Travailler à son compte
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Travailler à son compte peut être une manière de mettre en œuvre une certaine simplicité volontaire et de se libérer de l'aliénation souvent associée au travail.
Le nombre d'heure dédiées au travail et les revenus associés étant librement déterminés par l'entrepreneur en fonction de ses choix personnels.
Description[modifier]
Le statut le plus sobre est la micro-entreprise individuelle en régime de TVA simplifié.
Il "suffit" de s'inscrire au registre du commerce ou des métiers, de tenir des cahiers de recettes et de dépenses, de payer des cotisations sociales, la taxe professionnelle, et l'impôt sur le revenu.
Les plus gros frais sont les cotisations sociales mais c'est aussi ce qui vous donne accès à la sécurité sociale et à la retraite. Le total des cotisations minimales revient à peu près à 120 euros par mois.[1]
Au-delà, cela représente environ 50% de vos revenus.
Des exonérations existent pour les demandeurs d'emplois, bénéficiaires du RMI, etc.[2]
Le calcul de la taxe professionnelle est un peu compliqué, dépend de la commune où est installée l'activité et est soumis à un plancher minimal qui peut être relativement élevé (presque 500€ dans ma commune). Certaines activités sont exonérées (artisans notamment).
Voir aussi[modifier]
Liens internes[modifier]
Liens externes[modifier]
Références[modifier]
- ↑ Protection sociale des indépendants : comment ça marche ?
- ↑ L’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’une entreprise