Utilisateur:- Hermes -/Listes de travail/Templiers

De Ekopedia
Aller à : navigation, rechercher


HYPOTHESE templière[modifier]

  • L'hypothèse d'un lien cagot/templiers (issue notamment du livre Les Templiers de Michel Lamy, paru en 2001) n'est qu'une des nombreuses hypothèses et qu'elle est loin d'être jugée la plus crédible
    • De plus, le fait que des Templiers aient fait appel à des charpentiers est banal, puisque de nombreux seigneurs (templiers ou non) ou paroisses ont fait appel à des cagots, qui dans certaines zones du Sud-Ouest étaient de toute façon les seuls à pratiquer ce métier :

L'histoire des cagots est liée à celle des Templiers. En effet, les templiers furent commanditaires de nombreuses chapelles, églises ou cathédrales. Dans la construction d'une voute d'une église, une des difficultés majeures est d'obtenir la courbe. Celle-ci est obtenue à l'aide d'une charpente en bois, véritable ouvrage d'art d'autant plus précieux qu'il est temporaire, jusqu'à ce que la clé de voute verrouille la voute. On a vu que les cagots étaient souvent menuisiers ou charpentiers. Lorsque les templiers ont recherché les meilleurs ouvriers, ils ont souvent recruté des cagots. On trouve notamment des cagots sur les chantiers des cathédrales d'Amiens, de Reims, de Beauvais... C'est ainsi qu'on trouve aujourd'hui dans la Picardie et le nord de la France des descendants des Cagots, notamment une famille Gaffet, une famille Caqueux.


DOCUMENTS divers[modifier]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_commanderies_templi%C3%A8res_en_Midi-Pyr%C3%A9n%C3%A9es https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Prieur%C3%A9_de_Sion&oldid=187487126

Grands Maîtres présumés[modifier]

"Nautonnier", un mot vieux français pour un navigateur, qui signifie Grand Maître dans leur nomenclature ésotérique interne. La liste suivante des Grands Maîtres est tirée des Dossiers Secrets d'Henri Lobineau compilés par Plantard sous le nom de plume de "Philippe Toscan du Plantier" en 1967. Tous ceux nommés sur cette liste était morte avant cette date. Tous sauf deux figurent également sur les listes de prétendus « Imperators » (chefs suprêmes) et « membres distingués » de l'Ancien Ordre mystique Rosae Crucis qui circulaient en France à l'époque où Plantard était en contact avec cet Ordre Rosicrucien. La plupart des personnes nommées partagent le fil conducteur d'être connues pour avoir un intérêt pour l'occulte ou l'hérésie.[1]
Fichier:Leonardo da Vinci - autoportrait présumé - WGA12798.jpg
Leonardo da Vinci, prétendument le Prieuré du 12ème Grand Maître de Sion

Les Dossiers Secrets affirmaient que le Prieuré de Sion et les Chevaliers Templiers ont toujours partagé le même Grand Maître jusqu'à un schisme survenu lors de l'incident de la "Coupe de l'orme" en 1188. Suite à cet événement, les Grands Maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés en français comme étant :

  1. Jean de Gisors (1188-1220)
  2. Marie de Saint-Clair (1220-1266)- Marie de Saint-Clair (1192-1266), fille de Robert de Saint-Clair et d'Isabel Lévis, devint Grande Maîtresse du Prieuré de 1220 à sa mort (3).
  3. Guillaume de Gisors (1266-1307)
  4. Edouard de Bar (1307-1336)
  5. Jeanne de Bar (1336-1351)
  6. Jean de Saint-Clair (1351–1366)
  7. Blanche d'Évreux (1366-1398)
  8. Nicolas Flamel (1398-1418)
  9. René d'Anjou (1418–1480)
  10. Iolande de Bar (1480-1483)
  11. Sandro Botticelli (1483-1510)
  12. Léonard de Vinci (1510-1519)
  13. Connétable de Bourbon (1519-1527)
  14. Ferrante I Gonzaga (1527-1575)
  15. Ludovico Gonzaga (1575-1595)
  16. Robert Fludd (1595-1637)
  17. J. Valentin Andrea (1637–1654)
  18. Robert Boyle (1654–1691)
  19. Isaac Newton (1691-1727)
  20. Charles Radclyffe (1727-1746)
  21. Charles de Lorraine (1746-1780)
  22. Maximilien de Lorraine (1780-1801)
  23. Charles Nodier (1801-1844)
  24. Victor Hugo (1844-1885)
  25. Claude Debussy (1885-1918)
  26. Jean Cocteau (1918-1963)

Un document ultérieur, Le Cercle d'Ulysse,[2] identifie François Ducaud-Bourget, un éminent prêtre traditionaliste catholique pour qui Plantard avait travaillé comme a sexton pendant la Seconde Guerre mondiale,[1] en tant que Grand Maître après la mort de Cocteau. Plantard lui-même est plus tard identifié comme le prochain Grand Maître.

Lorsque les Dossiers secrets ont été révélés comme faux par des chercheurs français, Plantard s'est tu. Lors de sa tentative en 1989 de faire un retour et de relancer le Prieuré de Sion, Plantard a cherché à se démarquer de la première liste discréditée, et a publié une deuxième liste de Grands Maîtres du Prieuré,[3] qui comprenait les noms du défunt Roger-Patrice Pelat, et de son propre fils Thomas Plantard de Saint-Clair :

  1. Jean-Tim Negri d'Albes (1681-1703)
  2. François d'Hautpoul (1703-1726)
  3. André-Hercule de Fleury (1726-1766)
  4. Charles de Lorraine (1766-1780)
  5. Maximilien de Lorraine (1780-1801)
  6. Charles Nodier (1801-1844)
  7. Victor Hugo (1844-1885)
  8. Claude Debussy (1885-1918)
  9. Jean Cocteau (1918-1963)
  10. François Balphangon (1963-1969)
  11. John Drick (1969-1981)
  12. Pierre Plantard de Saint-Clair (1981)
  13. Philippe de Chérisey (1984-1985)
  14. Modèle:Ill (1985-1989)
  15. Pierre Plantard de Saint-Clair (1989)
  16. Thomas Plantard de Saint-Clair (1989)

En 1993, Plantard a reconnu que les deux listes étaient frauduleuses lorsqu'il a fait l'objet d'une enquête par un juge lors de l'Affaire de Pelat.[4][5]

En 2006, l'auteur américain Eric Mader-Lin a fait une déclaration publique affirmant être l'actuel Grand Maître du Prieuré de Sion.[6]

Le emblème officiel du Prieuré de Sion est en partie basé sur le fleur-de-lis, qui était un symb


Modèle:À sourcer Modèle:Synthèse inédite

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Sion   
Fichier:Priory of Sion Logo.png
Blason officiel du Prieuré de Sion qui est en partie basé sur la fleur-de-lissymbole associé à la monarchie française.[7]

Le Prieuré de Sion est le nom donné à plusieurs groupes, à la fois existants et séculaires ou non, réels et fictifs; dont une organisation fondée en France en 1956 par Pierre Plantard (1920-2000)[8]. Dans une série de documents tapés à la machine à écrire et déposés à la Bibliothèque nationale au milieu des années 1960, intitulés Dossiers secrets d'Henri Lobineau, Pierre Plantard présente le Prieuré comme une confrérie remontant à 1099[9], des faux confectionnés avec le concours de Philippe de Chérisey, le complice de Plantard[réf. nécessaire]. Néanmoins, de nombreux théoriciens de la conspiration persistent à croire que le Prieuré de Sion est une organisation obscure qui protège un secret capable de faire s'écrouler l'Église catholique. Cette thèse est celle proposée par Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh dans leur livre L'Énigme sacrée publié en 1982 et dont de nombreux éléments ont été repris par Dan Brown dans son best-seller intitulé Da Vinci Code, publié le Modèle:Date-.

Description des faits et de la polémique[modifier]

Selon les documents qui ont été déposés par Pierre Plantardà la Bibliothèque nationale de France dans les années 1960 intitulés Archives du Prieuré de Sion, le Prieuré de Sion serait une organisation secrète prestigieuse fondée en 1099 à l'issue de la Première croisade, qui aurait compté parmi ses membres un grand nombre de personnages qui figurent parmi les plus illustres de l’histoire et de la civilisation occidentale comme Guillaume de Chanaleilles (1153-1154), Sandro Botticelli (1483-1510), Leonardo da Vinci (1510-1519), Charles III (Duc de Bourbon-Montpensier) (1519-1527), Isaac Newton (1691-1727), Victor Hugo (1844-1885), Claude Debussy (1862-1918) ou encore Jean Cocteau (1918-1963). En 1993 Pierre Plantard admit cependant que cette liste n'était que le fruit de son imagination.[réf. nécessaire]

Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait plus de mille membres, structurés en sept niveaux. À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise par trois, jusqu'au nautonier. Nautonier est un mot de vieux français maritime pour celui qui était navigateur, et qui signifie Grand Maître dans la nomenclature ésotérique interne du Prieuré. Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait 1 093 membres, structurés en sept niveaux (un Nautonier - 3 Princes noachites de Notre-Dame - 9 Croisés de Saint-Jean - 27 Commandeurs - 61 Chevaliers - 243 Ecuyers - 729 Preux). À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise donc par trois, jusqu'à la charge de nautonier, exercée par une personne seule.

De nos jours, le Prieuré de Sion a une existence « officielle », mais bien moins mystérieuse et ésotérique : il s'agit d'une association loi de 1901 fondée le 7 mai 1956 par Pierre Plantard (secrétaire général), André Bonhomme (président), Jean Deleaval (vice-président), Armand Defago (trésorier) et dont les statuts sont déposés à la sous-préfecture de Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie). Elle prend pour sous-titre l'acronyme CIRCUIT (Chevalerie d'institution et règle catholique et d'union indépendante traditionaliste) et comme emblème un coq blanc. Plantard, accusé de fraude devant la justice française en 1992 a déclaré qu'il s'agissait d'une supercherie qui était censée le mettre sur le trône de France en tant que descendant des Francs Mérovingiens.[réf. nécessaire]

Le 27 décembre 2002, un communiqué publié sur du papier à en-tête officiel, annonce publiquement la réactivation de la société. Le message est signé de Gino Sandri, ancien secrétaire particulier de Pierre Plantard, sous le titre de secrétaire général, et d'une femme anonyme, censée être le nouveau « nautonier ». Cependant, certains experts n'y ont vu qu'un coup publicitaire.

Liste des Grands Maîtres[modifier]

La version du Prieuré de Sion, dont il a été question pour la première fois dans les années 1960, était censée être dirigée par un Nautonnier, soit un vieux mot français désignant un Navigateur et qui signifie grand maître dans leur nomenclature ésotérique interne.

Grand maître devint le titre traditionnel généralement attribué au plus haut dirigeant d’un ordre ou d’une confrérie.

En 1967, la liste suivante des grands maîtres provient des Dossiers Secrets d'Henri Lobineau compilés par Pierre Plantard sous nom de plume de Philippe Toscan du Plantier. Cette liste circulait en France à l'époque où Pierre Plantard était dit en relation avec l'Ordre rosicrucien. Deux membres qui n'étaient pas décédès avant cette date, figuraient sur cette liste, et étaient présents également sur des listes de dits «Imperators» (chefs suprêmes) et de «membres distingués» de l' ancien ordre mystique Rosae Crucis. A ses débuts, le conseil suprême de Supérieurs Inconnus des Rosae Crucis, ne comprenant que 9 membres[10]. Les idées des Rose-croix se sont propagée dans les milieux maçonniques allemands et protestants[11], alors que le pape Clément XII[12] s'était élevé contre la franc-maçonnerie dans la bulle In eminenti apostolatus specula (1738).

La plupart des personnes nommées dans les "Dossiers" partagent le fil conducteur d'être connues pour s'intéresser à l' occultisme ou à une certaine hérésie. Certains desdits grands maîtres et grandes maîtresses du Prieuré de Sion, tels que Jeanne de Bar, Léonard de Vinci, Nicolas Flamel, Isaac Newton, Charles Nodier, Victor Hugo, Claude Debussy ou encore Jean Cocteau, ont été des précurseurs, des célébrités modernistes de leur temps.

Les grands maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés en français comme étant grands maîtres du Prieuré de Sion comme suit en liste :

Grands maîtres du Prieuré de Sion À noter que...

Début présumé de liste...

  1. Hugues de Blanquefort (1150-1151)
  2. Bernard de Tramelay (1151-1153)
  3. Guillaume Chanaleilles (1153-1154)
  4. Évrard des Barres (1154-1155)
  5. André de Montbard (1155-1156)
  6. Bertrand de Blanquefort (1156-1169)
  7. Philippe de Milly (1169-1170)
  8. Eudes de Saint-Amand (1170- 1180)
  9. Arnaud de Toroge (1181-1184)
  10. Gérard de Ridefort (1184-1188)

....................................................................

=> Scission dans l'Ordre <=

....................................................................

  1. Jean de Gisors (1188-1220)[13]
  2. Marie de Saint-Clair (1220-1266)
  3. Guillaume de Gisors (1266-1307)
  4. Edouard de Bar (1307–1336)
  5. Jeanne de Bar (1336–1351)
  6. Jean de Saint-Clair (1351–1366)
  7. Blanche d'Évreux (1366–1398)
  8. Nicolas Flamel (1398–1418)
  9. René d'Anjou (1418–1480)
  10. Iolande de Bar (1480-1483)
  11. Sandro Botticelli (1483-1510)
  12. Léonard de Vinci (1510-1519)
  13. Connétable de Bourbon (1519-1527)
  14. Ferrante I Gonzaga (1527–1575)
  15. Ludovico Gonzaga (1575–1595)
  16. Robert Fludd (1595–1637)
  17. J. Valentin Andrea (1637-1654)
  18. Robert Boyle (1654-1691)
  19. Isaac Newton (1691–1727)
  20. Charles Radclyffe (1727–1746)
  21. Charles de Lorraine (1746–1780)
  22. Maximilien de Lorraine (1780-1801)
  23. Charles Nodier (1801–1844)
  24. Victor Hugo (1844–1885)
  25. Claude Debussy (1885–1918)
  26. Erik Satie (1918-1925)
  27. Jean Cocteau (1925-1963)
  28. .


Reprise de la théorie par des auteurs essayistes[modifier]

Dans L'Énigme sacrée (The Holy Blood and the Holy Grail, « La Sainte Lignée et le Saint Graal ») publié en 1982 par Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh, trois journalistes britanniques, présentent le Prieuré comme un regroupement d'organisations secrètes telles que Templum Domini, Ordo Hospitalis Sancti Johannis Hierosolymitani Ordo Hospitalis Sancti Johannis Hierosolymitani, Rosae Crucis ou autres francs-maçons. Dans cet essai, la dynastie mérovingienne quant à elle descendrait directement de Jésus et de Marie-Madeleine. Dans cette optique, la mission du Prieuré serait donc de cacher l'existence de cette « sainte lignée ». Les trois coauteurs établirent un lien entre cette mission et le thème du Graal, traditionnellement associé aux Templiers et déclarent que le « Graal » est une métaphore qui désignerait cette descendance supposée du Christ.

L'auteur John Daniel reprend également la théorie du complot décrite par Pierre Plantard dans son ouvrage Scarlet and the Beast - A History of the War between English and French Freemasonry (L'écarlate et la bête - Une histoire de la guerre entre la franc-maçonnerie anglaise et française)[19].

Reprise de la théorie dans la littérature[modifier]

Umberto Eco, dans son roman de 1988, Le Pendule de Foucault, montre son point de vue sur la question en illustrant un système d’associations sans preuve qui aurait permis le fondement de la société secrète.

Dans la série de romans historiques Les Enfants du Graal (1991 à 1997) de Peter Berling, le Prieuré de Sion y protège les deux héros, Roç et Yesa, qui y sont présentés comme des descendants de Jésus. Elle met aussi en scène Guillaume de Gisors et Marie de Saint-Clair, deux des grands maîtres de la société.

Dan Brown, quant à lui, a repris tous ces thèmes pour construire l'intrigue de son Da Vinci Code. La trame de ce roman s'appuie en réalité sur l'histoire de l'abbé Saunière, curé de la paroisse de Rennes-le-Château située dans l'Aude. Autour de la relation entre Jésus-Christ et Marie-Madeleine, sur laquelle le roman de Dan Brown décline son énigme, se greffe le Prieuré de Sion. La société secrète est ici présentée comme une des clefs de voûte de la descendance de Jésus-Christ. Cette fiction navigue ainsi entre vérité et parfum de complot et dans laquelle Léonard de Vinci, le Saint Graal, les Templiers, les cathares et les francs-maçons viennent s'ajouter. L'écrivain André Grall s'y verra même impliqué.

Jean-Paul Bourre a repris le thème du Prieuré de Sion dans un thriller politico-occultiste intitulé, L'Élu du serpent rouge (éditions Les Belles Lettres) : Patrice Villard (alias François de Grossouvre) est le grand maître du Prieuré de Sion et responsable des Chasses présidentielles (couverture lui permettant d'être un des conseillers occultes du Président François Mitterrand). Car dès les années 1950, il était devenu honorable correspondant de services de renseignement extérieurs français, le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage[21]. On voit apparaître un certain Gillis, archiviste de l'Ordre de Dieu. Différentes sociétés secrètes ou discrètes vont se disputer un mystérieux manuscrit intitulé « Le serpent rouge ».

Dans ses bande-dessinées La Couronne des Croisés et Une lettre de la maison, Keno Don Rosa oppose les templiers puis Balthazar Picsou au prieuré de Sion.[réf. nécessaire]

Articles connexes[modifier]

Modèle:Colonnes

Liens externes[modifier]

Bibliographie[modifier]

  • Bordes Richard, "Les Mérovingiens à Rennes-le-Château, mythe ou réalité", Philippe Schrauben Éditeur, 1984.
  • Bourre Jean-Paul, L'Élu du Serpent rouge, Les Belles Lettres, 2004, 303 pages. (ouvrage consacré à Rennes-le-château avec une étude approfondie sur Pierre Plantard et le Prieuré de Sion.)
  • Buchholtzer Laurent, Octonovo, Rennes-le-château, une affaire paradoxale, L'Œil du Sphinx, 2008.
  • Cipriani Domizio, Templar Order il cammino dei templari la via verso la saggezza by Bastogi libri 2016 (ISBN 9788899376482) IT, FR, EN.
  • Cipriani Domizio, Le Prieuré de Sion una scienza sociale, by Bastogi libri, 2018, IT (ISBN 8894894711 et ISBN 978-8894894714)
  • Garcia Jean-Pierre, Rennes-le-Château : Le Secret dans l'Art ou l'Art du Secret, 2008 (ISBN 978-2-9530184-0-0)

Notes et références[modifier]

  1. 1,0 et 1,1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Introvigne_2005.
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Jean_Delaude_1994.
  3. La deuxième liste est apparue dans Vaincre No 3, septembre 1989, p. 22.
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées lepoint.
  5. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte ; aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Philippe_Lapr.C3.A9v.C3.B4te_1996_p._140.
  6. http://transitionculture.org/2012/12/05/the-top-ten-films-as-chosen-by-transition-initiatives/
  7. Modèle:Cite book
  8. [1] La mort de Pierre Plantard
  9. The Priory Of Sion: Is The "Secret Organization" Fact Or Fiction? sur CBS News (60 Minutes), 30 avril 2006
  10. R.Le Forestier, Les Supérieurs Inconnus, op.cit, p. 81-82
  11. Modèle:Harv
  12. lointain successeur de Clément V qui avait dissous l'Ordre sous la pression de Philippe IV le Bel
  13. Guy Mouny, Rennes-le-Château: un autre regard sur l'énigme, Cheminements, Le Coudray-Macouard, 1999.
  14. Étienne Pattou 2006-2016, p. 2 et 3. ; Jean-Baptiste-Pierre Courcelles 1822, p. 1.
  15. B. Comtes de Rochefort (Barres).
  16. Les Plantagenêts : Origines et destin d'un empire (XIe-XIVe siècles), Fayard, 2004, 962 p. (ISBN 978-2-213-63974-1) [présentation en ligne] 
  17. Richard Cœur de Lion, Fayard, 1988, 326 p. (ISBN 978-2-213-63880-5) [présentation en ligne] 
  18. Histoire des ducs et des comtes de Champagne, A. Durand, 1865 [présentation en ligne] 
  19. John Daniel, Scarlet and the Beast - A History of the War between English and French Freemasonry, Day Publishing; 3rd edition (April 1, 2007), (ISBN 978-1890913991)
  20. Modèle:Cite book, éd. française 2004 chez Jean-Claude Lattès
  21. Edwy Plenel, Le journaliste et le Président, Stock, 2006.


Modèle:Portail religions et croyances Modèle:Portail légendaire


article LISTE CHRONOLOGIQUE relative au Prieuré[modifier]

Sommaire

Les diverses origines selon la tradition secrète[modifier]

https://fr.wiktionary.org/wiki/saumon#%C3%89tymologie https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a6/Blason_ville_fr_La_Meauffe_%28Manche%29.svg/180px-Blason_ville_fr_La_Meauffe_%28Manche%29.svg.png

FIN ère belier : DAVID > SALOMON > lE SAUMON annonce l'ère du Poisson Latin: SALMO > latin: psalmus > Christianisme: Psaume.


Plus tard le SAUMON (pèche Baltique) devient BAR (pèche atlantique) https://fr.wiktionary.org/wiki/bar https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/fd/Blason_comte_fr_Bar.png/180px-Blason_comte_fr_Bar.png

(Endroit où boire) (Date à préciser) De l’anglais bar, lui-même du français barre.


bar \baʁ\ masculin

   (Métrologie) (Désuet) Unité de mesure de poids qui vaut une tonne.
       Bar ou Millier, ou 100 myriagrammes, poids égal au mètre cube d’eau qui pèse 1000 kilogrammes ; le bar remplace l’ancien tonneau de mer ; il vaut env. 2043 liv. poids de marc ; voy. pag. 189 et suiv. — (Abbé Louis Ramel, Système métrique, ou Instruction abrégée sur les nouvelles mesures, Mme Fauche, Neuchâtel, 1808)
       BAR. Mot qui, dans le principe, faisait partie de la nomenclature du système métrique français, et désignait un poids de 1000 kilogrammes. Cette dénomination, aujourd’hui inusitée, a été remplacée par celle de millier ou tonneau. Voyez ces mots.
       Le bahar ou candi, poids des Indes orientales, porte quelquefois aussi le nom de bar. Voyez Bahar. — (Horace Doursther, Dictionnaire universel des poids et mesures, anciens et modernes, M. Hayez, Bruxelles, 1840)
   (Métrologie) Unité de mesure de pression des fluides, égale à exactement 100 000 pascal (Pa) et proche de la valeur moyenne de la pression atmosphérique au niveau de la mer.
       Hors du Système international (SI), le bar dérive de la barye (1 bar = 1 000 000 baryes), unité de pression du Système CGS

   (Poisson) (fin du XIIe siècle) Du moyen néerlandais baers, baerse, barse (« perche, bar »), apparenté rattacher au moyen néerlandais borstel (« poil, soie, brosse »), ce poisson ayant été ainsi nommé en référence à ces dangereuses épines dorsales.

bar \baʁ\ masculin

   (Ichtyologie) Poisson de mer dont la chair blanche est délicatement parfumée, appartenant aux genres Dicentrarchus sur Wikispecies Article sur wikispecies ou Morone sur Wikispecies Article sur wikispecies, variante de loup de mer (poisson).
       Le bar commun peut atteindre, au maximum, 100 cm pour un poids de 10 kg à 12 kg. — (site ifremer.fr)
       Les bars arrondis, ouvrant une bouche énorme, faisant songer à quelque âme trop grosse, rendue à pleine gorge, dans la stupéfaction de l’agonie. — (Émile Zola, Le Ventre de Paris, Georges Charpentier, Paris, 1873)
   (Cuisine) Chair cuisinée de ce poisson.
   (Héraldique) Meuble représentant un animal du même nom dans les armoiries. Contrairement au poisson, il est généralement représenté par paire, en pal, courbé (l'un à dextre l’autre à senestre) et adossés.
       D’azur semé de croisettes d’or et aux deux bars d’or, qui est du Comte Bar → voir illustration « armoiries avec 2 bars »

Contexte historique et évènements liés[modifier]

.

Au temps des premiers chrétiens (0-400)[modifier]

.

Au temps des Wisigoths et des (0-400)[modifier]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Wisigoths

https://fr.wikipedia.org/wiki/Wisigoths#Chronologie

  • 235 : début des invasions des Goths, qui entrent en Dacie.
  • 258 : les Goths se séparent en Ostrogoths et Wisigoths.
  • 269 : défaite des Goths sur l'empereur Claude II (Claude le Gothique) à Naissus (aujourd'hui, Niš, en Serbie).
  • 332 : Ariaric, roi des Wisigoths, lance une attaque contre les Sarmates de la plaine de Pannonie, par la vallée de la rivière Marisia : une lourde défaite pour les Romains venus à la rescousse des Sarmates.
  • 341 : les premiers Wisigoths sont convertis à l'arianisme par l'évêque Wulfila.
  • ...
  • 507 : allié à Gondebaud, le roi des Burgondes, le roi franc Clovis Ier défait les Wisigoths à Vouillé et tue Alaric II. Les * 200.000 Wisigoths sont repoussés vers l'Espagne.
  • 508 : intervention en Gaule des troupes ostrogothiques envoyées par le roi Théodoric le Grand qui repoussent les armées burgondes et franques assiégeant la cité d'Arles et sauvent les Wisigoths de l'extermination. Le roi Geisalic, élu par l'armée après la défaite de Vouillé, est chassé sur ordre de Théodoric qui installe son petit-fils Amalaric.
  • 525 : Théodoric le Grand emprisonne le pape après son échec comme médiateur entre les Wisigoths et Byzance.
  • 589 : Récarède Ier impose le christianisme nicéen à ses sujets au concile de Tolède et met ainsi fin officiellement à l'arianisme qui n'est plus toléré dans le royaume wisigothique.
  • ...
  • 709 : déposition du roi Wittiza par Rodéric. Guerre civile.

Au temps des francs mérovingiens (451-751)[modifier]

https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9rovingiens Les Mérovingiens forment traditionnellement la première dynastie des rois de France (également appelée « première race »), avant les Carolingiens et les Capétiens (classement issu de l'Ancien Régime et au XIXe siècle par certains légistes et historiens français) Cette lignée commence à la suite de la bataille des champs Catalauniques de 451 (plaine de Champagne) où le chef franc Mérovée, allié au Romain Aetius, provoque la défaite des Huns d’Attila.

Au temps des francs carolingiens (751-987)[modifier]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carolingiens Les Carolingiens forment traditionnellement la seconde dynastie des rois de France (également appelée « deuxième race »), entre les Mérovingiens et les Carolingiens.

Au temps des francs capétiens directs (987-1328)[modifier]

Fichier:Le royaume des Francs sous Hugues Capet-fr.svg
Assise territoriale des premiers rois capétiens.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cap%C3%A9tiens https://fr.wikipedia.org/wiki/Cap%C3%A9tiens_directs Capétiens directs désigne les monarques capétiens de la « troisiième race » qui régnèrent de père en fils sur le royaume de France, d'Hugues Capet en 987, jusqu'à Charles IV le Bel en 1328.

12 ème siècle[modifier]

.

Début de liste des Grands Maitres présumés connus[modifier]

Les Dossiers Secrets affirmaient que le Prieuré de Sion et les Templiers partageaient toujours le même Grand Maître jusqu'à ce qu'un schisme se produise lors de l' incident de la « Coupe de l'orme » en 1188. Suite à cet événement, les Grands Maîtres du Prieuré de Sion sont répertoriés dans français comme étant :


Hugues de Blanquefort (1150-1151)[modifier]

.

Bernard de Tramelay (1151-1153)[modifier]

.

Guillaume Chanaleilles (1153-1154)[modifier]

.

Évrard des Barres (1154-1155)[modifier]

.

André de Montbard (1155-1156)[modifier]

.

Bertrand de Blanquefort (1156-1169)[modifier]

.

Philippe de Milly (1169-1170)[modifier]

.

Eudes de Saint-Amand (1170- 1180)[modifier]

.

Arnaud de Toroge (1181-1184)[modifier]
Fichier:Conquetes Philippe Auguste.png
Philippe Auguste mène une lutte victorieuse pour abaisser la puissance des Plantagenêts et agrandir le domaine.

.

Gérard de Ridefort (1184-1188)[modifier]

.

13 ème siècle[modifier]

.

....................................................................

   => Scission dans l'Ordre <=

....................................................................

Jean de Gisors (1188-1220)[modifier]

.

Marie de Saint-Clair (1220-1266)[modifier]

.

14 ème siècle[modifier]

.

Guillaume de Gisors (1266-1307)[modifier]

.

Au temps des francs capétiens indirects (1328-1792) (Valois directs : 1328-1589)[modifier]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Valois#Les_Valois_directs https://fr.wikipedia.org/wiki/Cap%C3%A9tiens Les Capétiens forment traditionnellement la troisième dynastie des rois de France (également appelée « troisième race »), après les Mérovingiens et les Carolingiens. Ils forment une dynastie princière d’origine franque, issue des Robertiens, qui accède en 987 au trône de France lors de l'élection d'Hugues Capet. Ses descendants directs et indirects règnent sur la France sans interruption jusqu'en 1792 (avec la branche directe jusqu'en 1328 puis les branches cadettes des Valois jusqu'en 1589 et des Bourbons), puis à nouveau de 1814 à 1848 avec une interruption pendant les Cent-Jours. Louis-Philippe (quatrième maison capétienne d’Orléans) est le dernier souverain de la dynastie en France. La dynastie capétienne est la dynastie qui a le plus influencé les peuples d'Europe durant le Moyen Âge. Principalement basés en France, les Capétiens ont régné sur : le royaume de France, le royaume de Portugal, le royaume d'Aragon, le royaume de Navarre, l'Empire latin de Constantinople, le royaume de Pologne, le royaume de Hongrie (succédant à celui des Magyars/Avars), un duché dans le Saint-Empire romain germanique et un dans le royaume d'Angleterre.

Mais la lignée des Capétiens directs se termine pourtant rapidement par le règne successif de trois fils de Philippe IV le Bel.

  • L'aîné, Louis X le Hutin mort prématurément, a un fils posthume, [[Jean Ier le Posthume|Jean Modèle:Ier]], qui ne vécut que quelques jours.
  • Sa fille de quatre ans est écartée du trône et le régent, son frère, devient alors roi sous le nom de Philippe V le Long. Lui-même meurt en laissant une fille écartée de la succession, et la couronne passe au troisième frère, Charles IV le Bel. Lorsqu'il meurt en 1328, c'est la première fois depuis l'élection d'Hugues Capet que le défunt roi n'a pas d'héritier mâle.

Il semble que ce qui a été déterminant dans la mise à l'écart des héritières, c'est que le sacre est considéré presque comme l'équivalent de l'ordination et qu'aucune femme ne peut être ordonnée prêtre[1]. Seuls deux prétendants mâles sont en lice, Édouard III, roi d'Angleterre et petit-fils de Philippe le Bel par sa mère Isabelle et Philippe de Valois, neveu de Philippe le Bel et petit-fils de Philippe III le Hardi par son père Charles de Valois. L'assemblée des grands du royaume préfère Philippe car il est de France et plus mûr que son jeune rival anglais. La loi salique n'est pas du tout invoquée à ce moment. Le nouveau roi est sacré sous le nom de Philippe VI le 29 mai 1328. Cet évènement marque le début de la dynastie des Capétiens-Valois, branche collatérale des Capétiens directs...

Edouard de Bar (1307–1336)[modifier]

.

Jeanne de Bar (1336–1351)[modifier]

.

Jean de Saint-Clair (1351–1366)[modifier]

.

Blanche d'Évreux (1366–1398)[modifier]

.

15 ème siècle[modifier]

.

Nicolas Flamel (1398–1418)[modifier]

.

René d'Anjou (1418–1480)[modifier]

.

Iolande de Bar (1480-1483)[modifier]

.

16 ème siècle[modifier]

.

Sandro Botticelli (1483-1510)[modifier]

.

Léonard de Vinci (1510-1519)[modifier]

. Léonard de Vinci qui est dit "prétendu 12e Grand Maître" du Prieuré de Sion est le 22 ème...

Connétable de Bourbon (1519-1527)[modifier]

.

Ferrante I Gonzaga (1527–1575)[modifier]

.

Ludovico Gonzaga (1575–1595)[modifier]

.

Au temps des capétiens Valois indirects (1589-1789)[modifier]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Valois#Les_Valois_directs

17 ème siècle[modifier]

.

Robert Fludd (1595–1637)[modifier]

.

J. Valentin Andrea (1637-1654)[modifier]

.

Robert Boyle (1654-1691) ou Jean-Tim Negri d'Albes (1681–1703)[modifier]

.

18 ème siècle[modifier]

.

Isaac Newton (1691–1727) ou François d'Hautpoul (1703–1726)[modifier]

.

Charles Radclyffe (1727–1746) ou André-Hercule de Fleury (1726–1766)[modifier]

.

Charles de Lorraine (1746–1780) ou Charles de Lorraine (1766–1780)[modifier]

.

Maximilien de Lorraine (1780-1801) - idem en 2ème liste[modifier]

.

19 ème siècle[modifier]

.

Charles Nodier (1801–1844) - idem en 2ème liste[modifier]

.

Victor Hugo (1844–1885) - idem en 2ème liste[modifier]

.

20ème siècle[modifier]

https://fr.wiktionary.org/wiki/ludibrium .

Claude Debussy (1885–1918) - idem sur 2ème liste[modifier]

.

Erik Satie (1918-1925) ou Jean Cocteau (1918–1963)[modifier]

.

Jean Cocteau (1925-1963) ou idem (1918–1963)[modifier]

.

Jean Marais (1963-décédé en 1998 ou François Balphangon (1963–1969)[modifier]

.

Jean Marais (1963-décédé en 1998 ou John Drick (1969–1981)[modifier]

.

Jean Marais (1963-décédé en 1998 ou Pierre Plantard de Saint-Clair (1981)[modifier]

.

Jean Marais (1963-décédé en 1998 ou Philippe de Chérisey (1984–1985)[modifier]

.

Jean Marais (1963-décédé en 1998 ou Roger-Patrice Pelat(1985–1989)[modifier]

.

Pierre Plantard de Saint-Clair (1989)[modifier]

.

Thomas Plantard de Saint-Clair (1989)[modifier]

.

21ème siècle[modifier]

Rappel:

  • Prieuré de Sion mentionnée pour la première fois au cours des années 1960.
  • La liste suivante des Grands Maîtres est tirée des Dossiers Secrets d'Henri Lobineau compilés en 1967. Jusqu'à Cocteau, tous ceux nommés sur cette liste étaient décédés avant cette date.
  • Tous sauf deux se trouvant également sur des listes de prétendus « Imperators » (chefs suprêmes) et « membres distingués » de l' Ancien Ordre Mystique Rosae Crucis qui circulait en France à l'époque où Plantard était dit en relation avec cet Ordre rosicrucien (?).
  • La plupart des personnes nommées partagent le fil conducteur d'être connues pour avoir un intérêt pour l' occultisme ou l' hérésie . [2]
  • Article de l'encyclopaedia universalis, les Capétiens, Jacques Le Goff.
  • Menu de navigation