique au danger chimique. La pollution chimique se présente sous trois formes principales : celle des engrais et pesticides de l'agriculture qui ont infesté les nappes phréatiques, celle des rejets industriels massifs et celle de la désinfection des eaux dites potables (chlore).
Nous voici donc confrontés à un problème de société démentiel : alors que nous avons pollué la plupart des eaux de la planète, nous voilà astreints à payer très cher de l'eau qui, normalement, est un cadeau de la nature. De plus, cette eau qui nous arrive au robinet est de la fausse eau potable. La preuve en est que, bien souvent, elle n'est pas bonne à boire en raison de son goût déplorable. Si dans les pays pauvres, on risque une dysenterie, dans les pays industrialisés, on risque une intoxication chimique insidieuse menant à une mort lente. Sans parler des bouteilles en plastique libérant des micro-particules que le foie stocke et élimine péniblement.
Frugalité
Nous absorbons 10 fois nos besoins en toutes sortes d'éléments indispensables à la vie, mais notre suralimentation ainsi que les additifs alimentaires bloquent certains métabolismes par encrassement, rendant l'organisme incapable d'assimiler certains éléments de base.
Le foie gras : une perversion culinaire
La publicité pour le foie gras se fait insistante chaque année à l'approche des fêtes. Si vous décidez d'en acheter, sachez que vous allez manger un foie atteint d'une maladie, la stéatose hépatique. Il s'agit d'une hypertrophie graisseuse monstrueuse obtenue par un procédé assimilable à la torture : le gavage. Pendant trois semaines, oies et canards sont extraits de leur réduit obscur deux à trois fois par jour et immobilisés. On enfonce alors un long entonnoir dans leur gosier, ce qui provoque de graves blessures, et on y fait passer de force un kilo et demi de maïs par jour (soit 1/3 du poids de l'animal). On voit alors ces pauvres bêtes à bout de souffle, ailes écartées, dans leurs déjections, transpirant, se traînant, en attendant la mort fatale par saignée - et dans quelles conditions ! De temps en temps, la mort par asphyxie (ou par éclatement du jabot, infections diverses) intervient avant. Pensez à l'effet que peut avoir sur... votre propre foie, et sur votre santé en général, l'ingestion d'un tel produit. Le foie gras est une insulte à la raison, à la conscience et à la dignité humaines.