Bioéconomie organique : Différence entre versions

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'''La bioéconomie organique''' (http://www.bioeconomie.net) considère que l’humanité est comme un organisme vivant, tel un corps humain : les individus sont comparables à des cellules, les entreprises, les régions ou les états à des tissus ou des organes, tandis que les services publics remplissent des fonctions organiques indispensables.
 
  
Cet organisme planétaire humain est en vie grâce à des fluides (argent, eau, énergie...) et à des nutriments (objets manufacturés, alimentation…). La bonne santé économique et sociale de notre propre pays et de l'humanité toute entière dépendent étroitement de leur circulation correcte et de leur répartition équitable.  
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'''La bioéconomie organique''' considère que l’[[humanité]] est comme un organisme vivant, tel un corps humain : les individus sont comparables à des cellules, les entreprises, les régions ou les états à des tissus ou des organes, tandis que les services publics remplissent des fonctions organiques indispensables.
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Cet organisme planétaire humain est en vie grâce à des fluides (argent, eau, énergie...) et à des nutriments (objets manufacturés, alimentation…). La bonne santé [[économie|économique]] et sociale de notre propre pays et de l'humanité toute entière dépendent étroitement de leur circulation correcte et de leur répartition équitable.  
  
 
L’équilibre et le respect de la Vie doit y régner en permanence pour la bonne santé du corps social et de chacune des cellules humaines qui y vivent, grâce à des lois et des indices apportant la vitalité.   
 
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Il serait facile, avec quelles mesures judicieuses et sans révolution, de faire muter notre économie actuelle en une économie apte à engendrer le bien-être pour tous les habitants de la Terre, humains ou non-humains. Le chômage peut être entièrement jugulé, ainsi que les problèmes liés aux délocalisations et aux immigrations de pauvreté. De même, les retraites peuvent être confortables, les services publics corrects, les services sociaux efficaces. L’intérêt, les dettes gouvernementales et la croissance sans conscience sont parfaitement inutiles. L’homme n’est pas obligé de travailler toujours plus, toujours plus tardivement : les acquis sociaux peuvent être maintenus et augmentés.  
 
Il serait facile, avec quelles mesures judicieuses et sans révolution, de faire muter notre économie actuelle en une économie apte à engendrer le bien-être pour tous les habitants de la Terre, humains ou non-humains. Le chômage peut être entièrement jugulé, ainsi que les problèmes liés aux délocalisations et aux immigrations de pauvreté. De même, les retraites peuvent être confortables, les services publics corrects, les services sociaux efficaces. L’intérêt, les dettes gouvernementales et la croissance sans conscience sont parfaitement inutiles. L’homme n’est pas obligé de travailler toujours plus, toujours plus tardivement : les acquis sociaux peuvent être maintenus et augmentés.  
  
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Ce modèle économique offre des perspectives de gouvernance nouvelles et positives : il peut naitre un véritable [[Solidarisme]], fondé sur cette économie vitaliste et solidaire.
  
Ce modèle économique offre des perspectives de gouvernance nouvelles et positives : il peut naitre un véritable [[Solidarisme]], fondé sur cette économie vitaliste et solidaire.
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''cf. Livre : Marie Martin-Pécheux, Bioéconomie et Solidarisme, Prix Kyosey 2008, Edition Interkeltia.''
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''cf. Livre : Marie Martin-Pécheux, Bioéconomie et Solidarisme, Prix Kyosey 2008, Edition Interkeltia''
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La bioéconomie organique considère que l’humanité est comme un organisme vivant, tel un corps humain : les individus sont comparables à des cellules, les entreprises, les régions ou les états à des tissus ou des organes, tandis que les services publics remplissent des fonctions organiques indispensables.

Cet organisme planétaire humain est en vie grâce à des fluides (argent, eau, énergie...) et à des nutriments (objets manufacturés, alimentation…). La bonne santé économique et sociale de notre propre pays et de l'humanité toute entière dépendent étroitement de leur circulation correcte et de leur répartition équitable.

L’équilibre et le respect de la Vie doit y régner en permanence pour la bonne santé du corps social et de chacune des cellules humaines qui y vivent, grâce à des lois et des indices apportant la vitalité.

Il serait facile, avec quelles mesures judicieuses et sans révolution, de faire muter notre économie actuelle en une économie apte à engendrer le bien-être pour tous les habitants de la Terre, humains ou non-humains. Le chômage peut être entièrement jugulé, ainsi que les problèmes liés aux délocalisations et aux immigrations de pauvreté. De même, les retraites peuvent être confortables, les services publics corrects, les services sociaux efficaces. L’intérêt, les dettes gouvernementales et la croissance sans conscience sont parfaitement inutiles. L’homme n’est pas obligé de travailler toujours plus, toujours plus tardivement : les acquis sociaux peuvent être maintenus et augmentés.

Ce modèle économique offre des perspectives de gouvernance nouvelles et positives : il peut naitre un véritable Solidarisme, fondé sur cette économie vitaliste et solidaire.

cf. Livre : Marie Martin-Pécheux, Bioéconomie et Solidarisme, Prix Kyosey 2008, Edition Interkeltia.

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