Terre & Humanisme : Différence entre versions
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| − | + | Fondée en 1994 par Pierre Rabhi, l’association Terre & Humanisme puise son nom dans l’attention portée au lien entre les hommes et la Terre-Mère, la terre nourricière. Pas d’écologie sans solidarité... L’agroécologie est une alternative globale, conjuguant une pratique agricole et une éthique de vie. Face aux cruels constats d’une terre épuisée, elle propose des solutions naturelles pour la régénérer dans le respect du vivant, humains inclus. Elle intègre tous les aspects sociaux, sanitaires, économiques et environnementaux. Depuis le Mas de Beaulieu, lieu d’expérimentation, de démonstration et de production en Ardèche du sud, Terre & Humanisme pratique l’agroécologie et la transmet : accueil de bénévoles, formations tous publics (potager, cuisine, apiculture...), formations d’animateurs, etc. Elle mène parallèlement des programmes à l’international, qui constituent un chapitre important de ses activités. C’est par des partenariats locaux et des formations de formateurs qu’elle accompagne les populations de villages africains vers l’autonomie et la souveraineté alimentaire. | |
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| + | Avantages écologiques : entretien et régénération des sols, fourniture d’humus garant de leur bonne fertilité, optimisation de l’usage de l’eau, respect et sauvegarde de la biodiversité, lutte contre l’érosion et la désertification, applicable sur terre aride. | ||
| + | Avantages économiques : réduction considérable des coûts de production due à l’inutilité des intrants chimiques (engrais, pesticides, etc.) nuisibles et onéreux : alternative adaptée à la précarité des moyens des pays du Sud ; relocalisation de l’économie par la valorisation des ressources locales : réduction des transports générateurs de dépendance énergétique et destructeurs des espaces naturels. | ||
| + | Avantages sociaux : autonomie alimentaire des individus et collectivités locales tout en maintenant des échanges complémentaires, facteurs d’ouverture et de convivialité : réduction des flux migratoires et de l’émigration de la misère ; production quantitative d’une alimentation de qualité, garante de bonne santé. | ||
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| − | + | [http://www.terre-humanisme.org Terre et Humanisme] | |
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| − | http://www.terre-humanisme.org | ||
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Version du 16 juin 2010 à 19:25
Fichier:LOGO Terre-et-Humanisme.jpg
Fondée en 1994 par Pierre Rabhi, l’association Terre & Humanisme puise son nom dans l’attention portée au lien entre les hommes et la Terre-Mère, la terre nourricière. Pas d’écologie sans solidarité... L’agroécologie est une alternative globale, conjuguant une pratique agricole et une éthique de vie. Face aux cruels constats d’une terre épuisée, elle propose des solutions naturelles pour la régénérer dans le respect du vivant, humains inclus. Elle intègre tous les aspects sociaux, sanitaires, économiques et environnementaux. Depuis le Mas de Beaulieu, lieu d’expérimentation, de démonstration et de production en Ardèche du sud, Terre & Humanisme pratique l’agroécologie et la transmet : accueil de bénévoles, formations tous publics (potager, cuisine, apiculture...), formations d’animateurs, etc. Elle mène parallèlement des programmes à l’international, qui constituent un chapitre important de ses activités. C’est par des partenariats locaux et des formations de formateurs qu’elle accompagne les populations de villages africains vers l’autonomie et la souveraineté alimentaire.
Avantages écologiques : entretien et régénération des sols, fourniture d’humus garant de leur bonne fertilité, optimisation de l’usage de l’eau, respect et sauvegarde de la biodiversité, lutte contre l’érosion et la désertification, applicable sur terre aride.
Avantages économiques : réduction considérable des coûts de production due à l’inutilité des intrants chimiques (engrais, pesticides, etc.) nuisibles et onéreux : alternative adaptée à la précarité des moyens des pays du Sud ; relocalisation de l’économie par la valorisation des ressources locales : réduction des transports générateurs de dépendance énergétique et destructeurs des espaces naturels.
Avantages sociaux : autonomie alimentaire des individus et collectivités locales tout en maintenant des échanges complémentaires, facteurs d’ouverture et de convivialité : réduction des flux migratoires et de l’émigration de la misère ; production quantitative d’une alimentation de qualité, garante de bonne santé.
