Vivre sans frigo : Différence entre versions
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| + | Il convient d'aborder les techniques de transformation des aliments. les confitures, les saucissons, les fromages... sont des formes alimentaires plus stables que les fruits frais, la viande fraiche, ou le lait frais, et toutes aussi comestibles. Le roquefort ou encore les saucissons sont par exemple réputés pour être affinés de long mois dans des caves sèches et fraiches. | ||
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| + | Il convient d'adapter alors une partie de nos habitudes culturelles: plus question de laisser les produits un mois comme dans un frigo. Cette solution n'en demeure pas moins raisonnée, puisque les aliments ne se dégradent pas tous en quelques heures, comme on pourrait nous le faire croire insidieusement. | ||
Version du 28 août 2006 à 23:56
Sommaire
précision du contexte
Vivre sans frigo ( ou appareils équivalents) revient à utiliser toutes les autres techniques de conservation d'aliment, et à bouleverser une partie de nos habitudes culturelles.
techniques de conservation
il convient donc de s'intéresser aux techniques de stérilisation des aliments (mise en bocaux...), de salage et de fumage principalement, qui à elles trois, permettent de conserver un large panel des aliments que l'on utilise. Ensuite, pour ceux qui ont la chance de vivre hors zone urbaine, il est possible d'utiliser la fraicheur que nous offre la nature: mettre les aliments au fond d'un puit, dans un cours d'eau, au bord de la fenètre en hivers, au nord, dans un réceptacle captant biens la fraicheur (coffre de pierre, semi enterré) ou dans une cave (enterrée).
transformation des aliments
Il convient d'aborder les techniques de transformation des aliments. les confitures, les saucissons, les fromages... sont des formes alimentaires plus stables que les fruits frais, la viande fraiche, ou le lait frais, et toutes aussi comestibles. Le roquefort ou encore les saucissons sont par exemple réputés pour être affinés de long mois dans des caves sèches et fraiches.
habitudes culturelles
Il convient d'adapter alors une partie de nos habitudes culturelles: plus question de laisser les produits un mois comme dans un frigo. Cette solution n'en demeure pas moins raisonnée, puisque les aliments ne se dégradent pas tous en quelques heures, comme on pourrait nous le faire croire insidieusement.
