Gestion des déchets : Différence entre versions
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== Les politiques de gestion des déchets == | == Les politiques de gestion des déchets == |
Version du 15 mai 2009 à 01:50
La gestion des déchets est un processus qui intègre à la fois la production des déchets et leur traitement.
La production correspond aux choix des produits à la source, à leur utilisation, à leur valorisation. Le traitement correspond au tri des déchets, à leur collecte, au transport, et au traitement et/ou le stockage des déchets.
Un français produit en moyenne 450 kg de déchets par an. Sur l'ensemble des ménages français, on arrive ainsi à 26 millions de tonnes de déchets produits chaque année. Et la production de déchets croît en France d’environ 1% par an.
La gestion des déchets est donc une question importante qui n'est pas encore réglée.
Sommaire
Les 3 R
Le principe des 3 R - Réduire, Réutiliser, Recycler - permet de réduire la production d'ordures ménagères nécessitant un traitement collectif. Or la réduction du volume de déchets signifie automatiquement la réduction du nombre de camions poubelle sur nos routes, la réduction de déchets incinérés ou mis en décharge...
- La réduction de la production de déchets (choix de matériaux recyclable non polluants, choix de produits à emballage limité).
- La réutilisation des déchets (par exemple, la consigne des bouteilles)
- Le recyclage des déchets (transformations matières : compostage, papier recyclé, ou transformations énergétiques : centrale thermique...)
Article détaillé : Réduire, Réutiliser, Recycler
Histoire
La décharge sauvage a été la première destination des déchets humains. Mais à l'époque c'était sans conséquence puisque tous ces déchets étaient soit inertes soit biodégradables.
Au Moyen Âge, les déchets des citadins sont jetés dans la rue ou dans les rivières. Cela pose des problèmes de salubrité. Certains déchets sont récupérés par des chiffonniers pour être recyclés.
Au XIXe siècle, on se rend compte que l'hygiène est importante pour prévenir des maladies. En 1883, le Préfet de Paris, Eugène Poubelle, impose aux Parisiens de jeter leurs déchets dans un récipient, qui a pris le nom de "poubelle".
Dans les années 1920, on crée des décharges à ordures.
En 1975, une loi parait sur l'élimination des déchets, loi qui sera modifiée en 1992 en intégrant alors quatre grands objectifs :
- prévenir ou réduire la production et la nocivité des déchets, notamment en agissant sur la fabrication et sur la distribution des produits;
- organiser le transport des déchets et le limiter en distance et en volume;
- valoriser les déchets par réemploi, recyclage ou toute autre action visant à obtenir à partir des déchets des matériaux réutilisables ou de l'énergie;
- assurer l'information du public sur les effets pour l'environnement et la santé publique des opérations de production et d'élimination des déchets, sous réserve des règles de confidentialité prévues par la loi, ainsi que sur les mesures destinées à en prévenir ou à en compenser les effets préjudiciables.
C'est donc à partir de 1992 que la collecte sélective va réellement commencer à être développée par les collectivités (communes ou groupements de communes), responsables de la collecte et du traitement des déchets ménagers. Aujourd'hui, une grande majorité des collectivités ont mis en place des dispositifs de collecte sélective des déchets ménagers.
Les politiques de gestion des déchets
La prévention des déchets
La prévention des déchets consiste à prévenir ou réduire la production et la nocivité des déchets, notamment en agissant sur la fabrication et sur la distribution des produits. La prévention inclut toutes les étapes du cycle de vie d'un produit avant qu'il soit considéré comme un déchet. La prévention quantitative concerne la diminution de la masse et du volume des déchets, la prévention qualitative concerne la nocivité des déchets.
La prévention comporte deux niveaux :
1. Au niveau des producteurs, la prévention peut être menée en négociant avec les industriels et en leur donnant des objectifs. C'est le cas en France pour les sacs plastiques : les grandes surfaces se sont engagées à diminuer le nombre de sacs plastiques distribués en caisse. Les normes de management environnemental reposent également sur une démarche volontaire des entreprises.
L'autre possibilité est de légiférer : il serait possible de contraindre à une réduction des déchets et d'interdire certains composés qui deviennent des déchets toxiques (les métaux lourds sont ainsi déjà interdits dans certains produits). L'état peut enfin agir au moyen de taxes destinées aux producteurs de déchets : c'est le cas d'Eco-emballages avec le "Point vert" payé par tous les producteurs d'emballages. Néanmoins, cette taxe est encore trop faible pour inciter à réduire le poids et/ou la nocivité des emballages (seulement 1/3 du coût réel de traitement de l'emballage).
La prévention comporte également l'éco-conception qui est la prise en compte et la réduction, dès la conception, de l'impact sur l'environnement de produits.
2. Au niveau du consommateur, l'état peut améliorer son information en organisant des campagnes de sensibilisation sur les produits générant moins de déchets ou bénéficiant d'éco-labels. C'est le cas lors de la Semaine de la réduction des déchets et des actions de l'ADEME. L'état peut également agir en appliquant une redevance incitative pour la gestion des déchets (principe du pollueur-payeur : je paye pour ce que je jette) au lieu de la Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) liée aux taxes foncières.
Zéro déchet
- Fabriquer ses yaourts avec du lait acheté en ferme => 0 Déchet.
- Fabriquer ses fromages/fromages blancs avec du lait acheté en ferme => 0 Déchet.
- Préparer des plats maisons à partir de produits frais plutôt que de recourir à des plats préparés ou des produits sur-emballés.
- Boire de l'eau du robinet plutôt que de l'eau en bouteille (laisser votre eau du robinet s'aérer dans une cruche afin que les éléments volatils s'évaporent et donc les éventuels "mauvais goûts" diminuent).
- Faire du compost des déchets de cuisine.
- Penser à rapporter les emballages consignés.
- Éviter d'utiliser des produits jetables : mouchoirs en papier, lingettes, rasoirs...
- Réutiliser les serviettes en papier aux toilettes.
Courriers publicitaires
- Signaler son refus de recevoir des publicités dans sa boîte aux lettres à l'aide d'un autocollant (type Stop-pub) : c'est du papier en moins et moins d'incitation à la consommation (productrice de déchets et de nuisances environnementales) !
- Courriers publicitaires nominatifs : si l'adresse de l'expéditeur est inscrite sur l'enveloppe, remettre dans la boîte poste avec la mention "NON SOLLICITE". Sinon, ouvrir le courrier et utiliser l'enveloppe à T qui s'y trouve souvent pour signifier à l'expéditeur qu'on ne souhaite plus rien recevoir. Si l'enveloppe n'est pas prépayée, en ne mettant pas de timbre, cela créera des complications administratives à l'entreprise qui recevra le courrier
Emballages
Les emballages ont un objectif de marketing : rendre le produit plus visible dans les rayons des commerçants par leur taille, leurs couleurs, leurs matières. Quelques pistes pour emporter moins d'emballages :
- Préférer les gros conditionnements aux portions individuelles qui multiplient les emballages
- Préférer les produits les moins emballés
- Refuser les sacs de caisse, et penser à prendre cabas, paniers...
- Remettre à la caissière tous les emballages superflu. On achète le contenu, pas le contenant. c'est notre seul pouvoir pour faire passer le message.
Au bureau
- Éviter d'imprimer les documents pouvant être lus et archivés directement sur ordinateur : c'est des économies de papier et d'encre
- Utiliser l'envers des feuilles jetées en papier de brouillon (barrer d'un coup de crayon au préalable le recto pour éviter de se tromper)
- On peut utiliser ces feuilles imprimées que d'un côté pour le fax
- À la fontaine à eau et à la machine à café, apporter son verre ou sa tasse plutôt que d'utiliser les gobelets en plastique jetables
- Faire collecter les consommables d'impression vides par un prestataire spécialisé
Cette section est vide ou n'est pas assez détaillée, votre aide est la bienvenue ! |
La valorisation des déchets
La valorisation des déchets consiste dans " le réemploi, le recyclage ou toute autre action visant à obtenir, à partir de déchets, des matériaux réutilisables ou de l'énergie". C'est l'objectif des politiques de gestion des déchets, en plus de la prévention. Deux types de valorisation sont retenus : la valorisation matière (remblais...) et la valorisation énergétique (compost, biogaz ...).
La gestion des déchets en France
La France ne mène pas vraiment de politique de prévention, elle privilégie la valorisation des déchets.
En France, la gestion et l'élimination des déchets ménagers et assimilés sont prises en charge par les communes. Le financement provient des impôts locaux payés par les habitants (TEOM).
Le principe du "pollueur payeur " est encore peu appliqué : on peut citer l'exemple des prospectus publicitaires dans les boites aux lettres. En ce qui concerne les emballages, les industriels contribuent financièrement à la prise en charge des emballages usagés (le "Point vert") par le biais d'un organisme qui favorise la collecte et la valorisation des emballages : Éco-Emballages ou Adelphe pour les déchets ménagers, Cyclamed pour les médicaments. Les industriels peuvent aussi prendre en charge directement les emballages usagés, mais cette solution est peu développée. Enfin, ils peuvent aussi proposer leurs déchets via une Bourse des déchets aux autres industriels pour lesquels ces déchets deviennent des matières premières.
Lorsque l'industriel est forcé de reprendre les déchets produits, le coût est répercuté dans le prix d'achat. C'est par exemple le cas pour les pneus : le prix d'achat comprend une contribution au traitement du pneu usagé.
La gestion des déchets en Belgique
Depuis juillet 2001, un organisme nommé, Recupel, collecte les déchets électroniques et électriques. Recupel est financé par une cotisation que paie le particulier lors de l'achat d'un nouvel appareil.
La gestion des déchets au Québec
Le Québec compte plus d’une soixantaine de lieux d’enfouissement sur son territoire. En 2002, la province a produit plus de 11,3 millions de tonnes de déchets, ce qui fait d’elle le deuxième générateur de déchets au monde après l’Arabie Saoudite. De ces 11 millions de tonnes, 5,4 millions sont acheminées vers 65 lieux d’enfouissement. Sur ces 65 sites, 5 accueillent à eux seuls, plus de 70% de tous les déchets destinés aux lieux d’enfouissement.
La Société québécoise de récupération et de recyclage a été créée en 1990 par le gouvernement du Québec. Le ministre responsable de l’application de la loi constitutive de RECYC-QUÉBEC, la Loi sur la Société québécoise de récupération et de recyclage (L.R.Q., c. S-22.01), est le ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs. Cette loi précise la mission et les mandats de la Société, aussi appelée RECYC-QUÉBEC.
Dans le cadre de son mandat et en soutien à la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles 1998-2008, la mission de RECYC-QUÉBEC s’énonce comme suit :
RECYC-QUÉBEC oriente, met en œuvre et coordonne des activités visant la mise en valeur des matières résiduelles en assurant la gestion de certains programmes, en développant les connaissances pertinentes et en mobilisant les différents acteurs afin de réduire la génération de matières résiduelles et de diminuer les quantités à éliminer. RECYC-QUÉBEC appuie et reconnaît les efforts des intervenants des différents secteurs et assure le suivi de l’atteinte des objectifs de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles 1998-2008.
Depuis sa création en 1990, RECYC-QUÉBEC est progressivement devenue un acteur majeur de la gestion responsable des matières résiduelles, particulièrement en ce qui concerne les questions de réduction, de réemploi, de recyclage et de valorisation (3RV) agissant à ces égards comme l’interlocutrice du gouvernement et des représentants de l’industrie de la mise en valeur des matières résiduelles, dont le chiffre d’affaires annuel représente 1,2 MM $.
Des exemples de déchets particuliers
Les médicaments
Voir l'article : médicament
Les déchets électriques et électroniques
Les déchets d'équipements électriques et électroniques sont de plus en plus nombreux : ordinateur, télévision, téléphone portable, réfrigérateur, électroménager, etc. On considère qu'un français produit en moyenne 16 kg de déchets électriques et électroniques par an.
Depuis le 13 août 2005, selon à la directive Européenne nº 2002/96/CE du 27 janvier 2003 relative aux déchets d'équipements électriques et électroniques, les vendeurs sont tenus de récupérer votre vieil appareil si vous en achetez un neuf. C'est le système du "un pour un". Pour que le distributeur reprenne votre équipement, vous êtes obligé d'en acheter un autre. Cela vaut aussi pour la vente à distance : les commerçants en ligne sont également tenus de proposer des solutions de reprise gratuite des équipements usagés. Si vous n'avez pas prévu de racheter un nouvel appareil, la première solution consiste à l'apporter aux associations qui récupérent gratuitement ces appareils pour les réparer ou récupérer des pièces qui serviront à réparer d'autres appareils et à les revendre à bas prix. Enfin les systèmes de collecte se développent de plus en plus en France, notamment via les déchèteries : il convient de se rapprocher de sa collectivité territorale pour plus d'information sur les services en place.
Malgré cette évolution de la prise en charge de ces déchets, il est encore fréquent que les appareils usagés soient jetés avec les ordures ménagères. Or ils contiennent souvent des composés toxiques. Par exemple, un écran de télévision contient dans son tube cathodique du mercure, du plomb et des poudres toxiques. Ces poudres toxiques sont appelées aussi terres rares ou lanthanes. On note la présence dans les tubes cathodiques de sulfate de cadmium et de gadolinium.
Si par chance les déchets sont récoltés par la bonne filière, ils seront éventuellement réparés ou à défaut amenés dans un centre de traitement. Ils y seront démantelés c'est-à-dire séparés en différents éléments. Ensuite les éléments valorisables tels que l'aluminium et le cuivre seront récupérés. Le plastique est recyclé ou incinéré. Les microprocesseurs contiennent une quantité non négligeable d'or. On estime qu'une tonne de cartes électroniques "riches" (cartes mères, cartes sons, cartes vidéo), contiennent plus d'or que 17 tonnes de minerai aurifère.
Les téléphones portables
Un téléphone contient en majorité du plastique qui peut être recyclé. Les parties métalliques (or, argent, cuivre, métaux ferreux...) peuvent aussi être récupérées.
Un téléphone portable contient une batterie. Comme une pile, une batterie est un déchet dangereux qui ne doit pas être jeté avec les ordures ménagères.
Lors de l'achat d'un nouveau portable, vous pouvez remettre votre ancien appareil à l'opérateur. S’il est encore en bon état, il peut être testé avant d'être réutilisé ou servira de source de pièces de rechange. Autrement il sera séparé en éléments de base recyclables. Les parties non recyclables sont incinérées.
Pour information, la fabrication d’un appareil pesant 100 grammes requiert près de 30 kg de matières premières. Ce constat peut devenir tout simplement effrayant lorsque l’on apprend que plus d’un milliard de téléphones portables circulent dans le monde.
Les pneus
Depuis juin 2004 en France, les pneus usagés doivent être récupérés par les fabricants. Les garagistes reprennent les vieux pneus lorsque l'on en achète des neufs. Les pneus usés peuvent servir de revêtements de sol ou de combustibles dans les cimenteries.
Les déchets végétaux
Si vous possédez un jardin, vous pouvez pratiquer le compostage. Lorsque vous épluchez des fruits ou légumes, ou quand vous cassez des œufs, vous pouvez récupérer les déchets pour les mettre dans un bac à compost. Ils formeront ainsi un bon engrais naturel et éviteront les transports liés à leurs collectes. Les déchets verts peuvent être adjoints au mélange réalisé avec les épluchures en petites quantités, l'important étant de bien respecter l'équilibre matières vertes (épluchures)/ matières brunes (feuilles mortes, petits branchages) pour assurer la fabrication d'un engrais de bonne qualité.
En habitation sans accès à un jardin, on peut pratiquer le lombricompostage, c'est à dire l'élevage de vers de terre dans des compartiments superposables. Même en intérieur, avantage non négligeable, le dégagement d'odeurs est moins incommodant que celui des poubelles ordinaires.
Les déchets toxiques
90% des déchets toxiques sont produits par les pays industrialisés. Il s'agit pour la plupart de déchets générés par les industriels pour la fabrication de produits ou de composés chimiques. On parle alors de Déchets Dangereux. Dans la majorité des cas, ces déchets sont correctement éliminés car soumis à une réglementation stricte et à un suivi d'élimination via le Bordereau de Suivi des Déchets.
Le meilleur moyen de ne pas produire de déchets toxiques est de ne pas contribuer à leur production en consommant moins de produits issus de l'industrie chimique (plastiques, solvants, eau de javel, bois traités...) ou en vérifiant systématiquement l'origine et le mode de production des produits.
Les déchets ménagers spéciaux (DMS)
Ils s'agit de tous les déchets toxiques tels que peintures, solvants, pesticides... qui ne doivent surtout pas être jetés avec les ordures ménagères classiques, ni versés dans les égouts (les stations d'épuration ne sont pas capables de traiter ce type de pollution qui d'une part se retrouve alors dans le milieu naturel et d'autre part détruit l'activité biologique dans les stations d'épuration et implique alors de gros dysfonctionnements). Ces produits nécessitent un traitement particulier.
Ce sont par exemple :
- tubes fluorescent et ampoule fluocompacte collectés, recupérées et recyclés par des réseaux spécialisés
- thermomètre à mercure
- medicaments
- pesticides
- peintures et leurs résidus
- produits dangereux (solvants, décapants…)
- Certains produits d'entretien (déboucheurs, dégraissant pour four, ammmoniaque…)
Pour le cas particulier des thermomètres à mercure (utilisés dans le domaine médical), ceux-ci sont à rapporter auprès des pharmaciens, qui disposent d'un réseau spécialisé (même si la plupart des thermomètre médicaux sont au germanium) Les piles, batteries et autres accumulateurs sont également des déchets très toxiques. Les piles usagées peuvent être rapportées auprès de tout vendeur de piles, mais aussi dans certains lieux publics, boulangeries... qui peuvent parfois disposer de conteneurs spécifiques pour cette collecte.
Face à cette problématique, les collectivités (communes, groupements de communes) mettent en place des collectes spécifiques soit en porte-à-porte, soit en déchetterie. Il convient donc de se rapprocher de sa collectivité afin de connaître le dispositif en place sur sa commune. Cependant de plus en plus on constate des filières particulières se dessinent :
- pour les piles, auprès des vendeurs
- pour les lampes (ampoules et tubes) auprès des dépôt
- pour les médicaments auprès des vendeurs (pharmacie)
Voir aussi
Références
Liens internes
- Déchet
- Réduire, Réutiliser, Recycler
- Collecte sélective des déchets (anciennement appelé "Tri sélectif")
- Recyclage
- Incinérateur
- Recupe.net (France, Belgique, Suisse, Québec)
- Les Artisans du rebut global
Liens externes
- Vidéo faisant la promotion du recyclage]
- Le site du Centre National d'Information Indépendante sur les Déchets
- Site pour donner tout type de matériel usagé
- Site pour donner tout type de matériel usagé
- Site pour trouver les différentes recycleries en France
- Collecte et recyclage de matériels informatiques
- Le Plan de Gestion des Matières Résiduelles
- Site internet du Collectif réduisons nos déchets en Gironde
Bibliographie
- Ma petite planète chérie : un coffret pédagogique de films sur l'environnement, avec une séquence sur les déchets. - Web
- Le jardin des impostures par Dany Dietmann, Derrière la silhouette familière de chaque poubelle se cache un univers économique particulièrement florissant dont l'activité devrait assurer une préservation efficace de notre environnement. Qu'en est-il ? Sommes-nous en mesure de développer la réduction des emballages à la source, le tri, la valorisation matière par le recyclage, le compostage ? De fructueuses expériences menées sur le territoire français et partout dans le monde donnent d'efficaces réponses. Pourquoi ne les applique-t-on pas ? Prix éditeur : 14,5 € / 95 FF.